Titre : | Delta Charlie Delta | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Michel Simonot, Auteur | Editeur : | Les Matelles [france] : Espaces 34 | Année de publication : | 2016 | Importance : | 120 p. | Format : | 13x21cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-84705-141-4 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Théâtre contemporain
| Mots-clés : | écriture contemporaine post 2015 france | Résumé : | Il y a trois enfants un soir d’octobre. Ils courent parce que la police court derrière eux. Ils se réfugient dans un transformateur. La police ne signale pas le danger, n’alerte personne. Deux enfants meurent. Un enfant survit. Des semaines « d’émeutes » s’ensuivent.
Dix ans plus tard. Le tribunal reconstitue les faits. Les voix enregistrées de la radio de la police. La minutie. Les heures, les minutes, les secondes.
Et il y a le survivant, celui que l’on a oublié, qui porte dans sa peau les deux enfants morts. Celui qui se dissimule. Celui qui, encore et pour toujours, fait face à la police.
Comme une tragédie jamais achevée.
Au-delà de faits, dans leur crudité, leur nudité, des mots entendus et prononcés au tribunal, ce texte déploie, à travers une forme chorale, une dimension symbolique. Il inscrit l’engrenage, la culpabilité individuelle et collective, dans une dimension humaine, éthique, politique. |
Delta Charlie Delta [texte imprimé] / Michel Simonot, Auteur . - Les Matelles (5 rue du Château d'eau, 34270, france) : Espaces 34, 2016 . - 120 p. ; 13x21cm. ISBN : 978-2-84705-141-4 Langues : Français ( fre) Catégories : | Théâtre contemporain
| Mots-clés : | écriture contemporaine post 2015 france | Résumé : | Il y a trois enfants un soir d’octobre. Ils courent parce que la police court derrière eux. Ils se réfugient dans un transformateur. La police ne signale pas le danger, n’alerte personne. Deux enfants meurent. Un enfant survit. Des semaines « d’émeutes » s’ensuivent.
Dix ans plus tard. Le tribunal reconstitue les faits. Les voix enregistrées de la radio de la police. La minutie. Les heures, les minutes, les secondes.
Et il y a le survivant, celui que l’on a oublié, qui porte dans sa peau les deux enfants morts. Celui qui se dissimule. Celui qui, encore et pour toujours, fait face à la police.
Comme une tragédie jamais achevée.
Au-delà de faits, dans leur crudité, leur nudité, des mots entendus et prononcés au tribunal, ce texte déploie, à travers une forme chorale, une dimension symbolique. Il inscrit l’engrenage, la culpabilité individuelle et collective, dans une dimension humaine, éthique, politique. |
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