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Collection Bouquins
- Editeur : Robert Laffont
- ISSN : pas d'ISSN
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Ajouter le résultat dans votre panier Faire une suggestion Affiner la rechercheTout l'opéra / Gustave Kobbe
Titre : Tout l'opéra : de Monteverdi à nos jours Type de document : texte imprimé Auteurs : Gustave Kobbe, Auteur Editeur : Paris : Robert Laffont Année de publication : cop. 1982 Collection : Bouquins Importance : 1 vol. (1014 p.) Format : 20 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-221-50101-6 Note générale : Collection dirigée par Guy Schoeller. Edition établie par le comte de Harewood. Traduit de l'anglais par Marie-Caroline Aubert, Denis Collins et Marie-Stella Pâris. Adaptation française de Martine Kahane. Langues : Français (fre) Catégories : Analyse musicale
Oeuvres
OpéraRésumé : Depuis trois quarts de siècle, le Kobbé est l’ouvrage de référence des amateurs d’opéras dans le monde entier. Paru pour la première fois en 1922 – quatre ans après la mort accidentelle de son auteur, Gustave Kobbé (1857-1918), écrasé par un hydravion alors qu’il faisait du bateau au large de Long Island –, cette bible des mélomanes a connu d’innombrables rééditions et de nombreuses traductions.
À trois reprises (1954, 1976, 1985), Lord Harewood – qui a dirigé pendant plus de vingt ans le Royal Opera House de Londres, puis l’Opéra de Covent Garden – a complété et mis à jour cet incomparable instrument de travail.Tout l'opéra : de Monteverdi à nos jours [texte imprimé] / Gustave Kobbe, Auteur . - Robert Laffont, cop. 1982 . - 1 vol. (1014 p.) ; 20 cm. - (Bouquins) .
ISBN : 978-2-221-50101-6
Collection dirigée par Guy Schoeller. Edition établie par le comte de Harewood. Traduit de l'anglais par Marie-Caroline Aubert, Denis Collins et Marie-Stella Pâris. Adaptation française de Martine Kahane.
Langues : Français (fre)
Catégories : Analyse musicale
Oeuvres
OpéraRésumé : Depuis trois quarts de siècle, le Kobbé est l’ouvrage de référence des amateurs d’opéras dans le monde entier. Paru pour la première fois en 1922 – quatre ans après la mort accidentelle de son auteur, Gustave Kobbé (1857-1918), écrasé par un hydravion alors qu’il faisait du bateau au large de Long Island –, cette bible des mélomanes a connu d’innombrables rééditions et de nombreuses traductions.
À trois reprises (1954, 1976, 1985), Lord Harewood – qui a dirigé pendant plus de vingt ans le Royal Opera House de Londres, puis l’Opéra de Covent Garden – a complété et mis à jour cet incomparable instrument de travail.Réservation
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Exemplaires
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1007664 782.1 OPE KOB Livre Bibliothèque ARTS². Musique Documentaires Disponible Théâtre, Contes, Romans et Nouvelles, Philosophie, Ecrits divers et Fragments retrouvés. / Georges Courteline
Titre : Théâtre, Contes, Romans et Nouvelles, Philosophie, Ecrits divers et Fragments retrouvés. Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Courteline, Auteur ; Georges Courteline, Préfacier, etc. ; Emmanuel Haymann, Présentateur Editeur : Paris : Robert Laffont Année de publication : 1990 Collection : Bouquins Importance : 990 pages Prix : 25€ Note générale : Hargneux, pitoyables, agressifs, jobards ou rusés, les personnages courtelinesques sont entrés depuis longtemps dans le panthéon de notre imaginaire. Les soldats avec leurs pantalons garance, les fonctionnaires avec leurs ronds-de-cuir sortent tout droit de la fin du XIXe siècle ; pourtant il nous semble bien les avoir croisés hier encore, devant une caserne ou dans les bureaux d'une administration.
Soldat puis fonctionnaire, Georges Courteline (1858-1929) observa le petit monde qui l'entourait pour en extraire la moelle comique : le rire n'est-il pas l'arme suprême contre le désespoir ? De sa brève expérience militaire, il tira Les Gaîtés de l'escadron puis Le Train de 8 h 47, récits où les sous-offs avinés et les bleus terrorisés composent une humanité cruelle dont l'humour est la seule rédemption. Avec Messieurs les ronds-de-cuir, l'auteur traça le portrait sans retouche de la galaxie bureaucratique, avec ses manies et ses délires, ses excès et ses léthargies. Très vite, le théâtre accueillit l'univers coloré et réaliste de Courteline et le carnaval bigarré de ses figures immortelles : le bon gros Boubouroche et sa maîtresse trop rouée, les Boulingrin, éternels martyrs de la vie conjugale, La Brige, ce "philosophe défensif" en butte à la justice, monsieur Badin, malade imaginaire de la bureaucratie tentaculaire...
