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Détail de l'éditeur
Éditeur La fabrique
localisé à Paris
64 rue Rébeval
75019 Paris
France
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Titre : Le spectateur émancipé Type de document : texte imprimé Auteurs : Jacques Rancière, Auteur Editeur : Paris [France] : La fabrique Année de publication : 2008 Importance : 150p ISBN/ISSN/EAN : 978-2-913372-80-1 Langues : Français (fre) Catégories : Philosophie Résumé : « Celui qui voit ne sait pas voir » : telle est la présupposition qui traverse notre histoire, de la caverne platonicienne à la dénonciation de la société du spectacle. Elle est commune au philosophe qui veut que chacun se tienne à sa place et aux révolutionnaires qui veulent arracher les dominés aux illusions qui les y maintiennent. Pour guérir l’aveuglement de celui qui voit, deux grandes stratégies tiennent encore le haut du pavé. L’une veut montrer aux aveugles ce qu’ils ne voient pas: cela va de la pédagogie explicatrice des cartels de musées aux installations spectaculaires destinés à faire découvrir aux étourdis qu’ils sont envahis par les images du pouvoir médiatique et de la société de consommation. L’autre veut couper à sa racine le mal de la vision en transformant le spectacle en performance et le spectateur en homme agissant. Les textes réunis dans ce recueil opposent à ces deux stratégies une hypothèse aussi simple que dérangeante : que le fait de voir ne comporte aucune infirmité ; que la transformation en spectateurs de ceux qui étaient voués aux contraintes et aux hiérarchies de l’action a pu contribuer au bouleversement des positions sociales; et que la grande dénonciation de l’homme aliéné par l’excès des images a d’abord été la réponse de l’ordre dominant à ce désordre. L’émancipation du spectateur, c’est alors l’affirmation de sa capacité de voir ce qu’il voit et de savoir quoi en penser et quoi en faire. Les interventions réunies dans ce recueil examinent, à la lumière de cette hypothèse, quelques formes et problématiques significatives de l’art contemporain et s’efforcent de répondre à quelques questions : qu’entendre exactement par art politique ou politique de l’art ? Où en sommes-nous avec la tradition de l’art critique ou avec le désir de mettre l’art dans la vie ? Comment la critique militante de la consommation des marchandises et des images est-elle devenue l’affirmation mélancolique de leur toute-puissance ou la dénonciation réactionnaire de l’ « homme démocratique » ?
Le spectateur émancipé [texte imprimé] / Jacques Rancière, Auteur . - Paris (64 rue Rébeval, 75019, France) : La fabrique, 2008 . - 150p.
ISBN : 978-2-913372-80-1
Langues : Français (fre)
Catégories : Philosophie Résumé : « Celui qui voit ne sait pas voir » : telle est la présupposition qui traverse notre histoire, de la caverne platonicienne à la dénonciation de la société du spectacle. Elle est commune au philosophe qui veut que chacun se tienne à sa place et aux révolutionnaires qui veulent arracher les dominés aux illusions qui les y maintiennent. Pour guérir l’aveuglement de celui qui voit, deux grandes stratégies tiennent encore le haut du pavé. L’une veut montrer aux aveugles ce qu’ils ne voient pas: cela va de la pédagogie explicatrice des cartels de musées aux installations spectaculaires destinés à faire découvrir aux étourdis qu’ils sont envahis par les images du pouvoir médiatique et de la société de consommation. L’autre veut couper à sa racine le mal de la vision en transformant le spectacle en performance et le spectateur en homme agissant. Les textes réunis dans ce recueil opposent à ces deux stratégies une hypothèse aussi simple que dérangeante : que le fait de voir ne comporte aucune infirmité ; que la transformation en spectateurs de ceux qui étaient voués aux contraintes et aux hiérarchies de l’action a pu contribuer au bouleversement des positions sociales; et que la grande dénonciation de l’homme aliéné par l’excès des images a d’abord été la réponse de l’ordre dominant à ce désordre. L’émancipation du spectateur, c’est alors l’affirmation de sa capacité de voir ce qu’il voit et de savoir quoi en penser et quoi en faire. Les interventions réunies dans ce recueil examinent, à la lumière de cette hypothèse, quelques formes et problématiques significatives de l’art contemporain et s’efforcent de répondre à quelques questions : qu’entendre exactement par art politique ou politique de l’art ? Où en sommes-nous avec la tradition de l’art critique ou avec le désir de mettre l’art dans la vie ? Comment la critique militante de la consommation des marchandises et des images est-elle devenue l’affirmation mélancolique de leur toute-puissance ou la dénonciation réactionnaire de l’ « homme démocratique » ?
