Titre : | Le malade imaginaire | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Molière, Auteur | Editeur : | Paris : Librairie générale française | Année de publication : | 1986 | Collection : | Classiques de poche | Importance : | 240p | Format : | 11cm x 17cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-253-03794-1 | Langues : | Français (fre) | Mots-clés : | classique | Résumé : | Assis seul, Argan détaille des factures d'apothicaire lorsque Toinette, sa servante, entre dans sa chambre. Il l'interroge sur son lavement, demande s'il a bien fait de la bile, à quoi Toinette répond qu'elle ne se mêle point de ces affaires-là. Consciente que les maux de son maître sont imaginaires, elle ne se prive pas d'ajouter que, pour son médecin et son apothicaire, il n'est rien d'autre qu'une « bonne vache à lait ». Molière lui-même joue le personnage d’Argan le 10 février 1673, lors de la création de sa pièce au théâtre du Palais-Royal, et meurt sept jours plus tard, à l’issue de la quatrième représentation. De cette « comédie mêlée de musique et de danses » où son œuvre s’achève, c’est la puissance comique qui, bien sûr, a fait la fortune. Mais c’est aussi une pièce à thèse : le dramaturge ne se moque pas seulement des médecins de son temps, mais après Le Tartuffe, il dénonce plus profondément en eux de nouveaux imposteurs. |
Le malade imaginaire [texte imprimé] / Molière, Auteur . - Librairie générale française, 1986 . - 240p ; 11cm x 17cm. - ( Classiques de poche) . ISBN : 978-2-253-03794-1 Langues : Français ( fre) Mots-clés : | classique | Résumé : | Assis seul, Argan détaille des factures d'apothicaire lorsque Toinette, sa servante, entre dans sa chambre. Il l'interroge sur son lavement, demande s'il a bien fait de la bile, à quoi Toinette répond qu'elle ne se mêle point de ces affaires-là. Consciente que les maux de son maître sont imaginaires, elle ne se prive pas d'ajouter que, pour son médecin et son apothicaire, il n'est rien d'autre qu'une « bonne vache à lait ». Molière lui-même joue le personnage d’Argan le 10 février 1673, lors de la création de sa pièce au théâtre du Palais-Royal, et meurt sept jours plus tard, à l’issue de la quatrième représentation. De cette « comédie mêlée de musique et de danses » où son œuvre s’achève, c’est la puissance comique qui, bien sûr, a fait la fortune. Mais c’est aussi une pièce à thèse : le dramaturge ne se moque pas seulement des médecins de son temps, mais après Le Tartuffe, il dénonce plus profondément en eux de nouveaux imposteurs. |
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