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Sous-collection The flemish music collection
- Éditeur : Musikproduktion Jürgen Höflich
- Collection : Repertoire explorer
- ISSN : pas d'ISSN
Documents disponibles dans la sous-collection
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Titre : Low-key music : pour 2 marimbas solo et orchestre de chambre Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Gaston Nuyts, Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2005 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : The flemish music collection num. Study score 512 Importance : 1 partition (113 p.) Format : 24 cm Note générale : Composition : 2004 Catégories : Orchestre Instruments : 1.3.0.0/0.1.1.0 + 2 sax. + 1 batt. + 2 marimbas solo + cordes Low-key music : pour 2 marimbas solo et orchestre de chambre [partition musicale imprimée] / Gaston Nuyts, Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2005 . - 1 partition (113 p.) ; 24 cm. - (Repertoire explorer. The flemish music collection; Study score 512) .
Composition : 2004
Catégories : Orchestre Instruments : 1.3.0.0/0.1.1.0 + 2 sax. + 1 batt. + 2 marimbas solo + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1011350 8-X NUY LOW Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Fantaisie pour violon et clarinette et grand orchestre / Charles-Louis Hanssens
Titre : Fantaisie pour violon et clarinette et grand orchestre Autre titre : Morceau de concert pour hautbois et clarinette Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Charles-Louis Hanssens, Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2005 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : The flemish music collection num. study score 505 Importance : 1 partition (29, 21 p.) Format : 23 cm Note générale : Composition : 1836 ; 1841 Catégories : Orchestre Instruments : Fantaisie : 2.2.0.2/2.2.1.0 + vln solo + clarinette solo + cordes/Morceau de concert : 2.1.1.2/2.2.1.0 + timb. + hautbois solo + clarinette solo + cordes Fantaisie pour violon et clarinette et grand orchestre ; Morceau de concert pour hautbois et clarinette [partition musicale imprimée] / Charles-Louis Hanssens, Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2005 . - 1 partition (29, 21 p.) ; 23 cm. - (Repertoire explorer. The flemish music collection; study score 505) .
Composition : 1836 ; 1841
Catégories : Orchestre Instruments : Fantaisie : 2.2.0.2/2.2.1.0 + vln solo + clarinette solo + cordes/Morceau de concert : 2.1.1.2/2.2.1.0 + timb. + hautbois solo + clarinette solo + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1011349 8-X HAN FAN Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Concerto en Si mineur pour le violoncelle : Op. 5 / Adrien François Servais
Titre : Concerto en Si mineur pour le violoncelle : Op. 5 Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Adrien François Servais, Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2007 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : The flemish music collection num. Study score 529 Importance : 1 partition (145 p.) Format : 24 cm Note générale : Composition : 1834 Catégories : Orchestre Instruments : 2.2.2.2/2.2.3.0 + timb. + cello solo + cordes Concerto en Si mineur pour le violoncelle : Op. 5 [partition musicale imprimée] / Adrien François Servais, Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2007 . - 1 partition (145 p.) ; 24 cm. - (Repertoire explorer. The flemish music collection; Study score 529) .
Composition : 1834
Catégories : Orchestre Instruments : 2.2.2.2/2.2.3.0 + timb. + cello solo + cordes Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1003801 8-X SER CON 5 Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Requiem / Charles-Louis Hanssens
Titre : Requiem Titre original : Grande messe de requiem composée et dédiée à Monsieur Fétis Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Charles-Louis Hanssens, Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2005 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : The flemish music collection num. 502 Importance : 1 partition (160 p.) Prix : 23 cm Langues : Latin (lat) Catégories : Orchestre Résumé : Charles Louis Hanssens (1802-1871), Requiem (1837)
Charles Louis Hanssens naquit dans une famille gantoise de musiciens: son père Joseph était chef d’orchestre à l’opéra de Gand et son oncle Charles Louis était compositeur et pendant de nombreuses années chef d’orchestre à l’Opéra de la Monnaie à Bruxelles. Vers 1812 le père quitta l’orchestre de l’opéra de Gand pour celui d’Amsterdam, où son fils débuta comme violoncelliste à l’âge de dix ans. Il ne tardera pas à écrire ses premières compositions, bien que la mort précoce de son père le contraignît à une formation d’autodidacte. Outre la musique qu’il entendit dans l’enceinte familiale, il puisa surtout dans les livres d’études du compositeur Anton Reicha. A ses quatorze ans, Hanssens était déjà l’auteur d’un certain nombre de pièces de musique de chambre, dont un quatuor à cordes remarquable. Pendant les trois années suivantes il composa trois concertos (pour clarinette, basson et cor), ainsi qu’un opéra, intitulé Les deux Joueurs. Après un conflit autour de son opéra-ballet La Fête du Temple, il déménagea comme violoncelliste solo à l’orchestre de la Monnaie à Bruxelles, où il retrouva son oncle. En 1828, après avoir passé un examen en composition qui fut évalué par Luigi Cherubini et Antoine Reicha, il devint, à l’âge de 26 ans, professeur d’harmonie et de composition à l’Ecole Royale de Musique à Bruxelles.
