Titre : | Terre des hommes | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Antoine Saint-Exupéry, de (1900-1944), Auteur | Editeur : | Paris : Editions Gallimard | Année de publication : | 1939 | Collection : | Folio | Importance : | 246 pages | Format : | poche | Note générale : | «Quand nous prendrons conscience de notre rôle, même le plus effacé, alors seulement nous serons heureux. Alors seulement nous pourrons vivre en paix et mourir en paix, car ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.» | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Roman autobiographique
| Mots-clés : | essais autobiographiques pilote avion | Résumé : | «Nous habitons une planète errante.» Saint-Exupéry, qui vient d'être nommé pilote de ligne, découvre, admire, médite notre planète. Assurant désormais le courrier entre Toulouse et Dakar, il hérite d'une vaste responsabilité à l'égard des hommes, mais surtout de lui-même et de son rapport au monde. Tout en goûtant «la pulpe amère des nuits de vol», il apprend à habiter la planète et la condition d'homme, lit son chemin intérieur à travers les astres. En plus du langage universel, il jouit aussi chaque jour de la fraternité qui le lie à ses camarades du ciel. Il rend hommage à Mermoz ou à Guillaumet, à qui est dédicacé le roman, et dont il rappelle les célèbres paroles : «Ce que j'ai fait, je le jure, jamais aucune bête ne l'aurait fait.» |
Terre des hommes [texte imprimé] / Antoine Saint-Exupéry, de (1900-1944), Auteur . - Editions Gallimard, 1939 . - 246 pages ; poche. - ( Folio) . «Quand nous prendrons conscience de notre rôle, même le plus effacé, alors seulement nous serons heureux. Alors seulement nous pourrons vivre en paix et mourir en paix, car ce qui donne un sens à la vie donne un sens à la mort.» Langues : Français ( fre) Catégories : | Roman autobiographique
| Mots-clés : | essais autobiographiques pilote avion | Résumé : | «Nous habitons une planète errante.» Saint-Exupéry, qui vient d'être nommé pilote de ligne, découvre, admire, médite notre planète. Assurant désormais le courrier entre Toulouse et Dakar, il hérite d'une vaste responsabilité à l'égard des hommes, mais surtout de lui-même et de son rapport au monde. Tout en goûtant «la pulpe amère des nuits de vol», il apprend à habiter la planète et la condition d'homme, lit son chemin intérieur à travers les astres. En plus du langage universel, il jouit aussi chaque jour de la fraternité qui le lie à ses camarades du ciel. Il rend hommage à Mermoz ou à Guillaumet, à qui est dédicacé le roman, et dont il rappelle les célèbres paroles : «Ce que j'ai fait, je le jure, jamais aucune bête ne l'aurait fait.» |
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