Catalogue en ligne des bibliothèques ARTS²
A partir de cette page vous pouvez :
Retourner au premier écran avec les étagères virtuelles... |
Détail de l'éditeur
Éditeur les Solitaires intempestifs
localisé à Besançon
Collections rattachées
Documents disponibles chez cet éditeur
Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la rechercheThéâtre (2018 - 2020) / Philippe Minyana
Titre : Théâtre (2018 - 2020) Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Minyana, Auteur Editeur : Besançon : les Solitaires intempestifs Année de publication : 2021 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84681-629-8 Note générale : Maisons rouges
Maisons rouges est une pièce pour acteurs et marionnettes. Une créature vole, des fantômes conversent avec les vivants.
Une femme vient dans son pays natal pour un enterrement. C’est l’occasion de retrouvailles avec sa famille. Cousins, cousines. Le fils de sa cousine est poète. Il débite des vers à tout bout de champ. Tous ces gens tressaillent, rient et pleurent, ont des malaises, des envies, des secrets. La fresque peint des humains fatigués, désorientés. Ce petit peuple nous ressemble. La femme va de maison en maison. C’est un chœur, qui s’exprime, celui des habitants, témoins de cet inouï scandale : la mort d’un enfant. Cependant, nul chant funèbre, plutôt une sorte d’oratorio burlesque et tragique.
Accident
L’accident de chasse. Tout part de là. Dans ce bled, deux sœurs et un frère attendent leur aîné qui sort de prison. Il a tué l’être aimé. Un garçon qui s’appelle Stéphane. À la chasse. Il a vu Rouge. Il a tiré. Stéphane allait voir ailleurs. Frères et sœurs sont à la fois personnages et coryphées. Les deux sœurs reçoivent la visite d’un homme étrange, qui vieillit à vue d’œil. Il est venu là, il y a très longtemps. Une des sœurs et lui se sont aimés. Du temps est passé. Il y a aussi le petit frère aveugle, qui sent les choses. Le titre pourrait être aussi Contes et légendes de l’humanité. où se tisse des mythologies familières.
Frères et Sœur
La pièce se présente comme un répertoire de la mémoire. Une suite de souvenirs d’enfance, qui se sont, à jamais, inscrits dans la mémoire. Ces enfants se souviennent, et puis, au cours de la pièce, lis grandissent. C’est une fable. Quand on est pauvres on reste soudés. On partage la même maison. Pas de nostalgie, seulement, le désir de restituer ce qui nous hante, qu’on soit Franc-comtois ou Normand. La Franche-Comté région natale de l’auteur est le décor de ces histoires.
Nuit
Au bord d’un lac, un jeune couple, une femme d’un certain âge et son frère, traversent le temps. Se réunissent parfois, échangent. Le jeune homme est garde-forestier. Il parle aux arbres et les arbres lui parlent. Avec sa femme, ils s’aiment et se haïssent. Une femme mûre vieillit à vue d’œil. Il lui arrive de tomber malade. Son frère n’a jamais su aimer. Cependant, il a le béguin pour le jeune couple. La femme mûre à sans doute le béguin pour le jeune type. Et réciproquement. Tous quatre font des cauchemars.
Comment vivre ? Quand est ce qu’on connaît la quiétude ? Les êtres humains sont tout petits. Et, un jour, le corps flanche et on a quatre-vingt-dix ans. Que s’est il passé ? Comme les joggeurs, on court, on fait des cercles, on tourne en rond. On survit.Langues : Français (fre) Catégories : Théâtre
Théâtre contemporainMots-clés : france post 2015 Théâtre (2018 - 2020) [texte imprimé] / Philippe Minyana, Auteur . - Besançon : les Solitaires intempestifs, 2021.
ISBN : 978-2-84681-629-8
Maisons rouges
Maisons rouges est une pièce pour acteurs et marionnettes. Une créature vole, des fantômes conversent avec les vivants.