Après la Révolution belge il fut accusé d’orangisme en raison de son séjour à Amsterdam, son mariage avec une Hollandaise et sa nomination hollandaise. Devenu tout d’un coup « persona non grata » en Belgique, le compositeur et chef d’orchestre très prometteur fut contraint de chercher de l’emploi à Amsterdam, La Haye et Paris. Suite à la faillite du Théâtre Ventadour à Paris, Hanssens dût affronter des difficultés financières. Grâce à la médiation du violoniste Lambert Meerts, professeur au Conservatoire de Bruxelles, il obtint en 1837, par l’intermédiaire de François-Joseph Fétis, directeur du Conservatoire, l’ordre du gouvernement d’écrire un requiem à l’intention des victimes de la révolution de 1830. La coutume de commémorer les morts de la révolution de 1830 avec un requiem existait depuis 1833. Certaines années on demandait à un compositeur belge de créer un nouveau requiem, d’autres années on recourait aux messes de requiem de Mozart ou de Cherubini. Après la création mondiale fort acclamée de son Requiem, Hanssens fut officiellement réhabilitée et put s’installer à nouveau dans sa ville natale. De 1838 à 1844, il y travailla comme chef d’orchestre de la Société des Concerts du Casino. Il ouvrit de nouvelles voies avec cet orchestre, en programmant des symphonies de Beethoven à une époque où le répertoire d’orchestre ressassait surtout du pot-pourri et des variations sur des thèmes d’opéra populaires.
En 1844 il déménagea à Bruxelles pour y devenir directeur de musique de la Société Royale de la Grande Harmonie. Cinq ans plus tard, il y dirigea la première exécution de la neuvième symphonie de Beethoven. En 1847, il fut le deuxième membre de la famille Hanssens à être nommé chef d’orchestre à la Monnaie. Il y dirigera tout le répertoire : de Mozart aux compositeurs contemporains comme Meyerbeer, Berlioz et Gounod, qui assistèrent à plusieurs auditions à Bruxelles. Encore à Bruxelles, Hanssens fut parmi ceux qui jetèrent les bases de la solide tradition wagnérienne qui émergerait plus tard à la Monnaie. A partir de la fin des années 1860 son état de santé s’affaiblissait et son travail de chef d’orchestre se heurtait à une résistance grandissante. Il mourut le 8 avril 1871, âgé de 68 ans.
Hanssens laissa une œuvre impressionnante, contenant plusieurs quatuors à cordes, une série d’ouvertures, des fantaisies pour orchestre, quatorze ballets, une dizaine de concertos, neuf symphonies, des chorales, des opéras, des cantates, des oratoires, trois messes et un requiem.
Le Requiem fut créé le 23 septembre 1837 dans l’église Sainte-Gudule à Bruxelles. Le maître de chapelle fut François Snel. Chose curieuse, le thème de l’Introitus est le thème du premier mouvement de son concerto pour violoncelle, composé la même année. La messe de requiem de Hanssens reçut bonne presse et connut plusieurs exécutions. Après une dernière exécution le 17 avril 1877 au Conservatoire de Gand, l’œuvre tomba dans un oubli et dut attendre la fin du vingtième siècle avant d’être réexécutée, fût-ce une seule fois. Toute l’œuvre, avec ses puissants contrastes dynamiques, témoigne de la grande admiration de Hanssens pour Beethoven.
Jan Dewilde
(traduction: Lieven Tack)
Pour la location du materiel: Muziekbibliotheek VRO-VRK/Albertina-bibliotheek, Brussel
Réimpression d'un exemplaire de la Bibliothèque du Conservatoire d'Anvers.Requiem = Grande messe de requiem composée et dédiée à Monsieur Fétis [partition musicale imprimée] / Charles-Louis Hanssens, Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2005 . - 1 partition (160 p.). - (Repertoire explorer. The flemish music collection; 502) .
