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L'anatomie du scénario / John Truby
Titre : L'anatomie du scénario : cinéma, littérature, séries télé Type de document : texte imprimé Auteurs : John Truby, Auteur ; Muriel Levet, Traducteur Editeur : Paris : Nouveau monde éditions Année de publication : 2010 Importance : 1 vol. (462 p.) Format : 23 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84736-490-3 Langues : Français (fre) Catégories : Cinéma
Écriture
Ecriture dramatique
TélévisionRésumé : Parmi les nombreux essais et manuels d'écriture, L'Anatomie du scénario est une référence incontournable pour les scénaristes débutants et confirmés. John Truby entend mettre fin au dogme de la structure en trois actes qu'il juge artificielle. Il préconise les intrigues à multiples facettes, les réseaux de personnages et le mélange des genres. Il invite à tordre les règles qui régissent l'écriture de scénarios afin d'écrire des histoires originales qui doivent être abordées comme des organismes vivants, aussi changeants et complexes que ceux qui les imaginent. Les préceptes développés dans ce livre complètent plus qu'ils ne concurrencent les ouvrages d'autres théoriciens de la dramaturgie. Ils exposent les bases d'une formation continue aussi populaire en France qu'aux Etats-Unis où elle a été mise en place il y a trente ans. Cette Anatomie du scénario est issue d'un long travail d'analyse de centaines de films, de pièces de théâtre, de nouvelles et de romans, allant d'Ulysse de Joyce à La Guerre des étoiles en passant par Tootsie. Concret, pratique sans être simpliste, cet ouvrage s'impose comme la bible du scénariste.
(4e de couv.)L'anatomie du scénario : cinéma, littérature, séries télé [texte imprimé] / John Truby, Auteur ; Muriel Levet, Traducteur . - Paris : Nouveau monde éditions, 2010 . - 1 vol. (462 p.) ; 23 cm.
ISBN : 978-2-84736-490-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Cinéma
Écriture
Ecriture dramatique
TélévisionRésumé : Parmi les nombreux essais et manuels d'écriture, L'Anatomie du scénario est une référence incontournable pour les scénaristes débutants et confirmés. John Truby entend mettre fin au dogme de la structure en trois actes qu'il juge artificielle. Il préconise les intrigues à multiples facettes, les réseaux de personnages et le mélange des genres. Il invite à tordre les règles qui régissent l'écriture de scénarios afin d'écrire des histoires originales qui doivent être abordées comme des organismes vivants, aussi changeants et complexes que ceux qui les imaginent. Les préceptes développés dans ce livre complètent plus qu'ils ne concurrencent les ouvrages d'autres théoriciens de la dramaturgie. Ils exposent les bases d'une formation continue aussi populaire en France qu'aux Etats-Unis où elle a été mise en place il y a trente ans. Cette Anatomie du scénario est issue d'un long travail d'analyse de centaines de films, de pièces de théâtre, de nouvelles et de romans, allant d'Ulysse de Joyce à La Guerre des étoiles en passant par Tootsie. Concret, pratique sans être simpliste, cet ouvrage s'impose comme la bible du scénariste.
(4e de couv.)Réservation
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Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1041095 1.34 ANA TRU Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible L'art du cinéma / Pierre Lherminier
Titre : L'art du cinéma Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Lherminier, Auteur Editeur : Paris : Seghers Année de publication : 1960 Importance : 1 vol. (631 p.) Langues : Français (fre) Catégories : Cinéma L'art du cinéma [texte imprimé] / Pierre Lherminier, Auteur . - Paris : Seghers, 1960 . - 1 vol. (631 p.).
Langues : Français (fre)
Catégories : Cinéma Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1040560 1.34 ART LHE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible L'art comme langage du changement / Jean Dierkens
Titre : L'art comme langage du changement Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Dierkens, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : Mons : Le Ciephum Année de publication : 1976 Collection : Cahiers internationaux de symbolisme num. 29-30 Importance : 1 vol. (215 p.) Langues : Français (fre) Catégories : Arts comparés (théâtre)
Cinéma
Littérature -- Esthétique
Symbolisme
VidéoL'art comme langage du changement [texte imprimé] / Jean Dierkens, Directeur de publication, rédacteur en chef . - Le Ciephum, 1976 . - 1 vol. (215 p.). - (Cahiers internationaux de symbolisme; 29-30) .