Une femme vient dans son pays natal pour un enterrement. C’est l’occasion de retrouvailles avec sa famille. Cousins, cousines. Le fils de sa cousine est poète. Il débite des vers à tout bout de champ. Tous ces gens tressaillent, rient et pleurent, ont des malaises, des envies, des secrets. La fresque peint des humains fatigués, désorientés. Ce petit peuple nous ressemble. La femme va de maison en maison. C’est un chœur, qui s’exprime, celui des habitants, témoins de cet inouï scandale : la mort d’un enfant. Cependant, nul chant funèbre, plutôt une sorte d’oratorio burlesque et tragique.
Accident
L’accident de chasse. Tout part de là. Dans ce bled, deux sœurs et un frère attendent leur aîné qui sort de prison. Il a tué l’être aimé. Un garçon qui s’appelle Stéphane. À la chasse. Il a vu Rouge. Il a tiré. Stéphane allait voir ailleurs. Frères et sœurs sont à la fois personnages et coryphées. Les deux sœurs reçoivent la visite d’un homme étrange, qui vieillit à vue d’œil. Il est venu là, il y a très longtemps. Une des sœurs et lui se sont aimés. Du temps est passé. Il y a aussi le petit frère aveugle, qui sent les choses. Le titre pourrait être aussi Contes et légendes de l’humanité. où se tisse des mythologies familières.
Frères et Sœur
La pièce se présente comme un répertoire de la mémoire. Une suite de souvenirs d’enfance, qui se sont, à jamais, inscrits dans la mémoire. Ces enfants se souviennent, et puis, au cours de la pièce, lis grandissent. C’est une fable. Quand on est pauvres on reste soudés. On partage la même maison. Pas de nostalgie, seulement, le désir de restituer ce qui nous hante, qu’on soit Franc-comtois ou Normand. La Franche-Comté région natale de l’auteur est le décor de ces histoires.
Nuit
Au bord d’un lac, un jeune couple, une femme d’un certain âge et son frère, traversent le temps. Se réunissent parfois, échangent. Le jeune homme est garde-forestier. Il parle aux arbres et les arbres lui parlent. Avec sa femme, ils s’aiment et se haïssent. Une femme mûre vieillit à vue d’œil. Il lui arrive de tomber malade. Son frère n’a jamais su aimer. Cependant, il a le béguin pour le jeune couple. La femme mûre à sans doute le béguin pour le jeune type. Et réciproquement. Tous quatre font des cauchemars.
Comment vivre ? Quand est ce qu’on connaît la quiétude ? Les êtres humains sont tout petits. Et, un jour, le corps flanche et on a quatre-vingt-dix ans. Que s’est il passé ? Comme les joggeurs, on court, on fait des cercles, on tourne en rond. On survit.
Langues : Français (fre)
Catégories : Théâtre
Théâtre contemporainMots-clés : france post 2015 Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042756 LT MIN THE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Autoportrait à ma grand-mère / Patricia Allio
Titre : Autoportrait à ma grand-mère Type de document : texte imprimé Auteurs : Patricia Allio, Auteur Editeur : Besançon : les Solitaires intempestifs Année de publication : 2023 Collection : Fiction Importance : 80 pages Format : 12.5 x 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84681-704-2 Prix : 14€ Note générale : Présentation
Pendant plusieurs années, Patricia Allio a écrit un texte où elle s'adresse à Julienne Le Breton, sa grand-mère maternelle originaire du Morbihan. Au détour de restitutions de conversations qu'elle a enregistrées dans la voiture ou le long du Canal de Nantes à Brest, de souvenirs, d'anecdotes, elle soulève la question de l'héritage paradoxal, notamment sous forme de honte de soi, de déni et de culpabilité. L'auteure interroge notamment le poids de la honte liée à la langue maternelle interdite, le breton.
Création
Création théâtrale de et avec l’autrice en novembre 2018 à Brest au Quartz, puis présentée en tournée de décembre 2018 à octobre 2022 (notamment à Paris, Rome, Mulhouse, Rennes, Blois, Avignon).