Toute sa vie, Courteline a croisé la plume avec la bêtise humaine, il n'a jamais décoléré contre l'insondable stupidité de ses semblables ; sa verve s'est sans cesse nourrie d'une intarissable rage, celle de la victime écrasée par l'immense machine administrative.
Langues : Français (fre) Catégories : Littérature
Littérature -- philosophie
Littérature 19e siècle
roman
Théâtre
Théâtre -- 19e siècle
Théâtre et romanMots-clés : anthologie comédie critique sociétale satire Théâtre, Contes, Romans et Nouvelles, Philosophie, Ecrits divers et Fragments retrouvés. [texte imprimé] / Georges Courteline, Auteur ; Georges Courteline, Préfacier, etc. ; Emmanuel Haymann, Présentateur . - Robert Laffont, 1990 . - 990 pages. - (Bouquins) .
25€
Hargneux, pitoyables, agressifs, jobards ou rusés, les personnages courtelinesques sont entrés depuis longtemps dans le panthéon de notre imaginaire. Les soldats avec leurs pantalons garance, les fonctionnaires avec leurs ronds-de-cuir sortent tout droit de la fin du XIXe siècle ; pourtant il nous semble bien les avoir croisés hier encore, devant une caserne ou dans les bureaux d'une administration.
Soldat puis fonctionnaire, Georges Courteline (1858-1929) observa le petit monde qui l'entourait pour en extraire la moelle comique : le rire n'est-il pas l'arme suprême contre le désespoir ? De sa brève expérience militaire, il tira Les Gaîtés de l'escadron puis Le Train de 8 h 47, récits où les sous-offs avinés et les bleus terrorisés composent une humanité cruelle dont l'humour est la seule rédemption. Avec Messieurs les ronds-de-cuir, l'auteur traça le portrait sans retouche de la galaxie bureaucratique, avec ses manies et ses délires, ses excès et ses léthargies. Très vite, le théâtre accueillit l'univers coloré et réaliste de Courteline et le carnaval bigarré de ses figures immortelles : le bon gros Boubouroche et sa maîtresse trop rouée, les Boulingrin, éternels martyrs de la vie conjugale, La Brige, ce "philosophe défensif" en butte à la justice, monsieur Badin, malade imaginaire de la bureaucratie tentaculaire...
Toute sa vie, Courteline a croisé la plume avec la bêtise humaine, il n'a jamais décoléré contre l'insondable stupidité de ses semblables ; sa verve s'est sans cesse nourrie d'une intarissable rage, celle de la victime écrasée par l'immense machine administrative.
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature
Littérature -- philosophie
Littérature 19e siècle
roman
Théâtre
Théâtre -- 19e siècle
Théâtre et romanMots-clés : anthologie comédie critique sociétale satire Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1043347 LT COU THE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Théâtre : Platonov; Ivanov; Le génie des Bois; La Mouette; L'oncle Vania; Les Trois Soeurs; La Cerisaie; Sur la grand-route; Les méfaits du tabac; Le chant du cygne; L'ours; Une demande en mariage; Tatiana Répina; Le tragique malgré lui; Une noce; Le jubilé / Anton Tchekhov
Titre : Théâtre : Platonov; Ivanov; Le génie des Bois; La Mouette; L'oncle Vania; Les Trois Soeurs; La Cerisaie; Sur la grand-route; Les méfaits du tabac; Le chant du cygne; L'ours; Une demande en mariage; Tatiana Répina; Le tragique malgré lui; Une noce; Le jubilé Type de document : texte imprimé Auteurs : Anton Tchekhov, Auteur ; Denis Roche, Traducteur ; Anne Coldefy-Foucard, Traducteur ; Jean Bonamour, Présentateur Editeur : Paris : Robert Laffont Année de publication : 2003 Collection : Bouquins Importance : 860 pages Prix : 25€ Note générale : Ce volume invite à redécouvrir Tchékhov. Son théâtre d’abord. On trouvera ici les oeuvres complètes de l’auteur de La Cerisaie, y compris, donc, les divertissements en un acte qui, de la saynète au vaudeville, n’ont pas pris une ride. Leur verve parfois féroce aide à mieux comprendre pourquoi Tchékhov, contre ses admirateurs et ses metteurs en scène, soutenait que ses grandes pièces étaient comiques.
Quelques pièces exceptées (données dans une traduction originale d’Anne Coldefy-Faucard), la traduction est celle de Denis Roche, le premier à avoir popularisé Tchékhov en France, le seul traducteur qui ait connu personnellement l’écrivain.