Langues : Français (fre)
Catégories : Arts comparés (théâtre)
Cinéma
Littérature -- Esthétique
Symbolisme
VidéoRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1040459 2.12 ART DIE 29-30 Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Le Camion ; Entretien avec Michelle Porte / Marguerite Duras
Titre : Le Camion ; Entretien avec Michelle Porte Type de document : texte imprimé Auteurs : Marguerite Duras, Auteur Editeur : Paris : Les éditions de Minuit Année de publication : 1977 Importance : 144 pages Format : poche ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7073-0179-6 Note générale : L’ouvrage que nous publions est composé de deux textes littéraires d’une part du scénario qui se présente de la même façon que Détruire dit-elle avec des indications techniques, d’autre part de l’entretien qu’a eu Marguerite Duras avec Michèle Porte, à la suite de la réalisation du film.
Le scénario indique que pratiquement tout le film se déroule dans un même lieu où on lit une histoire. Dans une chambre fermée où tous les rideaux sont tirés, un homme (Gérard Depardieu) et une femme (Marguerite Duras) parlent pendant 1 heure 20. La femme raconte une histoire qui est celle d’une femme qui monte dans un camion en faisant du stop et qui parle au chauffeur qui ne l’écoute pas. Pas une seule fois, on ne voit la femme dans le camion. Seul, par moments, le camion apparaît et des voix off indiquent que la femme parle au camionneur.
Parlant de ce film, à un journaliste de l’Express, Marguerite Duras disait : “ Que Le cinéma aille à sa perte, c’est le seul cinéma. Que le monde aille à sa perte, c’est la seule politique... J’aime assez quand la platitude devient importante. ”
Le scénario est suivi d’un entretien avec Michèle Porte dans lequel Marguerite Duras parle de sa conception du cinéma. De pièce de théâtre en roman, de roman en film, Marguerite Duras écrit l’histoire des relations d’un auteur avec son œuvre et notamment celle de la destruction de l’appropriation d’une forme bien déterminée à un thème. Elle évoque ensuite ses précédents films, son enfance en Indochine, sa mère son appartenance au parti communiste et sa rupture d’avec celui-ci, ses prises de position politique, sa maison de Neauphle-le-Château. On retrouve dans cet entretien le thème principal de l’œuvre de Marguerite Duras, celui de la folie salvatrice : le fou libéré de tout problème de forme peut enfin créer et la création ainsi libérée des limitations que lui impose la forme, est directement saisissable par le public. Ce qui permet à Marguerite Duras de dire à propos des thèmes abordés dans Le Camion : “ Je peux passer de la politique à la Beauce, de la Beauce au voyage de la dame, de la dame aux marchandises transportées, à la solitude, à l’écriture, aux maisons qu’elle a habitées. ”
Pourquoi deux versions d’une même œuvre, peut-on se demander. Parce que Marguerite Duras a besoin de ne jamais imposer une représentation unique. Le texte doit être refait par le lecteur ou le film par le spectateur.
Bien que ces œuvres soient complémentaires l’une de l’autre, chacune a sa propre existence, qu’elle soit œuvre littéraire (écrite ou parlée ou qu’elle soit œuvre cinématographique, et le sens ne vient que de la façon dont on ressent le ton de l’auteur que ce soit à travers les mots ou à travers les images.
‑‑‑‑‑ Extrait d’un entretien avec Marguerite Duras ‑‑‑‑‑
Entretien paru dans Le Monde, en 1977
Comment peut-on concevoir un film qui repose uniquement sur la parole ?
Le Camion ne repose pas uniquement sur la parole, il y a quelqu’un qui lit, quelqu’un qui écoute. Le camion sur une route, c’est une image, c’est de l’image. Ça n’aurait pas pu être du théâtre, Le Camion n’est pas joué, il est lu, et il n’a pas été répété. S’il l’avait été, ç’aurait été un autre film.
Je ne sais pas si on peut parler de mise en scène ni même de montage dans Le Camion, mais peut-être seulement d’une mise en place. Dans la chaîne de la représentation, il y a un créneau blanc : en général, un texte, on l’apprend, on le joue, on le représente. Là, on le lit. Et c’est l’incertitude quant à l’équation Camion. Je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai fait ça d’instinct, je m’aperçois que la représentation a été éliminée. Le Camion, c’est seulement la représentation de la lecture elle-même. Et puis il y a le camion, élément uniforme, constamment identique à lui-même, qui traverse l’écran comme le ferait une portée musicale.
Je dis Le Camion comme j’entends l’écriture se faire. Car on l’entend, avant la projection sur la page. Avant la sortie de la phrase, elle est entendue. Je me tiens dans cet espace-là, c’est être au plus proche de l’énoncé interne. En général, il y a la projection sur la page et la préhension de l’écrit par un tiers. C’est le spectacle, Là, ça n’existe pas. On ne descend pas vers l’éclatement du texte. La lecture fait remonter vers lui, vers le lieu où il n’est pas encore dit. Dans une relation personnelle, dans la vie, il y a surgissement de la parole, et rien à faire, on ne le retrouve, jamais, ni au cinéma ni au théâtre. Il y a une sorte de passage à I’acte du texte qui l’use qui le vieillit. Dans Le Camion, sauf moi qui le connaissais pour l’avoir écrit, personne n’avait entendu le texte. Bien sûr, c’est un risque très grand. Le Camion, c’est ce risque là.
C’est un texte approximatif et interchangeable pour la plus grande part. Il y a ça qui compte beaucoup. À tout moment, je pouvais m’autoriser à tout changer. Le film s’est fait en même temps qu’il s’est filméLangues : Français (fre) Catégories : Cinéma Mots-clés : france scénario script femme autrice Le Camion ; Entretien avec Michelle Porte [texte imprimé] / Marguerite Duras, Auteur . - Paris : Les éditions de Minuit, 1977 . - 144 pages ; poche.
ISBN : 978-2-7073-0179-6
L’ouvrage que nous publions est composé de deux textes littéraires d’une part du scénario qui se présente de la même façon que Détruire dit-elle avec des indications techniques, d’autre part de l’entretien qu’a eu Marguerite Duras avec Michèle Porte, à la suite de la réalisation du film.
Le scénario indique que pratiquement tout le film se déroule dans un même lieu où on lit une histoire. Dans une chambre fermée où tous les rideaux sont tirés, un homme (Gérard Depardieu) et une femme (Marguerite Duras) parlent pendant 1 heure 20. La femme raconte une histoire qui est celle d’une femme qui monte dans un camion en faisant du stop et qui parle au chauffeur qui ne l’écoute pas. Pas une seule fois, on ne voit la femme dans le camion. Seul, par moments, le camion apparaît et des voix off indiquent que la femme parle au camionneur.
Parlant de ce film, à un journaliste de l’Express, Marguerite Duras disait : “ Que Le cinéma aille à sa perte, c’est le seul cinéma. Que le monde aille à sa perte, c’est la seule politique... J’aime assez quand la platitude devient importante. ”
Le scénario est suivi d’un entretien avec Michèle Porte dans lequel Marguerite Duras parle de sa conception du cinéma. De pièce de théâtre en roman, de roman en film, Marguerite Duras écrit l’histoire des relations d’un auteur avec son œuvre et notamment celle de la destruction de l’appropriation d’une forme bien déterminée à un thème. Elle évoque ensuite ses précédents films, son enfance en Indochine, sa mère son appartenance au parti communiste et sa rupture d’avec celui-ci, ses prises de position politique, sa maison de Neauphle-le-Château. On retrouve dans cet entretien le thème principal de l’œuvre de Marguerite Duras, celui de la folie salvatrice : le fou libéré de tout problème de forme peut enfin créer et la création ainsi libérée des limitations que lui impose la forme, est directement saisissable par le public. Ce qui permet à Marguerite Duras de dire à propos des thèmes abordés dans Le Camion : “ Je peux passer de la politique à la Beauce, de la Beauce au voyage de la dame, de la dame aux marchandises transportées, à la solitude, à l’écriture, aux maisons qu’elle a habitées. ”
Pourquoi deux versions d’une même œuvre, peut-on se demander. Parce que Marguerite Duras a besoin de ne jamais imposer une représentation unique. Le texte doit être refait par le lecteur ou le film par le spectateur.
Bien que ces œuvres soient complémentaires l’une de l’autre, chacune a sa propre existence, qu’elle soit œuvre littéraire (écrite ou parlée ou qu’elle soit œuvre cinématographique, et le sens ne vient que de la façon dont on ressent le ton de l’auteur que ce soit à travers les mots ou à travers les images.
‑‑‑‑‑ Extrait d’un entretien avec Marguerite Duras ‑‑‑‑‑
Entretien paru dans Le Monde, en 1977
Comment peut-on concevoir un film qui repose uniquement sur la parole ?
Le Camion ne repose pas uniquement sur la parole, il y a quelqu’un qui lit, quelqu’un qui écoute. Le camion sur une route, c’est une image, c’est de l’image. Ça n’aurait pas pu être du théâtre, Le Camion n’est pas joué, il est lu, et il n’a pas été répété. S’il l’avait été, ç’aurait été un autre film.
Je ne sais pas si on peut parler de mise en scène ni même de montage dans Le Camion, mais peut-être seulement d’une mise en place. Dans la chaîne de la représentation, il y a un créneau blanc : en général, un texte, on l’apprend, on le joue, on le représente. Là, on le lit. Et c’est l’incertitude quant à l’équation Camion. Je ne sais pas ce qui s’est passé, j’ai fait ça d’instinct, je m’aperçois que la représentation a été éliminée. Le Camion, c’est seulement la représentation de la lecture elle-même. Et puis il y a le camion, élément uniforme, constamment identique à lui-même, qui traverse l’écran comme le ferait une portée musicale.
Je dis Le Camion comme j’entends l’écriture se faire. Car on l’entend, avant la projection sur la page. Avant la sortie de la phrase, elle est entendue. Je me tiens dans cet espace-là, c’est être au plus proche de l’énoncé interne. En général, il y a la projection sur la page et la préhension de l’écrit par un tiers. C’est le spectacle, Là, ça n’existe pas. On ne descend pas vers l’éclatement du texte. La lecture fait remonter vers lui, vers le lieu où il n’est pas encore dit. Dans une relation personnelle, dans la vie, il y a surgissement de la parole, et rien à faire, on ne le retrouve, jamais, ni au cinéma ni au théâtre. Il y a une sorte de passage à I’acte du texte qui l’use qui le vieillit. Dans Le Camion, sauf moi qui le connaissais pour l’avoir écrit, personne n’avait entendu le texte. Bien sûr, c’est un risque très grand. Le Camion, c’est ce risque là.
C’est un texte approximatif et interchangeable pour la plus grande part. Il y a ça qui compte beaucoup. À tout moment, je pouvais m’autoriser à tout changer. Le film s’est fait en même temps qu’il s’est filmé
Langues : Français (fre)
Catégories : Cinéma Mots-clés : france scénario script femme autrice Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042989 1.34 CAM DUR Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible La comédie musicale / John Springer
Titre : La comédie musicale : Histoire en images du film musical Type de document : texte imprimé Auteurs : John Springer, Auteur ; Gene Kelly, Préfacier, etc. Editeur : Henri Veyrier Année de publication : 1979 Importance : 256 pages Présentation : ill. n&b Format : 28 x 21.5 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-85199-172-0 Note générale : Sommaire
Le rêve et le bonheur par Françoise Ducout
1 L'avènement du parlant
2 L'opération "quarante-deuxième rue"
3 Crosby, le "crooner"
4 Entrons dans la danse avec Fred Astaire!
5 Les Danseuses
6 Duos d'amour
7 Au royaume des enfants
8 la grande tradition des blondes
9 L'âge d'or de la comédie musicale
10 Broadway revu et corrigé par Hollywood
11 Biographies en musique
12 La musique de film
13 Déclin et renouveau de la comédie musicale
14 Et maintenantLangues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame) Catégories : Cinéma
Comédie musicale
Musique et cinémaMots-clés : USA don hainaux hollywood stars danse chant etats-unis La comédie musicale : Histoire en images du film musical [texte imprimé] / John Springer, Auteur ; Gene Kelly, Préfacier, etc. . - [S.l.] : Henri Veyrier, 1979 . - 256 pages : ill. n&b ; 28 x 21.5 cm.
ISBN : 978-2-85199-172-0
Sommaire
Le rêve et le bonheur par Françoise Ducout
1 L'avènement du parlant
2 L'opération "quarante-deuxième rue"
3 Crosby, le "crooner"
4 Entrons dans la danse avec Fred Astaire!
5 Les Danseuses
6 Duos d'amour
7 Au royaume des enfants
8 la grande tradition des blondes
9 L'âge d'or de la comédie musicale
10 Broadway revu et corrigé par Hollywood
11 Biographies en musique
12 La musique de film
13 Déclin et renouveau de la comédie musicale
14 Et maintenant
Langues : Français (fre) Langues originales : Américain (ame)
Catégories : Cinéma
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Musique et cinémaMots-clés : USA don hainaux hollywood stars danse chant etats-unis Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042784 1.34 COM SPR Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Dieu, Shakespeare et moi / Woody Allen
PermalinkLa dramaturgie / Yves Lavandier
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PermalinkJean-Pierre et Luc Dardenne / Jacqueline Aubenas
PermalinkLittérature et langages : vol. 3 / Roger Laufer
PermalinkDe long en large 2012 / Belgique. Fédération Wallonie-Bruxelles. Service général de l'audiovisuel et des multimédias. Centre du cinéma et de l'audiovisuel
PermalinkLa marionnette et le film d'animation / Vincent Bierrewaerts
PermalinkPier-Paolo Pasolini, qui êtes-vous ? / Alain-Michel Boyer
Permalinkpowidoki, afterimages : film school in Lodz / Collectif
PermalinkÉcrits sur le théâtre, 2. Théâtre - solstices / François Regnault
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