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Messe n°5 en Lab Majeur : D. 678 / Franz Schubert
Titre : Messe n°5 en Lab Majeur : D. 678 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Franz Schubert (1797-1828), Compositeur ; Hermann Grabner, Editeur scientifique Editeur : London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg Importance : 1 partition (226 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : EE 4800 Note générale : Composition : 1819-1822 Catégories : Chant
Choeur
OrchestreInstruments : 0.2.2.2/2.0.0.0 + choeur + cordes Messe n°5 en Lab Majeur : D. 678 [partition musicale imprimée] / Franz Schubert (1797-1828), Compositeur ; Hermann Grabner, Editeur scientifique . - London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg, [s.d.] . - 1 partition (226 p.) ; 19 cm.
ISSN : EE 4800
Composition : 1819-1822
Catégories : Chant
Choeur
OrchestreInstruments : 0.2.2.2/2.0.0.0 + choeur + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1012100 8-X SCHb MES 5 Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Symphonie n°9 en Do Majeur : D 944 / Franz Schubert
Titre : Symphonie n°9 en Do Majeur : D 944 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Franz Schubert (1797-1828), Compositeur ; Hermann Grabner, Editeur scientifique Editeur : London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg Importance : 1 partition (268 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : EE 3610 Catégories : Orchestre Instruments : 2.2.2.2/2.2.3.0 + timb. + cordes Symphonie n°9 en Do Majeur : D 944 [partition musicale imprimée] / Franz Schubert (1797-1828), Compositeur ; Hermann Grabner, Editeur scientifique . - London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg, [s.d.] . - 1 partition (268 p.) ; 19 cm.
ISSN : EE 3610
Catégories : Orchestre Instruments : 2.2.2.2/2.2.3.0 + timb. + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1012736 8-X SCHb SYM 9 Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible 1012059 8-X SCHb SYM 9 Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible
Titre : Die Flöte von Sanssouci Op. 88 : Suite für Kammerorchester Titre original : La flûte de Sans-Souci : Op. 88 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Paul Graener (1872-1944), Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2016 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : Study Score num. 1775 Importance : 1 partition (38 p.) Format : 30 cm Prix : 17,00€ Note générale : Durée : 15'00" à 17'00" Langues : Anglais (eng) Allemand (ger) Catégories : Orchestre Note de contenu : 4 movements
I. Introduction und Sarabande
II. Gavotte
III. Air
IV. RigodonInstruments : Solo flute, Orchestra : 2 flutes, 2 oboes, 2 bassoons 2 horns, 2 trumpets timpani, snare drum, cymbals, strings En ligne : https://repertoire-explorer.musikmph.de/wp-content/uploads/vorworte_prefaces/177 [...] Die Flöte von Sanssouci Op. 88 = La flûte de Sans-Souci : Op. 88 : Suite für Kammerorchester [partition musicale imprimée] / Paul Graener (1872-1944), Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2016 . - 1 partition (38 p.) ; 30 cm. - (Repertoire explorer. Study Score; 1775) .
17,00€
Durée : 15'00" à 17'00"
Langues : Anglais (eng) Allemand (ger)
Catégories : Orchestre Note de contenu : 4 movements
I. Introduction und Sarabande
II. Gavotte
III. Air
IV. RigodonInstruments : Solo flute, Orchestra : 2 flutes, 2 oboes, 2 bassoons 2 horns, 2 trumpets timpani, snare drum, cymbals, strings En ligne : https://repertoire-explorer.musikmph.de/wp-content/uploads/vorworte_prefaces/177 [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1013932 8-X GRA FLO Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible La flûte de Sans-Souci : Op. 88 / Paul Graener
Titre : La flûte de Sans-Souci : Op. 88 : suite pour orchestre de chambre Titre original : Die flöte von Sanssouci Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Paul Graener (1872-1944), Compositeur Editeur : London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg Année de publication : cop. 1930 Collection : Eulenburgs kleine Partitur-Ausgabe num. 872 Importance : 1 partition (38 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : EE 4858 Catégories : Orchestre de chambre Instruments : 2.2.0.2/2.0.0.0 + timb. + cordes La flûte de Sans-Souci : Op. 88 = Die flöte von Sanssouci : suite pour orchestre de chambre [partition musicale imprimée] / Paul Graener (1872-1944), Compositeur . - Ernst Eulenburg, cop. 1930 . - 1 partition (38 p.) ; 19 cm. - (Eulenburgs kleine Partitur-Ausgabe; 872) .
ISSN : EE 4858
Catégories : Orchestre de chambre Instruments : 2.2.0.2/2.0.0.0 + timb. + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1012724 8-X GRA FLU Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible 1012725 8-X GRA FLU Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Symphonietta pour harpe et instruments à cordes : Op. 27 / Paul Graener
Titre : Symphonietta pour harpe et instruments à cordes : Op. 27 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Paul Graener (1872-1944), Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2009 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : Study Score num. 867 Importance : 1 partition (22 p.) Format : 24 cm Catégories : Harpe
Orchestre
Orchestre à cordesInstruments : 2 violons / 1 alto / 1 violoncelle / 2 contrebasses / 1 harpe Symphonietta pour harpe et instruments à cordes : Op. 27 [partition musicale imprimée] / Paul Graener (1872-1944), Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2009 . - 1 partition (22 p.) ; 24 cm. - (Repertoire explorer. Study Score; 867) .
Catégories : Harpe
Orchestre
Orchestre à cordesInstruments : 2 violons / 1 alto / 1 violoncelle / 2 contrebasses / 1 harpe Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1011323 8-X GRA SYM Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible L'art de la fugue (BWV 1080) / Johann Sebastian Bach
Titre : L'art de la fugue (BWV 1080) Titre original : Die Kunst der Fuge 1750 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Johann Sebastian Bach (1685-1750), Compositeur ; Wolfgang Graeser, Arrangeur Editeur : Wiesbaden ; Liepzig ; New-York : Breitkopf & Hartel Importance : 1 partition (130 p.) Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 29413 Langues : Allemand (ger) Catégories : Contrepoint
Fugue
HarmonieL'art de la fugue (BWV 1080) = Die Kunst der Fuge 1750 [partition musicale imprimée] / Johann Sebastian Bach (1685-1750), Compositeur ; Wolfgang Graeser, Arrangeur . - Wiesbaden ; Liepzig ; New-York : Breitkopf & Hartel, [s.d.] . - 1 partition (130 p.) ; 27 cm.
