Titre : | Les Choses | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Georges Perec, Auteur | Editeur : | Paris : Julliard | Année de publication : | 1965 | Importance : | 158 pages | Format : | poche | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-266-17012-3 | Note générale : | Sylvie et Jérôme, tout juste sortis de leurs études de sociologie, entrent dans la vie active en travaillant comme enquêteurs pour des agences d'opinion. Ils cherchent un bonheur aux apparences simples : un logement confortable, de beaux meubles, des vêtements élégants, des après-midi au café et des soirées au cinéma. Mais la différence entre ce qu'on nous donne à rêver et la réalité de notre vie, mesquine et rétrécie, est cruelle. De leur minuscule appartement encombré, aux Puces où ils chinent, jusqu'en Tunisie où ils espèrent se réinventer, Jérôme et Sylvie se cherchent sans fin dans les reflets des objets qui les entourent. Que faire face au vertige des choses ?
Paru en 1965 chez Julliard et récompensé par le prix Renaudot, Les Choses s'est imposé comme un classique de la littérature contemporaine. En mettant l'analyse sociologique au service de la fiction, Georges Perec y inaugure une forme littéraire à la drôlerie mordante et à la singulière perspicacité, jamais démentie, sur notre société de consommation. | Langues : | Français (fre) | Catégories : | roman
| Mots-clés : | france société de consommation capitalisme sociologie couple amour | Note de contenu : | Dans ce récit si simple et si uni qu'il convient d'en souligner l'originalité profonde, Georges Perec tente, le premier avec cette rigueur, de mettre au service d'une entreprise romanesque les enseignements de l'analyse sociologique. Il nous décrit la vie quotidienne d'un jeune couple d'aujourd'hui issu des classes moyennes, l'idée que ces jeunes gens se font du bonheur, les raisons pour lesquelles ce bonheur leur reste inaccessible - car il est lié aux choses. "C'est qu'il y a (dira Perec) entre les choses du monde moderne et le bonheur, un rapport obligé... Ceux qui se sont imaginé que je condamnais la société de consommation n'ont vraiment rien compris à mon livre. Mais ce bonheur demeure un possible; car, dans notre société capitaliste, c'est : choses promises ne sont pas choses dues." |
Les Choses [texte imprimé] / Georges Perec, Auteur . - Paris : Julliard, 1965 . - 158 pages ; poche. ISBN : 978-2-266-17012-3 Sylvie et Jérôme, tout juste sortis de leurs études de sociologie, entrent dans la vie active en travaillant comme enquêteurs pour des agences d'opinion. Ils cherchent un bonheur aux apparences simples : un logement confortable, de beaux meubles, des vêtements élégants, des après-midi au café et des soirées au cinéma. Mais la différence entre ce qu'on nous donne à rêver et la réalité de notre vie, mesquine et rétrécie, est cruelle. De leur minuscule appartement encombré, aux Puces où ils chinent, jusqu'en Tunisie où ils espèrent se réinventer, Jérôme et Sylvie se cherchent sans fin dans les reflets des objets qui les entourent. Que faire face au vertige des choses ?
Paru en 1965 chez Julliard et récompensé par le prix Renaudot, Les Choses s'est imposé comme un classique de la littérature contemporaine. En mettant l'analyse sociologique au service de la fiction, Georges Perec y inaugure une forme littéraire à la drôlerie mordante et à la singulière perspicacité, jamais démentie, sur notre société de consommation. Langues : Français ( fre) Catégories : | roman
| Mots-clés : | france société de consommation capitalisme sociologie couple amour | Note de contenu : | Dans ce récit si simple et si uni qu'il convient d'en souligner l'originalité profonde, Georges Perec tente, le premier avec cette rigueur, de mettre au service d'une entreprise romanesque les enseignements de l'analyse sociologique. Il nous décrit la vie quotidienne d'un jeune couple d'aujourd'hui issu des classes moyennes, l'idée que ces jeunes gens se font du bonheur, les raisons pour lesquelles ce bonheur leur reste inaccessible - car il est lié aux choses. "C'est qu'il y a (dira Perec) entre les choses du monde moderne et le bonheur, un rapport obligé... Ceux qui se sont imaginé que je condamnais la société de consommation n'ont vraiment rien compris à mon livre. Mais ce bonheur demeure un possible; car, dans notre société capitaliste, c'est : choses promises ne sont pas choses dues." |
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