Titre : | Douce : et autres textes | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Pier Paolo Pasolini, Auteur | Editeur : | Paris : Actes Sud | Année de publication : | 2000 | Importance : | 240p | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-7427-2535-9 | Langues : | Français (fre) Langues originales : Italien (ita) | Catégories : | Roman autobiographique
| Résumé : |
Issu des Cahiers rouges, journal intime tenu par Pasolini entre 1946 et 1947, Douce décrit une rencontre avec un jeune Frioulan que le narrateur, un soir de bal, remarque, approche et tente de séduire. Emotion, ferveur mêlée de stratégie : Pasolini dessine d’une plume empreinte de lyrisme les subtils et mutuels jeux de séduction. Puis il fait intervenir, avec Romans (écrit entre 1948 et 1949), deux autres doubles de lui-même — et en particulier don Paolo, jeune prêtre vivant avec sa mère, tourmenté par sa coupable passion pour un adolescent du village...
Que Pasolini surgisse sous le masque de ses personnages, ou qu’il se mette directement en scène, c’est toujours entre culpabilité et exigence de se révéler qu’il oscille dans ces premières et décisives proses autobiographiques. On y découvre une grande intensité de vie et de poésie, et déjà l’art de jouer avec tous les procédés narratifs. |
Douce : et autres textes [texte imprimé] / Pier Paolo Pasolini, Auteur . - Paris : Actes Sud, 2000 . - 240p. ISBN : 978-2-7427-2535-9 Langues : Français ( fre) Langues originales : Italien ( ita) Catégories : | Roman autobiographique
| Résumé : |
Issu des Cahiers rouges, journal intime tenu par Pasolini entre 1946 et 1947, Douce décrit une rencontre avec un jeune Frioulan que le narrateur, un soir de bal, remarque, approche et tente de séduire. Emotion, ferveur mêlée de stratégie : Pasolini dessine d’une plume empreinte de lyrisme les subtils et mutuels jeux de séduction. Puis il fait intervenir, avec Romans (écrit entre 1948 et 1949), deux autres doubles de lui-même — et en particulier don Paolo, jeune prêtre vivant avec sa mère, tourmenté par sa coupable passion pour un adolescent du village...
Que Pasolini surgisse sous le masque de ses personnages, ou qu’il se mette directement en scène, c’est toujours entre culpabilité et exigence de se révéler qu’il oscille dans ces premières et décisives proses autobiographiques. On y découvre une grande intensité de vie et de poésie, et déjà l’art de jouer avec tous les procédés narratifs. |
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