ISSN : 29413
Langues : Allemand (ger)
Catégories : Contrepoint
Fugue
HarmonieRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1006361 8-X BAC ART Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Die Kunst der Fuge 1750 / Johann Sebastian Bach
Titre : Die Kunst der Fuge 1750 Titre original : L'art de la fugue (BWV 1080) Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Johann Sebastian Bach (1685-1750), Compositeur ; Wolfgang Graeser, Arrangeur ; Hans Zurlinden, Postfacier, auteur du colophon, etc. ; Wolfgang Graeser, Préfacier, etc. Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : cop. 2019 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : Study Score num. 4050 Importance : 1 partition (344 p.) Format : 24 cm Prix : 57,00€ Note générale : Biographie ’Wolfgang Graeser’ von Hans Zurlinden (1935; p. 207) Langues : Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Contrepoint
Fugue
Harmonie
OrchestreNote de contenu : Contrapunctus I für Solostreicher (p. 1)
Contrapunctus II für Solostreicher (p. 8)
Contrapunctus III für Solostreicher (p. 15)
Contrapunctus IV für Solostreicher (p. 21)
Contrapunctus V für Streicher und Orgel (die Hälfte des kompletten Streichorchesters) (p. 32)
Contrapunctus VI für Streicher und Orgel (zwei Drittel des kompletten Streichorchesters) (p. 41)
Contrapunctus VII für Streichorchester und Orgel (p. 52)
Contrapunctus VIII für Streichorchester, Blechbläser und Orgel (p. 67)
Contrapunctus IX für Holzbläser (Soli und Tutti) (p. 83)
Contrapunctus X für Streichorchester und Holzbläser (p. 88)
Contrapunctus XI für Streichorchester, Holzbläser, Blechbläser und Orgel (p. 98)
Contrapunctus XII (Canon in Hypodiapason) für Cembalo solo (p. 128)
Contrapunctus XIII (Canon alla Duodecima) für Cembalo solo (p. 132)
Contrapunctus XIV (Canon alla Decima) für Orgel solo (p. 134)
Contrapunctus XV (Canon al roverscio et per augmentationem) für Orgel solo (p. 138)
Contrapunctus XVI. Rectus für 3 Holzbläser (p. 142) Inversus für 3 Holzbläser (p. 145)
Contrapunctus XVII Rectus für 2 Cembali (p. 148) Inversus für 2 Cembali (p. 152)
Contrapunctus XVIII (rectus & inversus) für Streichorchester und Orgel (p. 156)
Contrapunctus XIX (unvollendet) für Streichorchester, Holzbläser, Blechbläser und Orgel (p. 167)
Choral ’Vor Deinen Thron tret’ ich hiermit’ (p. 201)Die Kunst der Fuge 1750 = L'art de la fugue (BWV 1080) [partition musicale imprimée] / Johann Sebastian Bach (1685-1750), Compositeur ; Wolfgang Graeser, Arrangeur ; Hans Zurlinden, Postfacier, auteur du colophon, etc. ; Wolfgang Graeser, Préfacier, etc. . - Musikproduktion Jürgen Höflich, cop. 2019 . - 1 partition (344 p.) ; 24 cm. - (Repertoire explorer. Study Score; 4050) .
57,00€
Biographie ’Wolfgang Graeser’ von Hans Zurlinden (1935; p. 207)
Langues : Allemand (ger) Anglais (eng)
Catégories : Contrepoint
Fugue
Harmonie
OrchestreNote de contenu : Contrapunctus I für Solostreicher (p. 1)
Contrapunctus II für Solostreicher (p. 8)
Contrapunctus III für Solostreicher (p. 15)
Contrapunctus IV für Solostreicher (p. 21)
Contrapunctus V für Streicher und Orgel (die Hälfte des kompletten Streichorchesters) (p. 32)
Contrapunctus VI für Streicher und Orgel (zwei Drittel des kompletten Streichorchesters) (p. 41)
Contrapunctus VII für Streichorchester und Orgel (p. 52)
Contrapunctus VIII für Streichorchester, Blechbläser und Orgel (p. 67)
Contrapunctus IX für Holzbläser (Soli und Tutti) (p. 83)
Contrapunctus X für Streichorchester und Holzbläser (p. 88)
Contrapunctus XI für Streichorchester, Holzbläser, Blechbläser und Orgel (p. 98)
Contrapunctus XII (Canon in Hypodiapason) für Cembalo solo (p. 128)
Contrapunctus XIII (Canon alla Duodecima) für Cembalo solo (p. 132)
Contrapunctus XIV (Canon alla Decima) für Orgel solo (p. 134)
Contrapunctus XV (Canon al roverscio et per augmentationem) für Orgel solo (p. 138)
Contrapunctus XVI. Rectus für 3 Holzbläser (p. 142) Inversus für 3 Holzbläser (p. 145)
Contrapunctus XVII Rectus für 2 Cembali (p. 148) Inversus für 2 Cembali (p. 152)
Contrapunctus XVIII (rectus & inversus) für Streichorchester und Orgel (p. 156)
Contrapunctus XIX (unvollendet) für Streichorchester, Holzbläser, Blechbläser und Orgel (p. 167)
Choral ’Vor Deinen Thron tret’ ich hiermit’ (p. 201)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1013917 8-X BAC KUN Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Hill Song n°1 / Percy Grainger
Titre : Hill Song n°1 : musique de chambre pour 22 ou 23 musiciens Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Percy Grainger, Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2002 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : Study Score num. 209 Importance : 1 partition (61 p.) Format : 23 cm Note générale : Composition : 1901 - révision : 1920-21 Langues : Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Orchestre Instruments : 2.2.0.2/1.1.0.0 + sax. + euphonium + perc. harmonium, piano + cordes Hill Song n°1 : musique de chambre pour 22 ou 23 musiciens [partition musicale imprimée] / Percy Grainger, Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2002 . - 1 partition (61 p.) ; 23 cm. - (Repertoire explorer. Study Score; 209) .
Composition : 1901 - révision : 1920-21
Langues : Allemand (ger) Anglais (eng)
Catégories : Orchestre Instruments : 2.2.0.2/1.1.0.0 + sax. + euphonium + perc. harmonium, piano + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1011518 8-X GRA HIL 1 Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible 5 pièces : cantos populares espanoles / Enrique Granados
Titre : 5 pièces : cantos populares espanoles Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Enrique Granados, Compositeur ; R. Ferrer, Arrangeur Editeur : Année de publication : cop. 1961 Importance : 1 partition (115 p.) Format : 27 cm ISBN/ISSN/EAN : 19382 Catégories : Orchestre Instruments : 4.2.3.2/2.0.0.0 + timb. celesta, harpe + cordes 5 pièces : cantos populares espanoles [partition musicale imprimée] / Enrique Granados, Compositeur ; R. Ferrer, Arrangeur . - [S.l. : s.n.], cop. 1961 . - 1 partition (115 p.) ; 27 cm.