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1041570 3.1 RAN SPE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Contre le théâtre politique / Olivier Neveux
Titre : Contre le théâtre politique Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Neveux (1975-....), Auteur Editeur : Paris [France] : La fabrique Année de publication : 2019 Importance : 320 pages Format : poche ISBN/ISSN/EAN : 978-2-358-72173-8 Prix : 14,00€ Note générale : Un impératif politique pèse sur le théâtre public contemporain. Il est sommé de créer du « vivre ensemble » et de parler du monde. Le théâtre doit s’impliquer dans la réalité, la documenter voire la critiquer.
Ce livre s’intéresse à la multiplication de ces spectacles citoyens ou engagés. Il tente d’en cerner les enjeux et, par là, de réfléchir au statut et au devenir de l’art par gros temps néolibéral. Non pas que la politique serait préjudiciable au théâtre ; Olivier Neveux prend le parti inverse : celui de la rencontre possiblement fructueuse des deux. « Contre le théâtre politique » signifie contre ce qui neutralise le théâtre et la politique dans le conformisme de leur alliance.
L’ouvrage saisit l’occasion de spectacles contemporains, mais aussi l’histoire, pour réfléchir à la possibilité qu’ont les œuvres de porter quelques coups à la réalité de la domination tout autant qu’à la domination de la réalité. Des coups incomparables, propres à ce que seul le théâtre permet.Langues : Français (fre) Mots-clés : politique essai Contre le théâtre politique [texte imprimé] / Olivier Neveux (1975-....), Auteur . - Paris (64 rue Rébeval, 75019, France) : La fabrique, 2019 . - 320 pages ; poche.
ISBN : 978-2-358-72173-8 : 14,00€
Un impératif politique pèse sur le théâtre public contemporain. Il est sommé de créer du « vivre ensemble » et de parler du monde. Le théâtre doit s’impliquer dans la réalité, la documenter voire la critiquer.
Ce livre s’intéresse à la multiplication de ces spectacles citoyens ou engagés. Il tente d’en cerner les enjeux et, par là, de réfléchir au statut et au devenir de l’art par gros temps néolibéral. Non pas que la politique serait préjudiciable au théâtre ; Olivier Neveux prend le parti inverse : celui de la rencontre possiblement fructueuse des deux. « Contre le théâtre politique » signifie contre ce qui neutralise le théâtre et la politique dans le conformisme de leur alliance.
L’ouvrage saisit l’occasion de spectacles contemporains, mais aussi l’histoire, pour réfléchir à la possibilité qu’ont les œuvres de porter quelques coups à la réalité de la domination tout autant qu’à la domination de la réalité. Des coups incomparables, propres à ce que seul le théâtre permet.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : politique essai Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1041889 1.42 CON NEV Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Classer, dominer / Christine Delphy
Titre : Classer, dominer Titre original : Qui sont les "autres" ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Christine Delphy, Auteur Editeur : Paris [France] : La fabrique Année de publication : 2008 Importance : 232 pages Format : poche ISBN/ISSN/EAN : 978-2-913372-82-5 Prix : 12 euros Note générale : L’idéologie dominante nous enjoint de tolérer l’Autre. Les textes de Christine Delphy nous montrent que celui qui n’est pas un Autre, c’est l’homme, et l’homme blanc.
C’est sur la base du sexe, de l’orientation sexuelle, de la religion, de la couleur de peau et de la classe que se fait la construction sociale de l’altérité. L’Autre c’est la femme, le pédé, l’Arabe, l’indigène, le pauvre. La république libérale tolère, c’est-à-dire qu’elle tend la main, prenant bien garde à laisser le toléré-dominé suspendu au vide. L’homo est toléré s’il sait rester discret, le musulman est toléré s’il se cache pour prier, la femme est tolérée si ses revendications égalitaires n’empiètent pas sur le salaire et le pouvoir de l’homme, l’oriental est toléré s’il laisse les armées américaines tuer sa famille pour le libérer de la dictature – et libérer sa femme de lui-même par la même occasion. L’injonction à s’intégrer est surtout une sommation à être semblable, à suivre les règles officieuses mais bien réelles de « l’Occident ».
Parité, combats féministes et homosexuels, Afghanistan, Guantanamo, indigènes et société postcoloniale, loi sur le voile : autant de prismes pour analyser les dominations, tant hétérosexistes, racistes, que capitalistes. Ceux et celles qui refusent ces règles, ceux et celles qui se montrent pour ce qu’ils et elles sont, le paient le prix fort, combattant-e-s d’une guerre qui sera longue.
Écrits dans un style offensif, incisif et souvent drôle, ces textes nous forcent à déplacer notre regard, à mettre en lien des événements toujours cloisonnés, et nous apportent ce supplément d’intelligence qui seul permet de comprendre le monde tel qu’il va.
Christine Delphy
Christine Delphy milite contre le patriarcat et le racisme depuis longtemps. Elle est directrice de recherche émérite au CNRS, docteure en sociologie et philosophie – et aussi éditrice, entre autres de la revue Nouvelles questions féministes.Langues : Français (fre) Mots-clés : féminisme sociologie philosophie capitalisme domination Classer, dominer = Qui sont les "autres" ? [texte imprimé] / Christine Delphy, Auteur . - Paris (64 rue Rébeval, 75019, France) : La fabrique, 2008 . - 232 pages ; poche.
ISBN : 978-2-913372-82-5 : 12 euros
L’idéologie dominante nous enjoint de tolérer l’Autre. Les textes de Christine Delphy nous montrent que celui qui n’est pas un Autre, c’est l’homme, et l’homme blanc.
C’est sur la base du sexe, de l’orientation sexuelle, de la religion, de la couleur de peau et de la classe que se fait la construction sociale de l’altérité. L’Autre c’est la femme, le pédé, l’Arabe, l’indigène, le pauvre. La république libérale tolère, c’est-à-dire qu’elle tend la main, prenant bien garde à laisser le toléré-dominé suspendu au vide. L’homo est toléré s’il sait rester discret, le musulman est toléré s’il se cache pour prier, la femme est tolérée si ses revendications égalitaires n’empiètent pas sur le salaire et le pouvoir de l’homme, l’oriental est toléré s’il laisse les armées américaines tuer sa famille pour le libérer de la dictature – et libérer sa femme de lui-même par la même occasion. L’injonction à s’intégrer est surtout une sommation à être semblable, à suivre les règles officieuses mais bien réelles de « l’Occident ».
Parité, combats féministes et homosexuels, Afghanistan, Guantanamo, indigènes et société postcoloniale, loi sur le voile : autant de prismes pour analyser les dominations, tant hétérosexistes, racistes, que capitalistes. Ceux et celles qui refusent ces règles, ceux et celles qui se montrent pour ce qu’ils et elles sont, le paient le prix fort, combattant-e-s d’une guerre qui sera longue.
Écrits dans un style offensif, incisif et souvent drôle, ces textes nous forcent à déplacer notre regard, à mettre en lien des événements toujours cloisonnés, et nous apportent ce supplément d’intelligence qui seul permet de comprendre le monde tel qu’il va.
Christine Delphy
Christine Delphy milite contre le patriarcat et le racisme depuis longtemps. Elle est directrice de recherche émérite au CNRS, docteure en sociologie et philosophie – et aussi éditrice, entre autres de la revue Nouvelles questions féministes.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : féminisme sociologie philosophie capitalisme domination Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1041907 3.3 CLA DEL Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Un féminisme décolonial / Françoise vergès
Titre : Un féminisme décolonial Type de document : texte imprimé Auteurs : Françoise vergès, Auteur Editeur : Paris [France] : La fabrique Année de publication : 2019 ISBN/ISSN/EAN : 978-2-358-72174-5 Note générale : Dans le débat public, être décolonial est une infamie. Dans les universités, dans les partis de gauche et d’extrême gauche, les syndicats, les associations féministes, partout on traque une « pensée décoloniale » infiltrée et funeste pour le vivre-ensemble.
Dans ce livre, Françoise Vergès élucide l’objet du scandale. Le féminisme décolonial révèle les impensés de la bonne conscience blanche ; il se situe du point de vue des femmes racisées : celles qui, travailleuses domestiques, nettoient le monde ; il dénonce un capitalisme foncièrement racial et patriarcal.
Ces pages incisives proposent un autre récit du féminisme et posent toutes les questions qui fâchent : quelles alliances avec les femmes blanches ? Quelle solidarité avec les hommes racisés ? Quelles sont les premières vies menacées par le capitalisme racial ? Pourquoi les néofascismes s’attaquent-ils aux femmes racisées ?
Ce livre est une invitation à renouer avec la puissance utopique du féminisme, c’est-à-dire avec un imaginaire à même de porter une transformation radicale de la société.Langues : Français (fre) Mots-clés : féminisme antiraciste anticapitaliste Un féminisme décolonial [texte imprimé] / Françoise vergès, Auteur . - Paris (64 rue Rébeval, 75019, France) : La fabrique, 2019.
ISBN : 978-2-358-72174-5
Dans le débat public, être décolonial est une infamie. Dans les universités, dans les partis de gauche et d’extrême gauche, les syndicats, les associations féministes, partout on traque une « pensée décoloniale » infiltrée et funeste pour le vivre-ensemble.
Dans ce livre, Françoise Vergès élucide l’objet du scandale. Le féminisme décolonial révèle les impensés de la bonne conscience blanche ; il se situe du point de vue des femmes racisées : celles qui, travailleuses domestiques, nettoient le monde ; il dénonce un capitalisme foncièrement racial et patriarcal.
Ces pages incisives proposent un autre récit du féminisme et posent toutes les questions qui fâchent : quelles alliances avec les femmes blanches ? Quelle solidarité avec les hommes racisés ? Quelles sont les premières vies menacées par le capitalisme racial ? Pourquoi les néofascismes s’attaquent-ils aux femmes racisées ?
Ce livre est une invitation à renouer avec la puissance utopique du féminisme, c’est-à-dire avec un imaginaire à même de porter une transformation radicale de la société.
Langues : Français (fre)
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042715 3.3 FEM VER Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Décoloniser l'esprit / Ngugi wa Thiong'o
Titre : Décoloniser l'esprit Type de document : texte imprimé Auteurs : Ngugi wa Thiong'o, Auteur ; Sylvain Prudhomme, Traducteur Editeur : Paris [France] : La fabrique Année de publication : 2011 Importance : 168 pages Format : 11,0 cm × 16,8 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-358-72019-9 Prix : 15 € Note générale : " Ce livre est mon adieu à l'anglais ": Ngugi wa Thiong'o, romancier kényan, n'y va pas par quatre chemins, il décide que désormais, il n'écrira plus qu'en kikuyu. Pour un auteur dont les oeuvres sont largement diffusées dans le monde anglophone, c'est une lourde décision, dont Décoloniser l'esprit, écrit en 1986, explique les raisons. L'origine remonte à une " Conférence des écrivains africains de langue anglaise ", organisée en 1962, en Ouganda : elle excluait les auteurs écrivant dans l'une ou l'autre des langues africaines, et le jeune Ngugi se posait alors la question : " Comment a-t-il été possible que nous, écrivains africains, fassions preuve de tant de faiblesse dans la défense de nos propres langues et de tant d'avidité dans la revendication de langues étrangères, à commencer par celles de nos colonisateurs ? " A travers son parcours personnel de romancier et d'homme de théâtre, Ngugi wa Thiong'o montre que le rôle donné aux littératures orales africaines, la vision de l'Afrique comme un tout et non comme un découpage issu de la colonisation, la référence aux traditions de résistance populaire, tout cela qui passe par la langue est la condition nécessaire pour décoloniser l'esprit. Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng) Catégories : Afrique
Histoire
Histoire de la littérature
Linguistique
Sociologie
Sociologie de la littératureMots-clés : kenya langue décolonisation colonisation littérature africaine kikuyu ouganda littérature orale identité africaine Note de contenu : Sommaire
LA LITTERATURE AFRICAINE ET SA LANGUE
LE THEATRE
LE ROMAN
EN QUETE DE PERTINENCEDécoloniser l'esprit [texte imprimé] / Ngugi wa Thiong'o, Auteur ; Sylvain Prudhomme, Traducteur . - Paris (64 rue Rébeval, 75019, France) : La fabrique, 2011 . - 168 pages ; 11,0 cm × 16,8 cm.
ISBN : 978-2-358-72019-9 : 15 €
" Ce livre est mon adieu à l'anglais ": Ngugi wa Thiong'o, romancier kényan, n'y va pas par quatre chemins, il décide que désormais, il n'écrira plus qu'en kikuyu. Pour un auteur dont les oeuvres sont largement diffusées dans le monde anglophone, c'est une lourde décision, dont Décoloniser l'esprit, écrit en 1986, explique les raisons. L'origine remonte à une " Conférence des écrivains africains de langue anglaise ", organisée en 1962, en Ouganda : elle excluait les auteurs écrivant dans l'une ou l'autre des langues africaines, et le jeune Ngugi se posait alors la question : " Comment a-t-il été possible que nous, écrivains africains, fassions preuve de tant de faiblesse dans la défense de nos propres langues et de tant d'avidité dans la revendication de langues étrangères, à commencer par celles de nos colonisateurs ? " A travers son parcours personnel de romancier et d'homme de théâtre, Ngugi wa Thiong'o montre que le rôle donné aux littératures orales africaines, la vision de l'Afrique comme un tout et non comme un découpage issu de la colonisation, la référence aux traditions de résistance populaire, tout cela qui passe par la langue est la condition nécessaire pour décoloniser l'esprit.
Langues : Français (fre) Langues originales : Anglais (eng)
Catégories : Afrique
Histoire
Histoire de la littérature
Linguistique
Sociologie
Sociologie de la littératureMots-clés : kenya langue décolonisation colonisation littérature africaine kikuyu ouganda littérature orale identité africaine Note de contenu : Sommaire
LA LITTERATURE AFRICAINE ET SA LANGUE
LE THEATRE
LE ROMAN
EN QUETE DE PERTINENCERéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1043033 3.3 DEC THI Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible