Titre : | Pour un oui ou pour un non | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Nathalie Sarraute, Auteur ; Arnaud Rykner, Préfacier, etc. | Editeur : | Paris : Editions Gallimard | Année de publication : | 1999 | Collection : | Folio/théâtre | Importance : | 96 pages | Format : | 108 x 178 mm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-07-040751-4 | Prix : | 7.10€ | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Arts du spectacle Philosophie Théâtre
| Mots-clés : | France autrice littérature | Résumé : | Dans une action concentrée, où tout ce qui compte est ce qui n'est pas dit, deux hommes s'affrontent, prennent à tour de rôle la position du dominant ou du dominé, deux amis se brouillent - peut-être - «pour un oui ou pour un nom». La tension qui existe sous les mots les plus simples, les mouvements physiologiques et psychiques souterrains communiquent au public une sensation de malaise, en même temps qu'ils le fascinent. Car cette dispute est la nôtre, ces mots, nous les avons prononcés, ces silences, nous les avons entendus. Tout un passé refoulé se représente, une profondeur inconsciente, des pulsions agressives. Par les mots, nous nous déchirons nous-mêmes, et nous déchirons les autres. Mais le silence est pire. |
Pour un oui ou pour un non [texte imprimé] / Nathalie Sarraute, Auteur ; Arnaud Rykner, Préfacier, etc. . - Editions Gallimard, 1999 . - 96 pages ; 108 x 178 mm. - ( Folio/théâtre) . ISBN : 978-2-07-040751-4 : 7.10€ Langues : Français ( fre) Catégories : | Arts du spectacle Philosophie Théâtre
| Mots-clés : | France autrice littérature | Résumé : | Dans une action concentrée, où tout ce qui compte est ce qui n'est pas dit, deux hommes s'affrontent, prennent à tour de rôle la position du dominant ou du dominé, deux amis se brouillent - peut-être - «pour un oui ou pour un nom». La tension qui existe sous les mots les plus simples, les mouvements physiologiques et psychiques souterrains communiquent au public une sensation de malaise, en même temps qu'ils le fascinent. Car cette dispute est la nôtre, ces mots, nous les avons prononcés, ces silences, nous les avons entendus. Tout un passé refoulé se représente, une profondeur inconsciente, des pulsions agressives. Par les mots, nous nous déchirons nous-mêmes, et nous déchirons les autres. Mais le silence est pire. |
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