ISSN : 19382
Catégories : Orchestre Instruments : 4.2.3.2/2.0.0.0 + timb. celesta, harpe + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1012492 8-X GRA PIE Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible 3 oeuvres pour orchestre à cordes : Op. 34, 53, 63 / Edvard Grieg
Titre : 3 oeuvres pour orchestre à cordes : Op. 34, 53, 63 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Edvard Grieg (1843-1907), Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Collection : Repertoire explorer Sous-collection : Study Score num. 181 Importance : 1 partition (28 p.) Format : 23 cm Catégories : Orchestre à cordes Note de contenu : 1. 2 mélodies élégiaques Op. 34
2. 2 mélodies Op. 53
3. 2 mélodies nordiques Op. 63Instruments : cordes (2.1.1.1) 3 oeuvres pour orchestre à cordes : Op. 34, 53, 63 [partition musicale imprimée] / Edvard Grieg (1843-1907), Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, [s.d.] . - 1 partition (28 p.) ; 23 cm. - (Repertoire explorer. Study Score; 181) .
Catégories : Orchestre à cordes Note de contenu : 1. 2 mélodies élégiaques Op. 34
2. 2 mélodies Op. 53
3. 2 mélodies nordiques Op. 63Instruments : cordes (2.1.1.1) Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1011510 8-X GRI OEU Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Concerto pour piano en La mineur : Op. 16 / Edvard Grieg
Titre : Concerto pour piano en La mineur : Op. 16 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Edvard Grieg (1843-1907), Compositeur Editeur : London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg Importance : 1 partition (117 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : EE 6004 Note générale : Composition : 1868 Catégories : Orchestre
PianoInstruments : 1.1.1.1/4.1.3.0 + timb. + piano + cordes Concerto pour piano en La mineur : Op. 16 [partition musicale imprimée] / Edvard Grieg (1843-1907), Compositeur . - London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg, [s.d.] . - 1 partition (117 p.) ; 19 cm.
ISSN : EE 6004
Composition : 1868
Catégories : Orchestre
PianoInstruments : 1.1.1.1/4.1.3.0 + timb. + piano + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1012098 8-X GRI CON 16 Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Suite lyrique pour orchestre d'après l'Opus 54 / Edvard Grieg
Titre : Suite lyrique pour orchestre d'après l'Opus 54 Titre original : Lyrische Suite aus Opus 54 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Edvard Grieg (1843-1907), Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Collection : Repertoire explorer Sous-collection : Study Score num. 139 Importance : 1 partition (58 p.) Format : 23 cm Note générale : Composition : 1891. Arrangement : 1904 Catégories : Orchestre Note de contenu : 1. Gjaetergut = Garçon Acher
2. Gangar = Marche rustique norvégienne
3. Notturno
4. Troldtog = Marche des nainsSuite lyrique pour orchestre d'après l'Opus 54 = Lyrische Suite aus Opus 54 [partition musicale imprimée] / Edvard Grieg (1843-1907), Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, [s.d.] . - 1 partition (58 p.) ; 23 cm. - (Repertoire explorer. Study Score; 139) .
Composition : 1891. Arrangement : 1904
Catégories : Orchestre Note de contenu : 1. Gjaetergut = Garçon Acher
2. Gangar = Marche rustique norvégienne
3. Notturno
4. Troldtog = Marche des nainsRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1011525 8-X GRI SUI Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Le carilloneur de Bruges / Albert Grisar
Titre : Le carilloneur de Bruges Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Albert Grisar, Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2005 Collection : Opera explorer Sous-collection : The flemish music collection num. 35 Importance : 1 partition (483 p.) Format : 23 cm Langues : Français (fre) Allemand (ger) Anglais (eng) (nla) Catégories : Orchestre Résumé : Albert Grisar
(Anvers, 26 décembre 1808 - Asnières, 15 juin 1869)
Le Carillonneur de Bruges
(1852)
Dans l’ensemble de l’œuvre d’Albert Grisar, compositeur renommé pour ses opéras bouffes, l’opéra historique Le Carillonneur de Bruges constitue une œuvre à part. Comment un sujet aussi flamand que celui de l’occupation espagnole et du carillon ait pu arrivé jusque au librettiste français, Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges, n’est pas clair du tout. Etait-ce Grisar qui lui avait demandé d’écrire le livret, ou, était-ce, au contraire, de Saint-Georges qui avait opté pour un thème flamand afin de pouvoir travailler avec Grisar ?
Cet opéra en trois actes a comme décor la ville de Bruges sous la domination espagnole et comme protagoniste le vieux Carillonneur Mathéus Claës, un personnage qui ressemble au Quasimodo de Hugo mais qui, lui, est devenu sourd à cause du carillonnement de ses cloches bien-aimées. Cette surdité est d’ailleurs un élément dramatique important dans le déroulement de l’histoire.
Quand les Espagnols s’emparent de sa ville bien-aimée et baissent le drapeau flamand, Mathéus, patriote, a la mort dans l’âme. Sa fille, Béatrix, est amoureuse de Wilhem, un «capitaine au service de l’Espagne». Contrairement à la thématique shakespearienne de Roméo et Juliette, Mathéus accepte que Wilhem épouse sa fille. Or, le neveu de Mathéus, l’aubergiste Van Bruck, et sa nièce Mésangère vont semer la discorde en prétendant que Béatrix a un amant secret qui lui rend visite la nuit. Cela perturbe considérablement Wilhem et Mathéus. Le secret que garde Béatrix est cependant d’un tout autre ordre : elle cache chez elle le fils de Marie de Brabant. Nonobstant la séquestration par Philippe II de la comtesse, celle-ci a réussi à se marier secrètement et à accoucher d’un héritier. Béatrix, en tant que sœur de lait de la comtesse, empêche ainsi au petit garçon de tomber entre les mains de l’ennemi espagnol.
Un jour que, Mésangère, une chanteuse populaire qui vend des images de la Sainte Vierge, rend visite à Béatrix, elle est suivie par don Juan d’Hermosa, le gouverneur espagnol, et quelques-uns de ses officiers. Séduit par les charmes de Mésangère, celui-ci fait honneur à son nom et demande à la belle de chanter pour lui. Après que Mésangère lui a chanté une chanson espagnole évoquant l’histoire du noble hidalgo Giuseppé qui fut trompé, un confident du gouverneur vient lui rapporter que la comtesse s’est enfuie. Quand le gouverneur menace alors de fouiller la maison de Béatrix où dort paisiblement le petit garçon de Marie de Brabant, la comtesse quitte sa cachette et se livre à l’ennemi. Au moment où le chœur rend hommage au drapeau de la Flandre, Mathéus retrouve l’ouïe et entend sonner ses cloches : Mes cloches, c’est bien là votre voix! Ensuite, Van Bruck, pris de boisson, confie à un des hommes du gouverneur qu’il a vu Béatrix portant un enfant dans les bras. Il a raconté cela en présence de Mathéus sans savoir que celui-ci pouvait l’entendre. Dans ces propos, Mathéus voit la preuve que sa fille a un enfant de son amant. Le gouverneur, par contre, réalise qu’il pourrait bien s’agir du fils de la comtesse. Aussi Béatrix persiste-t-elle à faire croire à tout le monde que l’enfant est le sien et elle affronte la colère de son père : Père! Je viens demander grâce, si vous saviez... si j’osais dire, j’ai juré! de me taire hélas. Mathéus rejette sa fille et la chasse.
L’insurrection contre les Espagnols se fera à Noël, et le signal sera donné la nuit par Mathéus et ses cloches. Alors qu’il sonne le carillon, Mésangère lui apporte une lettre de sa fille dans laquelle Béatrix écrit qu’étant donné son impossibilité de révéler la vérité elle se jettera de la tour au son des cloches. Effaré, Mathéus cesse le carillonnement, mais à cet instant, il entend un cri perçant. Il pense que sa fille est passée à l’acte mais heureusement Van Bulck a pu l’en empêcher et l’opéra se termine par un hommage au drapeau de la Flandre. Ce qui n’a pas empêché Grisar et Saint-Georges de dédier cet opéra d’inspiration patriotique à «sa Majesté Léopold Ier, Roi des Belges».
Le Carillonneur de Bruges fut présenté à l’Opéra-Comique de Paris le 20 février 1852. Aucune peine n’est épargnée quant à la mise en scène et Grisar a pu travailler avec une distribution de rêve. La basse Bataille, grand comédien a ajouté au rôle de Mathéus une touche comique. Le rôle de Béatrix est interprété par la débutante Palmyre Wertheimber, contralto. Cette interprétation marqua, pour cette jeune femme de vingt ans le début d’une grande carrière internationale. La soprano, Marie Félix-Miolan - dont l’interprétation, plus tard, de la prima donna Miolan-Carvalho au Théâtre-Lyrique connaîtra un grand succès - joue le rôle de Mésangère. Quant au personnage de Van Bulck, celui-ci est interprété par Charles-Louis Sainte-Foy, ténor bouffe s’étant produit dans plus de soixante premières mondiales, parmi lesquelles Les Porcherons et Le Joaillier de Saint-James de Grisar.
L’aria de Mésangère où celle-ci chante les mésaventures du «noble hidalgo Guiseppé» constitue un des grands succès de l’opéra. Dans la Revue et Gazette musicale de Paris du 22 février 1852, le critique Henri Blanchard a donné de cette aria écrite sur le modèle du boléro espagnol une description élogieuse : «cette perle de mélodie enchâssée dans une harmonie légère et brillante qui en fait ressortir au mieux le caractère ibérien.» Le chœur des buveurs de bière dans le troisième acte a également été applaudi.
Bien que la vocation de Grisar fût l’opéra-bouffe, il montre, avec ce livret, des ambitions plus sérieuses. Pour certains critiques, le livret est plutôt d’inspiration politique que dramatique, et, le sujet plus apte à Giacomo Meyerbeer. Un journaliste considère le livret comme «une erreur d’un homme de talent», tandis que Henri Blanchard écrit : «Sur ce tableau coloré des passions ardentes du Moyen-Âge, le compositeur a jeté des chants et une harmonie de toutes les époques. Il a tenté de faire de l’Orlando Lassus, du Bach, car il s’est essayé au style fugué dans un morceau bachique; du Grétry, du Méhul, du Boieldieu, de l’Hérold et jusqu’à du Verdi, dans les masses vocales et les détonations de l’instrumentation. Ce qui lui a le mieux réussi, c’est quand il a fait du Grisar, de l’harmonie et des mélodies faciles (...). L’ouverture témoigne du respect du compositeur pour la vieille et bonne forme de ces préfaces musicales.» Grisar a bien su se servir du crescendo à la Rossini. En outre, les imitations de cloches que produit l’orchestre à certains moments de l’action conféraient à l’ensemble un attrait supplémentaire.
Avec l’opéra, Grisar a brodé sur la tradition de son compatriote André-Modeste Grétry. Il avait le don de la mélodie, sa façon de mettre un dialogue sur musique était incomparable et ses œuvres respirent généralement la finesse, le charme et l’esprit. Ses opéras reçoivent l’approbation du public et de ses collègues. Dans un article sur «la musique bouffe», une sommité comme Jacques Offenbach nomme Grétry, Rossini et Grisar d’un trait. Après sa mort, ce compositeur flamand qui a passé la plus grande partie de sa carrière à Paris est loué par la presse de la musique française comme «l’un des compositeurs les plus aimés de l’école française» et comme un «savant et fécond mélodiste». Avec Le Carillonneur de Bruges, Grisar a attiré l’attention des Parisiens sur Bruges et le carillon bien avant Georges Rodenbach avec Bruges-la-morte (1892) et Le Carillonneur (1897).
Jan Dewilde, 2005 (traduction: Annick Mannekens)
Pour la location du materiel: Muziekbibliotheek VRO-VRK/Albertina-bibliotheek, Brussel
Réimpression d'un exemplaire de la Bibliothèque du Conservatoire d'Anvers.Le carilloneur de Bruges [partition musicale imprimée] / Albert Grisar, Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2005 . - 1 partition (483 p.) ; 23 cm. - (Opera explorer. The flemish music collection; 35) .
Langues : Français (fre) Allemand (ger) Anglais (eng) (nla)
Catégories : Orchestre Résumé : Albert Grisar
(Anvers, 26 décembre 1808 - Asnières, 15 juin 1869)
Le Carillonneur de Bruges
(1852)
Dans l’ensemble de l’œuvre d’Albert Grisar, compositeur renommé pour ses opéras bouffes, l’opéra historique Le Carillonneur de Bruges constitue une œuvre à part. Comment un sujet aussi flamand que celui de l’occupation espagnole et du carillon ait pu arrivé jusque au librettiste français, Jules-Henri Vernoy de Saint-Georges, n’est pas clair du tout. Etait-ce Grisar qui lui avait demandé d’écrire le livret, ou, était-ce, au contraire, de Saint-Georges qui avait opté pour un thème flamand afin de pouvoir travailler avec Grisar ?
Cet opéra en trois actes a comme décor la ville de Bruges sous la domination espagnole et comme protagoniste le vieux Carillonneur Mathéus Claës, un personnage qui ressemble au Quasimodo de Hugo mais qui, lui, est devenu sourd à cause du carillonnement de ses cloches bien-aimées. Cette surdité est d’ailleurs un élément dramatique important dans le déroulement de l’histoire.
Quand les Espagnols s’emparent de sa ville bien-aimée et baissent le drapeau flamand, Mathéus, patriote, a la mort dans l’âme. Sa fille, Béatrix, est amoureuse de Wilhem, un «capitaine au service de l’Espagne». Contrairement à la thématique shakespearienne de Roméo et Juliette, Mathéus accepte que Wilhem épouse sa fille. Or, le neveu de Mathéus, l’aubergiste Van Bruck, et sa nièce Mésangère vont semer la discorde en prétendant que Béatrix a un amant secret qui lui rend visite la nuit. Cela perturbe considérablement Wilhem et Mathéus. Le secret que garde Béatrix est cependant d’un tout autre ordre : elle cache chez elle le fils de Marie de Brabant. Nonobstant la séquestration par Philippe II de la comtesse, celle-ci a réussi à se marier secrètement et à accoucher d’un héritier. Béatrix, en tant que sœur de lait de la comtesse, empêche ainsi au petit garçon de tomber entre les mains de l’ennemi espagnol.
Un jour que, Mésangère, une chanteuse populaire qui vend des images de la Sainte Vierge, rend visite à Béatrix, elle est suivie par don Juan d’Hermosa, le gouverneur espagnol, et quelques-uns de ses officiers. Séduit par les charmes de Mésangère, celui-ci fait honneur à son nom et demande à la belle de chanter pour lui. Après que Mésangère lui a chanté une chanson espagnole évoquant l’histoire du noble hidalgo Giuseppé qui fut trompé, un confident du gouverneur vient lui rapporter que la comtesse s’est enfuie. Quand le gouverneur menace alors de fouiller la maison de Béatrix où dort paisiblement le petit garçon de Marie de Brabant, la comtesse quitte sa cachette et se livre à l’ennemi. Au moment où le chœur rend hommage au drapeau de la Flandre, Mathéus retrouve l’ouïe et entend sonner ses cloches : Mes cloches, c’est bien là votre voix! Ensuite, Van Bruck, pris de boisson, confie à un des hommes du gouverneur qu’il a vu Béatrix portant un enfant dans les bras. Il a raconté cela en présence de Mathéus sans savoir que celui-ci pouvait l’entendre. Dans ces propos, Mathéus voit la preuve que sa fille a un enfant de son amant. Le gouverneur, par contre, réalise qu’il pourrait bien s’agir du fils de la comtesse. Aussi Béatrix persiste-t-elle à faire croire à tout le monde que l’enfant est le sien et elle affronte la colère de son père : Père! Je viens demander grâce, si vous saviez... si j’osais dire, j’ai juré! de me taire hélas. Mathéus rejette sa fille et la chasse.
L’insurrection contre les Espagnols se fera à Noël, et le signal sera donné la nuit par Mathéus et ses cloches. Alors qu’il sonne le carillon, Mésangère lui apporte une lettre de sa fille dans laquelle Béatrix écrit qu’étant donné son impossibilité de révéler la vérité elle se jettera de la tour au son des cloches. Effaré, Mathéus cesse le carillonnement, mais à cet instant, il entend un cri perçant. Il pense que sa fille est passée à l’acte mais heureusement Van Bulck a pu l’en empêcher et l’opéra se termine par un hommage au drapeau de la Flandre. Ce qui n’a pas empêché Grisar et Saint-Georges de dédier cet opéra d’inspiration patriotique à «sa Majesté Léopold Ier, Roi des Belges».
Le Carillonneur de Bruges fut présenté à l’Opéra-Comique de Paris le 20 février 1852. Aucune peine n’est épargnée quant à la mise en scène et Grisar a pu travailler avec une distribution de rêve. La basse Bataille, grand comédien a ajouté au rôle de Mathéus une touche comique. Le rôle de Béatrix est interprété par la débutante Palmyre Wertheimber, contralto. Cette interprétation marqua, pour cette jeune femme de vingt ans le début d’une grande carrière internationale. La soprano, Marie Félix-Miolan - dont l’interprétation, plus tard, de la prima donna Miolan-Carvalho au Théâtre-Lyrique connaîtra un grand succès - joue le rôle de Mésangère. Quant au personnage de Van Bulck, celui-ci est interprété par Charles-Louis Sainte-Foy, ténor bouffe s’étant produit dans plus de soixante premières mondiales, parmi lesquelles Les Porcherons et Le Joaillier de Saint-James de Grisar.
L’aria de Mésangère où celle-ci chante les mésaventures du «noble hidalgo Guiseppé» constitue un des grands succès de l’opéra. Dans la Revue et Gazette musicale de Paris du 22 février 1852, le critique Henri Blanchard a donné de cette aria écrite sur le modèle du boléro espagnol une description élogieuse : «cette perle de mélodie enchâssée dans une harmonie légère et brillante qui en fait ressortir au mieux le caractère ibérien.» Le chœur des buveurs de bière dans le troisième acte a également été applaudi.
Bien que la vocation de Grisar fût l’opéra-bouffe, il montre, avec ce livret, des ambitions plus sérieuses. Pour certains critiques, le livret est plutôt d’inspiration politique que dramatique, et, le sujet plus apte à Giacomo Meyerbeer. Un journaliste considère le livret comme «une erreur d’un homme de talent», tandis que Henri Blanchard écrit : «Sur ce tableau coloré des passions ardentes du Moyen-Âge, le compositeur a jeté des chants et une harmonie de toutes les époques. Il a tenté de faire de l’Orlando Lassus, du Bach, car il s’est essayé au style fugué dans un morceau bachique; du Grétry, du Méhul, du Boieldieu, de l’Hérold et jusqu’à du Verdi, dans les masses vocales et les détonations de l’instrumentation. Ce qui lui a le mieux réussi, c’est quand il a fait du Grisar, de l’harmonie et des mélodies faciles (...). L’ouverture témoigne du respect du compositeur pour la vieille et bonne forme de ces préfaces musicales.» Grisar a bien su se servir du crescendo à la Rossini. En outre, les imitations de cloches que produit l’orchestre à certains moments de l’action conféraient à l’ensemble un attrait supplémentaire.