C’est de même un Tchékhov « en son temps » qui est présenté, à travers ses écrits (correspondance, carnets) et des témoignages d’amis. Un Tchékhov ni plus ni moins authentique qu’un autre, sans doute, mais encore plus contradictoire, donc plus vivant et plus proche.
On croit connaître le « bon docteur » Tchékhov, ami des pauvres et philanthrope, le malade et le sceptique entre désespoir et rêves d’avenir. Connaît-on le Tchékhov passionné de vivre, entouré de jolies femmes, l’amateur de canulars et de cirques, le grand sportif et le grand voyageur ?
Ce Tchékhov-là, qu’agacent les propos sur sa « tendresse », sa « mélancolie » ou son « pessimisme », est un anticonformisme. Il se veut, à chaque instant, un homme libre. Il ne donne pas de leçons et ne veut pas en recevoir. Il refuse tous les embrigadements au nom du Peuple, du Progrès (auquel il croit), de l’Art et des Lumières. S’il entend travailler au bien commun, c’est parce qu’il trouve là son bonheur. Quant aux maîtres à penser, il les suspecte d’abuser de leur rente de situation médiatique, qu’ils appellent Tolstoï ou Diogène. Sa liberté à lui, c’est de vivre et penser totalement l’égalité naturelle entre tous les hommes. Tsiolkovski, le génial précurseur de la cosmonautique russe, avait un mot favori : « Je veux être un Tchékhov en science. »Langues : Français (fre) Langues originales : Russe (rus) Catégories : Théâtre
Théâtre -- 19e siècle
Théâtre -- 20e siècleMots-clés : anthologie comédie en 1 acte drame Théâtre : Platonov; Ivanov; Le génie des Bois; La Mouette; L'oncle Vania; Les Trois Soeurs; La Cerisaie; Sur la grand-route; Les méfaits du tabac; Le chant du cygne; L'ours; Une demande en mariage; Tatiana Répina; Le tragique malgré lui; Une noce; Le jubilé [texte imprimé] / Anton Tchekhov, Auteur ; Denis Roche, Traducteur ; Anne Coldefy-Foucard, Traducteur ; Jean Bonamour, Présentateur . - Robert Laffont, 2003 . - 860 pages. - (Bouquins) .
25€
Ce volume invite à redécouvrir Tchékhov. Son théâtre d’abord. On trouvera ici les oeuvres complètes de l’auteur de La Cerisaie, y compris, donc, les divertissements en un acte qui, de la saynète au vaudeville, n’ont pas pris une ride. Leur verve parfois féroce aide à mieux comprendre pourquoi Tchékhov, contre ses admirateurs et ses metteurs en scène, soutenait que ses grandes pièces étaient comiques.
Quelques pièces exceptées (données dans une traduction originale d’Anne Coldefy-Faucard), la traduction est celle de Denis Roche, le premier à avoir popularisé Tchékhov en France, le seul traducteur qui ait connu personnellement l’écrivain.
C’est de même un Tchékhov « en son temps » qui est présenté, à travers ses écrits (correspondance, carnets) et des témoignages d’amis. Un Tchékhov ni plus ni moins authentique qu’un autre, sans doute, mais encore plus contradictoire, donc plus vivant et plus proche.
On croit connaître le « bon docteur » Tchékhov, ami des pauvres et philanthrope, le malade et le sceptique entre désespoir et rêves d’avenir. Connaît-on le Tchékhov passionné de vivre, entouré de jolies femmes, l’amateur de canulars et de cirques, le grand sportif et le grand voyageur ?
Ce Tchékhov-là, qu’agacent les propos sur sa « tendresse », sa « mélancolie » ou son « pessimisme », est un anticonformisme. Il se veut, à chaque instant, un homme libre. Il ne donne pas de leçons et ne veut pas en recevoir. Il refuse tous les embrigadements au nom du Peuple, du Progrès (auquel il croit), de l’Art et des Lumières. S’il entend travailler au bien commun, c’est parce qu’il trouve là son bonheur. Quant aux maîtres à penser, il les suspecte d’abuser de leur rente de situation médiatique, qu’ils appellent Tolstoï ou Diogène. Sa liberté à lui, c’est de vivre et penser totalement l’égalité naturelle entre tous les hommes. Tsiolkovski, le génial précurseur de la cosmonautique russe, avait un mot favori : « Je veux être un Tchékhov en science. »
Langues : Français (fre) Langues originales : Russe (rus)
Catégories : Théâtre
Théâtre -- 19e siècle
Théâtre -- 20e siècleMots-clés : anthologie comédie en 1 acte drame Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1043315 LT TCH THE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible