Titre : | Jacques Offenbach ou la gaîté parisienne | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Claude Dufresne, Auteur | Editeur : | Paris : Criterion | Année de publication : | impr. 1992 | Collection : | Histoire | Importance : | 1 vol. (293 p.) | Format : | 24 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7413-0027-4 | Note générale : | Bibliogr. p. 297 | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Offenbach, Jacques (1819-1880) Opérette
| Résumé : | LE Jacques Offenbach chargé de gloire qu'on enterre pompeusement à la Madeleine, n'a jamais oublié le petit Jacob Eberst, fils du chantre de la synagogue de Cologne, qui débarquait à Paris un jour de 1833 avec, pour toute fortune, un violoncelle presque plus haut que lui...
Après la funeste guerre de 1870, lorsqu'on chercha les responsables, il fut de bon ton de dénoncer Offenbach comme l'un des grands corrupteurs de son temps : sa musique frivole aurait bercé les français dans une quiétude coupable et aurait conduit le bal du volcan sur lequel ils dansaient.
Bref, on accus le miroir de refléter la vie parisienne et certes... le miroir ne laissa rien passer : les ridicules, les boursouflures d'orgueil, les gens de finance, de la presse et de la politique, cocottes et parvenus, quel tableau nous offre-t-il du second empire, étonnement vivant et, finalement, étrangement contemporain !
Avec ses librettistes, Meilhac et Halévy, dont la verve parodique et la fantaisie inventive s'accordaient à son propre génie comique, il composa une centaine d'opérettes dont la plupart tiennent encore à l'affiche. |
Jacques Offenbach ou la gaîté parisienne [texte imprimé] / Claude Dufresne, Auteur . - Criterion, impr. 1992 . - 1 vol. (293 p.) ; 24 cm. - ( Histoire) . ISBN : 978-2-7413-0027-4 Bibliogr. p. 297 Langues : Français ( fre) Catégories : | Offenbach, Jacques (1819-1880) Opérette
| Résumé : | LE Jacques Offenbach chargé de gloire qu'on enterre pompeusement à la Madeleine, n'a jamais oublié le petit Jacob Eberst, fils du chantre de la synagogue de Cologne, qui débarquait à Paris un jour de 1833 avec, pour toute fortune, un violoncelle presque plus haut que lui...
Après la funeste guerre de 1870, lorsqu'on chercha les responsables, il fut de bon ton de dénoncer Offenbach comme l'un des grands corrupteurs de son temps : sa musique frivole aurait bercé les français dans une quiétude coupable et aurait conduit le bal du volcan sur lequel ils dansaient.
Bref, on accus le miroir de refléter la vie parisienne et certes... le miroir ne laissa rien passer : les ridicules, les boursouflures d'orgueil, les gens de finance, de la presse et de la politique, cocottes et parvenus, quel tableau nous offre-t-il du second empire, étonnement vivant et, finalement, étrangement contemporain !
Avec ses librettistes, Meilhac et Halévy, dont la verve parodique et la fantaisie inventive s'accordaient à son propre génie comique, il composa une centaine d'opérettes dont la plupart tiennent encore à l'affiche. |
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