Avec l’opéra, Grisar a brodé sur la tradition de son compatriote André-Modeste Grétry. Il avait le don de la mélodie, sa façon de mettre un dialogue sur musique était incomparable et ses œuvres respirent généralement la finesse, le charme et l’esprit. Ses opéras reçoivent l’approbation du public et de ses collègues. Dans un article sur «la musique bouffe», une sommité comme Jacques Offenbach nomme Grétry, Rossini et Grisar d’un trait. Après sa mort, ce compositeur flamand qui a passé la plus grande partie de sa carrière à Paris est loué par la presse de la musique française comme «l’un des compositeurs les plus aimés de l’école française» et comme un «savant et fécond mélodiste». Avec Le Carillonneur de Bruges, Grisar a attiré l’attention des Parisiens sur Bruges et le carillon bien avant Georges Rodenbach avec Bruges-la-morte (1892) et Le Carillonneur (1897).
Jan Dewilde, 2005 (traduction: Annick Mannekens)
Pour la location du materiel: Muziekbibliotheek VRO-VRK/Albertina-bibliotheek, Brussel
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000086 8-X GRI CAR Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible
Titre : Repetance für Violoncello, drei Gitarren und Kontrabass Titre original : Repetance for violoncello, three guitars and double bass Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Sofia Gubaidulina (1931-), Compositeur Mention d'édition : H.S. 8781 Editeur : Hamburg : Musikverlag Hans Sikorski Année de publication : cop. 2014 Importance : 1 partition (38 p.) Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-0-00-304045-5 Prix : 39,90€ Note générale : Durée : 25 minutes Langues : Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Contrebasse
Ensemble de musique de chambre
Guitare
Musique de chambre
Quintette
VioloncelleInstruments : 3 guitares + 1 violoncelle + 1 contrebasse En ligne : https://www.stretta-music.be/fr/gubaidulina-repentance-nr-623067.html Repetance für Violoncello, drei Gitarren und Kontrabass = Repetance for violoncello, three guitars and double bass [partition musicale imprimée] / Sofia Gubaidulina (1931-), Compositeur . - H.S. 8781 . - Hamburg : Musikverlag Hans Sikorski, cop. 2014 . - 1 partition (38 p.) ; 30 cm.
ISBN : 979-0-00-304045-5 : 39,90€
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VioloncelleInstruments : 3 guitares + 1 violoncelle + 1 contrebasse En ligne : https://www.stretta-music.be/fr/gubaidulina-repentance-nr-623067.html Réservation
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Titre : Sotto voce für Viola, Kontrabass und 2 Gitarren : Studienpartitiur / study score Titre original : Sotto voce for viola, double bass and two guitars Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Sofia Gubaidulina (1931-), Compositeur Mention d'édition : H.S.8782 Editeur : Hamburg : Musikverlag Hans Sikorski Année de publication : cop. 2014 Importance : 1 partition (58 p.) Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 979-0-00-304046-2 Prix : 49,90€ Note générale : Durée : 22 minutes Langues : Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Alto (violon)
Contrebasse
Ensemble de musique de chambre
Guitare
Musique de chambre
Quatuor
Quatuor à cordesInstruments : 1 alto + 1 contrebasse + 2 guitares En ligne : https://www.stretta-music.be/en/gubaidulina-sotto-voce-fuer-viola-kontrabass-und [...] Sotto voce für Viola, Kontrabass und 2 Gitarren = Sotto voce for viola, double bass and two guitars : Studienpartitiur / study score [partition musicale imprimée] / Sofia Gubaidulina (1931-), Compositeur . - H.S.8782 . - Hamburg : Musikverlag Hans Sikorski, cop. 2014 . - 1 partition (58 p.) ; 30 cm.
ISBN : 979-0-00-304046-2 : 49,90€
Durée : 22 minutes
Langues : Allemand (ger) Anglais (eng)
Catégories : Alto (violon)
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Quatuor à cordesInstruments : 1 alto + 1 contrebasse + 2 guitares En ligne : https://www.stretta-music.be/en/gubaidulina-sotto-voce-fuer-viola-kontrabass-und [...] Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1015148 8-X GUB SOT Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Francesca da Rimini / Paul Gilson
Titre : Francesca da Rimini Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Paul Gilson (1865-1942), Compositeur ; Jules Guilliaume, Auteur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2006 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : The flemish music collection num. 518 Importance : 1 partition (196 p.) Format : 23 cm Langues : Néerlandais (dut) Français (fre) Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Orchestre Résumé : Paul Gilson
(Bruxelles, 15 juin 1865- Bruxelles, 3 avril 1942)
Francesca da Rimini (1892)
Préface
Avec la création le 20 mars 1892 de ses esquisses symphoniques La Mer, Paul Gilson s’était placé à l’avant-plan de la scène musicale belge. Peu de temps après, il s’attelait à la composition de Francesca da Rimini, une œuvre monumentale pour solistes, chœur et grand orchestre. Certains à l’époque appelaient cela un oratorio, d’autres une cantate dramatique, ‘une symphonie dramatique’, ‘un poème vocal et symphonique’ ou encore un poème chanté dramatique. Gilson lui-même n’avait pensé, semble-t-il, à aucune dénomination plus précise.
On doit le texte pour partie en vers, pour partie en une sorte de prose rythmée, à Jules Guillaume (Bruxelles, 1825-1900) littéraire et fonctionnaire, trésorier-secrétaire de 1866 à 1897 du Conservatoire Royal de Bruxelles. S’inspirant de passages connus de l’Enfer de la Divine Comédie de Dante, l’histoire raconte l’impossible amour terrestre entre Paolo et Francesca, scellés dans un lien éternel en enfer. Surpris ensemble par le mari de Francesca, ils furent tous les deux tués de sa main. Dans la première partie (Dans les limbes ), ils racontent à Minos leur destin malheureux. Paolo est condamné à la damnation éternelle. Francesca choisit de souffrir avec lui: ‘Comme la mort, l’enfer nous rassemble. Ensemble désormais, ensemble’. Dans la deuxième partie, suppliciée à l’extrême, Francesca prie l’ange Gabriel (le deuxième cercle de l’enfer) de leur accorder tout de même le salut. Sa prière est entendue mais aucune grâce n’est accordée à Paolo. Francesca refuse de quitter Paolo ‘l’enfer sera mon paradis.’
D’après un courrier daté du 10 novembre 1892 adressé par le compositeur à Jules Guillaume, il apparaît que la première partie de la composition, à quelques détails près, aurait dû être prête début novembre. Nous ne disposons pas d’autres informations sur l’histoire de la genèse de l’œuvre.
Tout comme La Mer en 1892, Francesca da Rimini fut également produite par les concerts populaires de Musique Classique sous la direction de Joseph Dupont. Après la création le 20 janvier 1895 à Bruxelles, Lucien Solvay écrivait dans la revue française de musique Le Ménestrel : ‘Ce n’est pas un succès que j’ai à enregistrer, mais un triomphe. Et vous savez que le public belge n’est généralement pas très expressif quand il s’agit d’auteurs nationaux. Pour mériter son enthousiasme, il faut l’avoir mérité!’ Tous les critiques ne furent pas aussi enthousiastes. Ainsi, par exemple, un auteur anonyme écrivit dans L’Art Moderne, ne pouvoir comprendre pourquoi Gilson s’était basé sur un tel texte, d’une piètre qualité littéraire, pour élaborer une composition. Il lui conseillait de renoncer à l’écriture de grandes œuvres dramatiques élaborées à partir d’une trame littéraire pour se consacrer à la musique ‘pure’, à des genres comme la symphonie et le quatuor. Un critique remarquable, à plus d’un titres. Gilson n’avait, jusque là du moins, écrit qu’une seule composition dramatique: Le Démon (1890), un drame lyrique en deux actes à partir d’un texte de Louis de Casembroot (bibliothécaire et secrétaire adjoint du Conservatoire de Bruxelles) d’après la ballade du même nom composée par Michail Lermontoff en 1841. Le Démon fut représenté pour la première fois à Mons, le 10 avril 1893.
La critique, manifestement, ne reconnaissait pas non plus La Mer comme une pure fantaisie d’orchestre comme le ‘Mehr Ausdruck der Empfindung als Malerei“ beethovénien pouvait en produire. De plus, il ignorait totalement le fait que Gilson, qui n’avait pas encore 30 ans, avait déjà à son actif quelques œuvres remarquables de musique de chambre pour instruments à vent (entre autres Quatuor sur des mélodies alsaciennes pour 2 trompettes et 2 trombones, 1885; Humoresque pour flûte, hautbois, 2 clarinettes, cor et 2 bassons , 1889; Scherzino pour 3 trompettes et bariton, 1890; Petite suite pour 4 cors, 1890).
Sur plusieurs points tous les commentaires s’accordaient. Référence était faite à l’influence de Richard Wagner dans la technique du ‘leitmotiv’, à la souplesse lyrique, à la richesse des idées et par dessus tout, à la virtuosité orchestrale de Gilson, aux riches nuances de la palette de l’orchestre grâce au grand nombre de musiciens , au foisonnement de nuances créées par des combinaisons et des techniques inhabituelles pour l’époque, ‘l’ instinct de peintre, où la palette de Rubens semble chanter sa gamme triomphale’ (Le Soir, le 22 janvier 1895), ‘une vigueur de touche, une habileté orchestrale qui peuvent le classer au premier rang parmi les symphonistes modernes’ ( Henri Thiébaut dans la Libre Critique , le 27 janvier 1895).
Après sa création en 1895, Francesca da Rimini, fut peu représentée, peut-être pas plus de six fois: deux fois à Bruxelles (1934; 1942, par la radio nationale comme concert radiophonique européen) et quatre fois à Anvers (1913, 1925, 1935 et 1949).
La partition fût éditée grâce à l’initiative de quelques mélomanes anonymes, admirateurs de Gilson: ‘Quelques amateurs de musique, désireux de faire connaître à l’étranger l’œuvre de M. Paul Gilson, Francesca da Rimini, exécutée cet hiver aux Concerts populaires, ont résolu de la publier par souscription. Celle-ci fixée à 25 francs, donne droit à l’exemplaire de la partition d’orchestre de Francesca et à la réduction pour piano’ (l’Art Moderne, le 21 juillet 1895). Les ambitions internationales de ces admirateurs en sont restées aux bonnes intentions. Pour autant qu’on sache, Francesca da Rimini ne fut jamais représentée à l’étranger. Le manuscrit original n’a, jusqu’à ce jour, pas été retrouvé.
En 1948, la Bibliothèque Royale Albert I ( Bruxelles) acheta un exemplaire de cette édition. Dans cette partition, (ayant appartenu à Paul Gilson), on peut voir, de la main du compositeur, les ajouts et les corrections qu’il y a apportés.
Jaak Van Holen (traduction: Monique Marneffe)
Réédition d’une copie de la bibliothèque du Conservatoire Royal Flamand d’Anvers.
Pour le matériel d’orchestre, veuillez vous adresser à la bibliothèque du Conservatoire Royal Flamand. Cette partition a été publiée en collaboration avec le Studiecentrum voor Vlaamse Muziek (www.svm.be).Francesca da Rimini [partition musicale imprimée] / Paul Gilson (1865-1942), Compositeur ; Jules Guilliaume, Auteur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2006 . - 1 partition (196 p.) ; 23 cm. - (Repertoire explorer. The flemish music collection; 518) .
Langues : Néerlandais (dut) Français (fre) Allemand (ger) Anglais (eng)
Catégories : Orchestre Résumé : Paul Gilson
(Bruxelles, 15 juin 1865- Bruxelles, 3 avril 1942)
Francesca da Rimini (1892)
Préface
Avec la création le 20 mars 1892 de ses esquisses symphoniques La Mer, Paul Gilson s’était placé à l’avant-plan de la scène musicale belge. Peu de temps après, il s’attelait à la composition de Francesca da Rimini, une œuvre monumentale pour solistes, chœur et grand orchestre. Certains à l’époque appelaient cela un oratorio, d’autres une cantate dramatique, ‘une symphonie dramatique’, ‘un poème vocal et symphonique’ ou encore un poème chanté dramatique. Gilson lui-même n’avait pensé, semble-t-il, à aucune dénomination plus précise.
On doit le texte pour partie en vers, pour partie en une sorte de prose rythmée, à Jules Guillaume (Bruxelles, 1825-1900) littéraire et fonctionnaire, trésorier-secrétaire de 1866 à 1897 du Conservatoire Royal de Bruxelles. S’inspirant de passages connus de l’Enfer de la Divine Comédie de Dante, l’histoire raconte l’impossible amour terrestre entre Paolo et Francesca, scellés dans un lien éternel en enfer. Surpris ensemble par le mari de Francesca, ils furent tous les deux tués de sa main. Dans la première partie (Dans les limbes ), ils racontent à Minos leur destin malheureux. Paolo est condamné à la damnation éternelle. Francesca choisit de souffrir avec lui: ‘Comme la mort, l’enfer nous rassemble. Ensemble désormais, ensemble’. Dans la deuxième partie, suppliciée à l’extrême, Francesca prie l’ange Gabriel (le deuxième cercle de l’enfer) de leur accorder tout de même le salut. Sa prière est entendue mais aucune grâce n’est accordée à Paolo. Francesca refuse de quitter Paolo ‘l’enfer sera mon paradis.’
D’après un courrier daté du 10 novembre 1892 adressé par le compositeur à Jules Guillaume, il apparaît que la première partie de la composition, à quelques détails près, aurait dû être prête début novembre. Nous ne disposons pas d’autres informations sur l’histoire de la genèse de l’œuvre.