Reprise du spectacle en 2023 et 2024.
Presse
Un spectacle à la lisière de l’Histoire et des petites histoires
Le monologue performé prend la forme d’une lettre ouverte à une morte, vibrante d’émotions, de politique et d’érotisme. Ici ce n’est pas la douleur et la perte qui sous-tendent l’hommage autobiographique, mais la joie de se souvenir, de continuer le dialogue, d’« entendre » nos morts, tout simplement.
[Véronique Hotte, hotello, 10 octobre 2023]
Un texte profond, touchant, une trame narratrice originale
Trois thèmes dans un même texte : l’histoire de la Bretagne et de sa langue, le vieillissement et la transmission liée au tissage des liens familiaux.
[Nathalie Tambutet, theatreactu, 30 septembre 2023]
Un hommage tout en retenue et sincérité à une culture populaire et une vie simple
C’est une mise en miroir à la fois personnelle, intime, familiale, sociale, artistique et politique où il est question de mémoire et de regard, de langage et de langue, de culture et de racines, de rapports de domination et de vulnérabilité, de transmission transgénérationnelle et de quête d’identité que propose Patricia Allio qui signe texte, mise en scène et interprétation.
[Emmanuelle Saulnier-Cassia, Un Fauteuil pour l'orchestre, 16 octobre 2023]
Hommage à une grand-mère disparue
Autoportrait à ma grand-mère est un portrait de Julienne Le Breton, sa grand-mère originaire du Morbihan, orpheline devenue ouvrière agricole dans la campagne bretonne de la seconde moitié du XXe siècle. [...] À travers la recherche de cette mémoire, [Patricia Allio] tente de rétablir un dialogue où elle perçoit sa propre vulnérabilité, transformant la pièce en un autoportrait qui questionne son identité profonde.
[Martine Pullara, Lyon Capitale, janvier 2024]
Personnages
1 femme(s)Langues : Français (fre) Catégories : Théâtre Mots-clés : Famille Bretagne Héritage Identité Portrait Langue Origines bretagne france Note de contenu : Patricia Allio écrit, met en scène, performe et réalise. Depuis sx.rx.Rx, sa première pièce mettant en scène des écrits bruts – créée en 2004 à la Fondation Cartier pour l'art contemporain puis au Kunstenfestivaldesarts –, elle met la marge au centre, interroge nos constructions identitaires, pour en faire ressortir leurs virtualités mutantes et liantes. Lauréate de la Villa Médicis hors les murs, elle part à New York en 2006 où elle prépare Life is but a dream, une performance autour de Kathy Acker. En 2008, elle adapte pour la scène sa conférence queer Habiter, puis s'associe à Éléonore Weber autour du manifeste Symptôme et Proposition. Prélevant des échantillons du réel, elles écrivent autour de cas limites. Pour la scène ou les musées, elles ont conçu : Un inconvénient mineur sur l'échelle des valeurs à la Grande Halle de la Villette en 2008 ; Premier monde (projet franco-mexicain) à la Grande Halle de la Villette en 2011 ; Prim'Holstein au Centre Pompidou (Festival Hors Pistes) en 2012 ; Fin de l'origine du monde aux Subsistances en 2012 ; Natural Beauty Museum au Centre Pompidou (Festival d' Automne) en 2014 et Contre Nature au Museum d'Histoire Naturelle du Havre (Festival Terres de Paroles) en 2016. Autoportrait à ma grand-mère [texte imprimé] / Patricia Allio, Auteur . - les Solitaires intempestifs, 2023 . - 80 pages ; 12.5 x 20 cm. - (Fiction) .
ISBN : 978-2-84681-704-2 : 14€
Présentation
Pendant plusieurs années, Patricia Allio a écrit un texte où elle s'adresse à Julienne Le Breton, sa grand-mère maternelle originaire du Morbihan. Au détour de restitutions de conversations qu'elle a enregistrées dans la voiture ou le long du Canal de Nantes à Brest, de souvenirs, d'anecdotes, elle soulève la question de l'héritage paradoxal, notamment sous forme de honte de soi, de déni et de culpabilité. L'auteure interroge notamment le poids de la honte liée à la langue maternelle interdite, le breton.
