Titre : | P P P : pour flûte et piano | Type de document : | partition musicale imprimée | Auteurs : | Philippe Leroux, Compositeur | Mention d'édition : | G 5723 B | Editeur : | Paris : Editions G. Billaudot | Année de publication : | cop. 1994 | Importance : | 2 partitions (11, 30 p.) | Format : | 31 cm | ISBN/ISSN/EAN : | G 5723 B | Prix : | 23,20€ | Note générale : | Date de composition : 1993
Durée : 12 mn | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Duo Flûte Musique contemporaine Piano
| Résumé : | La signification du titre reste volontairement mystérieuse pour cette œuvre composée en 1993 et dédiée à ses créateurs, Annie et François-Michel Rigniol. Dans cette partition, on relève le principe de continuité cher au compositeur, inséparable d’une volonté d’engendrement incessant des figures. Cette continuité est faite de permanences enchevêtrées, qui s’épaulent les unes les autres en vue d’un effort commun à poursuivre. Le principe qui anime la pièce procède d’une volonté évidente de logique. Toutes les idées de l’œuvre sont déduites, soit d’un son initial qui porte déjà en lui ses propres développements, soit de processus qui, chauffés à blanc, doivent s’épuiser et mourir. Mais ces mouvements, inverses pour qui voudrait les distinguer, sont toujours complémentaires. En ce sens, on peut écouter l’œuvre comme une métaphore sonore des lois du vivant, pour lesquelles des éléments qui sont détruits en engendrent déjà d’autres dans l’acte de disparaître. | Instruments : | 1 flûte + 1 piano |
P P P : pour flûte et piano [partition musicale imprimée] / Philippe Leroux, Compositeur . - G 5723 B . - Paris : Editions G. Billaudot, cop. 1994 . - 2 partitions (11, 30 p.) ; 31 cm. ISSN : G 5723 B : 23,20€ Date de composition : 1993
Durée : 12 mn Langues : Français ( fre) Catégories : | Duo Flûte Musique contemporaine Piano
| Résumé : | La signification du titre reste volontairement mystérieuse pour cette œuvre composée en 1993 et dédiée à ses créateurs, Annie et François-Michel Rigniol. Dans cette partition, on relève le principe de continuité cher au compositeur, inséparable d’une volonté d’engendrement incessant des figures. Cette continuité est faite de permanences enchevêtrées, qui s’épaulent les unes les autres en vue d’un effort commun à poursuivre. Le principe qui anime la pièce procède d’une volonté évidente de logique. Toutes les idées de l’œuvre sont déduites, soit d’un son initial qui porte déjà en lui ses propres développements, soit de processus qui, chauffés à blanc, doivent s’épuiser et mourir. Mais ces mouvements, inverses pour qui voudrait les distinguer, sont toujours complémentaires. En ce sens, on peut écouter l’œuvre comme une métaphore sonore des lois du vivant, pour lesquelles des éléments qui sont détruits en engendrent déjà d’autres dans l’acte de disparaître. | Instruments : | 1 flûte + 1 piano |
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