Tout comme La Mer en 1892, Francesca da Rimini fut également produite par les concerts populaires de Musique Classique sous la direction de Joseph Dupont. Après la création le 20 janvier 1895 à Bruxelles, Lucien Solvay écrivait dans la revue française de musique Le Ménestrel : ‘Ce n’est pas un succès que j’ai à enregistrer, mais un triomphe. Et vous savez que le public belge n’est généralement pas très expressif quand il s’agit d’auteurs nationaux. Pour mériter son enthousiasme, il faut l’avoir mérité!’ Tous les critiques ne furent pas aussi enthousiastes. Ainsi, par exemple, un auteur anonyme écrivit dans L’Art Moderne, ne pouvoir comprendre pourquoi Gilson s’était basé sur un tel texte, d’une piètre qualité littéraire, pour élaborer une composition. Il lui conseillait de renoncer à l’écriture de grandes œuvres dramatiques élaborées à partir d’une trame littéraire pour se consacrer à la musique ‘pure’, à des genres comme la symphonie et le quatuor. Un critique remarquable, à plus d’un titres. Gilson n’avait, jusque là du moins, écrit qu’une seule composition dramatique: Le Démon (1890), un drame lyrique en deux actes à partir d’un texte de Louis de Casembroot (bibliothécaire et secrétaire adjoint du Conservatoire de Bruxelles) d’après la ballade du même nom composée par Michail Lermontoff en 1841. Le Démon fut représenté pour la première fois à Mons, le 10 avril 1893.
La critique, manifestement, ne reconnaissait pas non plus La Mer comme une pure fantaisie d’orchestre comme le ‘Mehr Ausdruck der Empfindung als Malerei“ beethovénien pouvait en produire. De plus, il ignorait totalement le fait que Gilson, qui n’avait pas encore 30 ans, avait déjà à son actif quelques œuvres remarquables de musique de chambre pour instruments à vent (entre autres Quatuor sur des mélodies alsaciennes pour 2 trompettes et 2 trombones, 1885; Humoresque pour flûte, hautbois, 2 clarinettes, cor et 2 bassons , 1889; Scherzino pour 3 trompettes et bariton, 1890; Petite suite pour 4 cors, 1890).
Sur plusieurs points tous les commentaires s’accordaient. Référence était faite à l’influence de Richard Wagner dans la technique du ‘leitmotiv’, à la souplesse lyrique, à la richesse des idées et par dessus tout, à la virtuosité orchestrale de Gilson, aux riches nuances de la palette de l’orchestre grâce au grand nombre de musiciens , au foisonnement de nuances créées par des combinaisons et des techniques inhabituelles pour l’époque, ‘l’ instinct de peintre, où la palette de Rubens semble chanter sa gamme triomphale’ (Le Soir, le 22 janvier 1895), ‘une vigueur de touche, une habileté orchestrale qui peuvent le classer au premier rang parmi les symphonistes modernes’ ( Henri Thiébaut dans la Libre Critique , le 27 janvier 1895).
Après sa création en 1895, Francesca da Rimini, fut peu représentée, peut-être pas plus de six fois: deux fois à Bruxelles (1934; 1942, par la radio nationale comme concert radiophonique européen) et quatre fois à Anvers (1913, 1925, 1935 et 1949).
La partition fût éditée grâce à l’initiative de quelques mélomanes anonymes, admirateurs de Gilson: ‘Quelques amateurs de musique, désireux de faire connaître à l’étranger l’œuvre de M. Paul Gilson, Francesca da Rimini, exécutée cet hiver aux Concerts populaires, ont résolu de la publier par souscription. Celle-ci fixée à 25 francs, donne droit à l’exemplaire de la partition d’orchestre de Francesca et à la réduction pour piano’ (l’Art Moderne, le 21 juillet 1895). Les ambitions internationales de ces admirateurs en sont restées aux bonnes intentions. Pour autant qu’on sache, Francesca da Rimini ne fut jamais représentée à l’étranger. Le manuscrit original n’a, jusqu’à ce jour, pas été retrouvé.
En 1948, la Bibliothèque Royale Albert I ( Bruxelles) acheta un exemplaire de cette édition. Dans cette partition, (ayant appartenu à Paul Gilson), on peut voir, de la main du compositeur, les ajouts et les corrections qu’il y a apportés.
Jaak Van Holen (traduction: Monique Marneffe)
Réédition d’une copie de la bibliothèque du Conservatoire Royal Flamand d’Anvers.
Pour le matériel d’orchestre, veuillez vous adresser à la bibliothèque du Conservatoire Royal Flamand. Cette partition a été publiée en collaboration avec le Studiecentrum voor Vlaamse Muziek (www.svm.be).Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000089 8-X GIL FRA Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible L'arlésienne : Suite n° 2 / Georges Bizet
Titre : L'arlésienne : Suite n° 2 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Georges Bizet (1838-1875), Compositeur ; Alphonse Daudet, Auteur ; Ernest Guiraud, Arrangeur ; Maurice Cauchie, Préfacier, etc. Mention d'édition : 829 Editeur : London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg Importance : 1 partition (64 p.) Format : 19 cm ISBN/ISSN/EAN : E.E.3843 Note générale : Orchestra
2 flutes (2nd also piccolo), 2 oboes (2nd also English horn),
2 clarinets (Bb and A), alto saxophone, 2 bassoons
4 horns in F, 2 trumpets (Bb and A), 2 cornets, 3 trombones
timpani, "tambourin" (drum of Provence), cymbals, bass drum, harp (or piano), stringsLangues : Anglais (eng) Français (fre) Catégories : Orchestre Note de contenu : 1. Pastorale
2. Intermezzo
3. Minuet
4. FarandoleL'arlésienne : Suite n° 2 [partition musicale imprimée] / Georges Bizet (1838-1875), Compositeur ; Alphonse Daudet, Auteur ; Ernest Guiraud, Arrangeur ; Maurice Cauchie, Préfacier, etc. . - 829 . - London ; Zurich : Mainz : New York : Ernst Eulenburg, [s.d.] . - 1 partition (64 p.) ; 19 cm.
ISSN : E.E.3843
Orchestra
2 flutes (2nd also piccolo), 2 oboes (2nd also English horn),
2 clarinets (Bb and A), alto saxophone, 2 bassoons
4 horns in F, 2 trumpets (Bb and A), 2 cornets, 3 trombones
timpani, "tambourin" (drum of Provence), cymbals, bass drum, harp (or piano), strings
Langues : Anglais (eng) Français (fre)
Catégories : Orchestre Note de contenu : 1. Pastorale
2. Intermezzo
3. Minuet
4. FarandoleRéservation
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