Création
Création théâtrale de et avec l’autrice en novembre 2018 à Brest au Quartz, puis présentée en tournée de décembre 2018 à octobre 2022 (notamment à Paris, Rome, Mulhouse, Rennes, Blois, Avignon).
Reprise du spectacle en 2023 et 2024.
Presse
Un spectacle à la lisière de l’Histoire et des petites histoires
Le monologue performé prend la forme d’une lettre ouverte à une morte, vibrante d’émotions, de politique et d’érotisme. Ici ce n’est pas la douleur et la perte qui sous-tendent l’hommage autobiographique, mais la joie de se souvenir, de continuer le dialogue, d’« entendre » nos morts, tout simplement.
[Véronique Hotte, hotello, 10 octobre 2023]
Un texte profond, touchant, une trame narratrice originale
Trois thèmes dans un même texte : l’histoire de la Bretagne et de sa langue, le vieillissement et la transmission liée au tissage des liens familiaux.
[Nathalie Tambutet, theatreactu, 30 septembre 2023]
Un hommage tout en retenue et sincérité à une culture populaire et une vie simple
C’est une mise en miroir à la fois personnelle, intime, familiale, sociale, artistique et politique où il est question de mémoire et de regard, de langage et de langue, de culture et de racines, de rapports de domination et de vulnérabilité, de transmission transgénérationnelle et de quête d’identité que propose Patricia Allio qui signe texte, mise en scène et interprétation.
[Emmanuelle Saulnier-Cassia, Un Fauteuil pour l'orchestre, 16 octobre 2023]
Hommage à une grand-mère disparue
Autoportrait à ma grand-mère est un portrait de Julienne Le Breton, sa grand-mère originaire du Morbihan, orpheline devenue ouvrière agricole dans la campagne bretonne de la seconde moitié du XXe siècle. [...] À travers la recherche de cette mémoire, [Patricia Allio] tente de rétablir un dialogue où elle perçoit sa propre vulnérabilité, transformant la pièce en un autoportrait qui questionne son identité profonde.
[Martine Pullara, Lyon Capitale, janvier 2024]
Personnages
1 femme(s)
Langues : Français (fre)
Catégories : Théâtre Mots-clés : Famille Bretagne Héritage Identité Portrait Langue Origines bretagne france Note de contenu : Patricia Allio écrit, met en scène, performe et réalise. Depuis sx.rx.Rx, sa première pièce mettant en scène des écrits bruts – créée en 2004 à la Fondation Cartier pour l'art contemporain puis au Kunstenfestivaldesarts –, elle met la marge au centre, interroge nos constructions identitaires, pour en faire ressortir leurs virtualités mutantes et liantes. Lauréate de la Villa Médicis hors les murs, elle part à New York en 2006 où elle prépare Life is but a dream, une performance autour de Kathy Acker. En 2008, elle adapte pour la scène sa conférence queer Habiter, puis s'associe à Éléonore Weber autour du manifeste Symptôme et Proposition. Prélevant des échantillons du réel, elles écrivent autour de cas limites. Pour la scène ou les musées, elles ont conçu : Un inconvénient mineur sur l'échelle des valeurs à la Grande Halle de la Villette en 2008 ; Premier monde (projet franco-mexicain) à la Grande Halle de la Villette en 2011 ; Prim'Holstein au Centre Pompidou (Festival Hors Pistes) en 2012 ; Fin de l'origine du monde aux Subsistances en 2012 ; Natural Beauty Museum au Centre Pompidou (Festival d' Automne) en 2014 et Contre Nature au Museum d'Histoire Naturelle du Havre (Festival Terres de Paroles) en 2016. Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042972 LT ALL AUT Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Dispak Dispac'h / Patricia Allio
