Titre : | Le Neveu de Rameau | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Denis Diderot (1713-1784), Auteur | Editeur : | Bruxelles : Editions Alternatives théâtrales | Année de publication : | 1977 | Autre Editeur : | Namur : Espaces Sud | Importance : | 62 pages | Présentation : | photographies n&b | Note générale : | Explorant la jungle parisienne, il découvre « l’homme loup, l’homme renard ou l’homme mouton, le plus commun ». La femme non plus n’est guère épargnée comme Mme de la Carlière et ses serments éternels. Le Neveu de Rameau, parasite plein de fantaisie, est impitoyable pour l’hypocrisie de son respectable entourage. La satire de la société du XVIIIe siècle, si proche encore de la nôtre, atteint son paroxysme quand Diderot nous embarque vers Tahiti, à la suite de Bougainville. Dans ce jardin, plus de code civil ou religieux niant la nature humaine. Plus de mariage prison, les amours y sont libres et pures… Pas de propriété, donc pas de vol.
Ces contes pleins d’entrain imposent la vérité du philosophe : il veut pour l’homme ce que veut la nature, le vrai engendre le bon et le beau naît de l’un et l’autre. | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Théâtre Théâtre -- 18e siècle
| Mots-clés : | satire société tahiti nature humaine philosophie |
Le Neveu de Rameau [texte imprimé] / Denis Diderot (1713-1784), Auteur . - Bruxelles : Editions Alternatives théâtrales : Namur : Espaces Sud, 1977 . - 62 pages : photographies n&b. Explorant la jungle parisienne, il découvre « l’homme loup, l’homme renard ou l’homme mouton, le plus commun ». La femme non plus n’est guère épargnée comme Mme de la Carlière et ses serments éternels. Le Neveu de Rameau, parasite plein de fantaisie, est impitoyable pour l’hypocrisie de son respectable entourage. La satire de la société du XVIIIe siècle, si proche encore de la nôtre, atteint son paroxysme quand Diderot nous embarque vers Tahiti, à la suite de Bougainville. Dans ce jardin, plus de code civil ou religieux niant la nature humaine. Plus de mariage prison, les amours y sont libres et pures… Pas de propriété, donc pas de vol.
Ces contes pleins d’entrain imposent la vérité du philosophe : il veut pour l’homme ce que veut la nature, le vrai engendre le bon et le beau naît de l’un et l’autre. Langues : Français ( fre) |