Titre : Dispak Dispac'h : Tribunal permanent des peuples Type de document : texte imprimé Auteurs : Patricia Allio, Auteur Editeur : Besançon : les Solitaires intempestifs Année de publication : 2023 Collection : Du désavantage du vent Importance : 112 pages Format : 12.5 x 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84681-715-8 Prix : 15€ Note générale : Avec les contributions de Bernardo Montet, Gianni Tognoni, Élise Marie, Stéphane Ravacley, Marie-Christine Vergiat, Gaël Manzi, Mortaza Behboudi, David Yambio et Falmarès
Présentation
Au lendemain de sa majorité, sa tutrice me téléphone et me dit : « On a eu la visite de la gendarmerie, Laye doit quitter l’entreprise dans un mois. » Je ne me vois pas laisser partir un apprenti si enjoué d’apprendre, si souriant, si sérieux, alors que personne ne vient pour prendre cette place. Je demande à des amis : « Qu’est-ce que je fais ? »
En janvier 2018, se tenait la session du Tribunal permanent des peuples consacrée à la violation des droits des personnes migrantes et réfugiés. Patricia Allio bascule au théâtre sa perception de ce moment. Des activistes, des juristes, une ancienne députée européenne, un boulanger, un journaliste afghan, un poète racontent les méandres qui guettent les demandeurs d’asile.
Quelles voix méritent d’être entendues et pourtant ne le sont pas ? Que dit-on lorsqu’on ne trouve plus les mots ? Dispak Dispac’h ouvre les esprits et l’espace d’une micro-révolution où célébrer les indisciplines. La seule chose à ne pas perdre pour pouvoir s’insurger, ce sont nos voix.
Création
Créé en novembre 2021 au Théâtre de Lorient dans une mise en scène de l’auteure, le spectacle est présenté lors du Festival d’Avignon 2023 du 15 au 21 juillet.
Outre Patricia Allio, Dispak Dispac’h réunit le co-fondateur de l’association humanitaire Utopia 56, Gaël Manzi, l’actrice Élise Marie, le militant politique Stéphane Ravacley – connu pour son engagement ayant permis la régularisation de Laye Fodé Traoré qui travaillait dans sa boulangerie comme apprenti –, l’ex-députée européenne et vice-présidente de la Ligue des droits de l’Homme, Marie-Christine Vergiat, l’activiste et fondateur de Refugees in Lybia, David Yambio, ainsi que le journaliste franco-afghan Mortaza Behboudi, toujours emprisonné à Kaboul depuis son arrestation par les Talibans en janvier 2023.
Personnages
4 ou plus selon les témoignages associésLangues : Français (fre) Catégories : Théâtre
Théâtre contemporainMots-clés : Migrant Réfugié Solidarité Politique Documentaire Humanité france Dispak Dispac'h : Tribunal permanent des peuples [texte imprimé] / Patricia Allio, Auteur . - les Solitaires intempestifs, 2023 . - 112 pages ; 12.5 x 20 cm. - (Du désavantage du vent) .
ISBN : 978-2-84681-715-8 : 15€
Avec les contributions de Bernardo Montet, Gianni Tognoni, Élise Marie, Stéphane Ravacley, Marie-Christine Vergiat, Gaël Manzi, Mortaza Behboudi, David Yambio et Falmarès
Présentation
Au lendemain de sa majorité, sa tutrice me téléphone et me dit : « On a eu la visite de la gendarmerie, Laye doit quitter l’entreprise dans un mois. » Je ne me vois pas laisser partir un apprenti si enjoué d’apprendre, si souriant, si sérieux, alors que personne ne vient pour prendre cette place. Je demande à des amis : « Qu’est-ce que je fais ? »
En janvier 2018, se tenait la session du Tribunal permanent des peuples consacrée à la violation des droits des personnes migrantes et réfugiés. Patricia Allio bascule au théâtre sa perception de ce moment. Des activistes, des juristes, une ancienne députée européenne, un boulanger, un journaliste afghan, un poète racontent les méandres qui guettent les demandeurs d’asile.
Quelles voix méritent d’être entendues et pourtant ne le sont pas ? Que dit-on lorsqu’on ne trouve plus les mots ? Dispak Dispac’h ouvre les esprits et l’espace d’une micro-révolution où célébrer les indisciplines. La seule chose à ne pas perdre pour pouvoir s’insurger, ce sont nos voix.
Création
Créé en novembre 2021 au Théâtre de Lorient dans une mise en scène de l’auteure, le spectacle est présenté lors du Festival d’Avignon 2023 du 15 au 21 juillet.
Outre Patricia Allio, Dispak Dispac’h réunit le co-fondateur de l’association humanitaire Utopia 56, Gaël Manzi, l’actrice Élise Marie, le militant politique Stéphane Ravacley – connu pour son engagement ayant permis la régularisation de Laye Fodé Traoré qui travaillait dans sa boulangerie comme apprenti –, l’ex-députée européenne et vice-présidente de la Ligue des droits de l’Homme, Marie-Christine Vergiat, l’activiste et fondateur de Refugees in Lybia, David Yambio, ainsi que le journaliste franco-afghan Mortaza Behboudi, toujours emprisonné à Kaboul depuis son arrestation par les Talibans en janvier 2023.
Personnages
4 ou plus selon les témoignages associés
Langues : Français (fre)
Catégories : Théâtre
Théâtre contemporainMots-clés : Migrant Réfugié Solidarité Politique Documentaire Humanité france Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042973 LT ALL DIS Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Les Castellucci / Bruno Tackels
Titre : Les Castellucci : Ecrivains de plateau I Type de document : texte imprimé Auteurs : Bruno Tackels, Auteur Editeur : Besançon : les Solitaires intempestifs Année de publication : 2005 Collection : Du désavantage du vent Importance : 128 pages Format : 12.5 x 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84681-146-0 Prix : 13€ Note générale : Autour de Romeo Castellucci, de sa sœur Claudia et de sa femme Chiara Guidi, est née la Socìetas Raffaello Sanzio, troupe italienne qui s’essaie depuis 1980 à l’invention d’une véritable langue de la scène. En puisant dans tous les champs du savoir humain (art, science, philosophie), ce groupe parvient à créer des univers singuliers et des œuvres innovantes où toute forme d’intelligence du monde est prétexte à une traduction scénique.
C’est à partir de notes, chroniques et entretiens réalisés autour de plusieurs de leurs créations que Bruno Tackels pose ici le premier opuscule d’une série qu’il consacrera aux « écrivains de plateau », ceux qui écrivent avec les mots « de » la scène, dans les « langues étrangères » de la scène.Langues : Français (fre) Catégories : Arts du spectacle
Création théâtrale
Ecriture de plateau
Ecriture dramatique
Théâtre
Théâtre - mise en scène
Théâtre contemporainMots-clés : italie entretiens opéra avignon artaud ferdinandcéline philosophie science animaux violence Les Castellucci : Ecrivains de plateau I [texte imprimé] / Bruno Tackels, Auteur . - les Solitaires intempestifs, 2005 . - 128 pages ; 12.5 x 20 cm. - (Du désavantage du vent) .
ISBN : 978-2-84681-146-0 : 13€
Autour de Romeo Castellucci, de sa sœur Claudia et de sa femme Chiara Guidi, est née la Socìetas Raffaello Sanzio, troupe italienne qui s’essaie depuis 1980 à l’invention d’une véritable langue de la scène. En puisant dans tous les champs du savoir humain (art, science, philosophie), ce groupe parvient à créer des univers singuliers et des œuvres innovantes où toute forme d’intelligence du monde est prétexte à une traduction scénique.
C’est à partir de notes, chroniques et entretiens réalisés autour de plusieurs de leurs créations que Bruno Tackels pose ici le premier opuscule d’une série qu’il consacrera aux « écrivains de plateau », ceux qui écrivent avec les mots « de » la scène, dans les « langues étrangères » de la scène.
Langues : Français (fre)Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1040324 2.13 CAS TAC Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Sorti jusqu'au 16/05/2024 Pensée plurielle, écritures singulières / Enzo Cormann
Titre : Pensée plurielle, écritures singulières : pédagogie critique et collective de l'écriture dramatique Type de document : texte imprimé Auteurs : Enzo Cormann, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurent Gutmann, Préfacier, etc. ; Vincent Bady, Auteur ; Laura Tirandaz, Auteur ; Guillaume Poix, Auteur ; Magali Mougel, Auteur ; Lisiane Durand, Auteur ; Olivier Neveux (1975-....), Auteur ; Mireille Losco-Lena, Auteur ; Mathieu Bertholet, Auteur ; Marion Aubert, Auteur ; Pauline Sales, Auteur ; Samuel Gallet, Auteur ; Pauline Peyrade, Auteur ; Fabrice Melquiot, Auteur Editeur : Besançon : les Solitaires intempestifs Année de publication : 2020 Collection : Du désavantage du vent Importance : 215 pages Format : 12.5 x20cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84681-606-9 Prix : 15€ Note générale : Depuis 2003, le département d'écriture dramatique de l'Ensatt (Ecole nationale supérieure des arts et techniques du théâtre) accueille de jeunes artistes écrivant pour le théâtre. Trois années durant, leurs ouvrages en cours d'écriture bénéficient d'un accompagnement collectif critique. Le présent ouvrage dresse le tableau d'une "utopie concrète" au sein d'une école d'art : comment concilier ambitions pédagogiques et émancipation artistique, enseignement et absence de formatage, travail collectif et singularités ? Langues : Français (fre) Catégories : Écriture
Ecriture de plateau
Ecriture dramatique
Pédagogie et théâtre
Théâtre -- Étude et enseignementMots-clés : écriture théâtrale exercice d'écriture auteur autrice expérience collective Pensée plurielle, écritures singulières : pédagogie critique et collective de l'écriture dramatique [texte imprimé] / Enzo Cormann, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Laurent Gutmann, Préfacier, etc. ; Vincent Bady, Auteur ; Laura Tirandaz, Auteur ; Guillaume Poix, Auteur ; Magali Mougel, Auteur ; Lisiane Durand, Auteur ; Olivier Neveux (1975-....), Auteur ; Mireille Losco-Lena, Auteur ; Mathieu Bertholet, Auteur ; Marion Aubert, Auteur ; Pauline Sales, Auteur ; Samuel Gallet, Auteur ; Pauline Peyrade, Auteur ; Fabrice Melquiot, Auteur . - les Solitaires intempestifs, 2020 . - 215 pages ; 12.5 x20cm. - (Du désavantage du vent) .
ISBN : 978-2-84681-606-9 : 15€
Depuis 2003, le département d'écriture dramatique de l'Ensatt (Ecole nationale supérieure des arts et techniques du théâtre) accueille de jeunes artistes écrivant pour le théâtre. Trois années durant, leurs ouvrages en cours d'écriture bénéficient d'un accompagnement collectif critique. Le présent ouvrage dresse le tableau d'une "utopie concrète" au sein d'une école d'art : comment concilier ambitions pédagogiques et émancipation artistique, enseignement et absence de formatage, travail collectif et singularités ?
Langues : Français (fre)
Catégories : Écriture
Ecriture de plateau
Ecriture dramatique
Pédagogie et théâtre
Théâtre -- Étude et enseignementMots-clés : écriture théâtrale exercice d'écriture auteur autrice expérience collective Réservation
Réserver ce document
Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1043014 2.2 PEN COL Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Bovary / Tiago Rodrigues
PermalinkFamily art / Pauline Sales
PermalinkEn prévision de la fin du monde et de la création d'un nouveau / Pauline Sales
PermalinkLes femmes de la maison / Pauline Sales
PermalinkJournal 1990-1995 / Jean-Luc Lagarce
Permalink