23 cm
Langues : Latin (lat)
Catégories : Orchestre Résumé : Charles Louis Hanssens (1802-1871), Requiem (1837)
Charles Louis Hanssens naquit dans une famille gantoise de musiciens: son père Joseph était chef d’orchestre à l’opéra de Gand et son oncle Charles Louis était compositeur et pendant de nombreuses années chef d’orchestre à l’Opéra de la Monnaie à Bruxelles. Vers 1812 le père quitta l’orchestre de l’opéra de Gand pour celui d’Amsterdam, où son fils débuta comme violoncelliste à l’âge de dix ans. Il ne tardera pas à écrire ses premières compositions, bien que la mort précoce de son père le contraignît à une formation d’autodidacte. Outre la musique qu’il entendit dans l’enceinte familiale, il puisa surtout dans les livres d’études du compositeur Anton Reicha. A ses quatorze ans, Hanssens était déjà l’auteur d’un certain nombre de pièces de musique de chambre, dont un quatuor à cordes remarquable. Pendant les trois années suivantes il composa trois concertos (pour clarinette, basson et cor), ainsi qu’un opéra, intitulé Les deux Joueurs. Après un conflit autour de son opéra-ballet La Fête du Temple, il déménagea comme violoncelliste solo à l’orchestre de la Monnaie à Bruxelles, où il retrouva son oncle. En 1828, après avoir passé un examen en composition qui fut évalué par Luigi Cherubini et Antoine Reicha, il devint, à l’âge de 26 ans, professeur d’harmonie et de composition à l’Ecole Royale de Musique à Bruxelles.
Après la Révolution belge il fut accusé d’orangisme en raison de son séjour à Amsterdam, son mariage avec une Hollandaise et sa nomination hollandaise. Devenu tout d’un coup « persona non grata » en Belgique, le compositeur et chef d’orchestre très prometteur fut contraint de chercher de l’emploi à Amsterdam, La Haye et Paris. Suite à la faillite du Théâtre Ventadour à Paris, Hanssens dût affronter des difficultés financières. Grâce à la médiation du violoniste Lambert Meerts, professeur au Conservatoire de Bruxelles, il obtint en 1837, par l’intermédiaire de François-Joseph Fétis, directeur du Conservatoire, l’ordre du gouvernement d’écrire un requiem à l’intention des victimes de la révolution de 1830. La coutume de commémorer les morts de la révolution de 1830 avec un requiem existait depuis 1833. Certaines années on demandait à un compositeur belge de créer un nouveau requiem, d’autres années on recourait aux messes de requiem de Mozart ou de Cherubini. Après la création mondiale fort acclamée de son Requiem, Hanssens fut officiellement réhabilitée et put s’installer à nouveau dans sa ville natale. De 1838 à 1844, il y travailla comme chef d’orchestre de la Société des Concerts du Casino. Il ouvrit de nouvelles voies avec cet orchestre, en programmant des symphonies de Beethoven à une époque où le répertoire d’orchestre ressassait surtout du pot-pourri et des variations sur des thèmes d’opéra populaires.
En 1844 il déménagea à Bruxelles pour y devenir directeur de musique de la Société Royale de la Grande Harmonie. Cinq ans plus tard, il y dirigea la première exécution de la neuvième symphonie de Beethoven. En 1847, il fut le deuxième membre de la famille Hanssens à être nommé chef d’orchestre à la Monnaie. Il y dirigera tout le répertoire : de Mozart aux compositeurs contemporains comme Meyerbeer, Berlioz et Gounod, qui assistèrent à plusieurs auditions à Bruxelles. Encore à Bruxelles, Hanssens fut parmi ceux qui jetèrent les bases de la solide tradition wagnérienne qui émergerait plus tard à la Monnaie. A partir de la fin des années 1860 son état de santé s’affaiblissait et son travail de chef d’orchestre se heurtait à une résistance grandissante. Il mourut le 8 avril 1871, âgé de 68 ans.
Hanssens laissa une œuvre impressionnante, contenant plusieurs quatuors à cordes, une série d’ouvertures, des fantaisies pour orchestre, quatorze ballets, une dizaine de concertos, neuf symphonies, des chorales, des opéras, des cantates, des oratoires, trois messes et un requiem.
Le Requiem fut créé le 23 septembre 1837 dans l’église Sainte-Gudule à Bruxelles. Le maître de chapelle fut François Snel. Chose curieuse, le thème de l’Introitus est le thème du premier mouvement de son concerto pour violoncelle, composé la même année. La messe de requiem de Hanssens reçut bonne presse et connut plusieurs exécutions. Après une dernière exécution le 17 avril 1877 au Conservatoire de Gand, l’œuvre tomba dans un oubli et dut attendre la fin du vingtième siècle avant d’être réexécutée, fût-ce une seule fois. Toute l’œuvre, avec ses puissants contrastes dynamiques, témoigne de la grande admiration de Hanssens pour Beethoven.
Jan Dewilde
(traduction: Lieven Tack)
Pour la location du materiel: Muziekbibliotheek VRO-VRK/Albertina-bibliotheek, Brussel
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1003792 8-X HAN REQ Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible La Mer / Paul Gilson
Titre : La Mer : esquisses symphoniques d'après un poème d'Eddy Levis pour grand orchestre Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Paul Gilson (1865-1942), Compositeur Editeur : Münich : Musikproduktion Jürgen Höflich Année de publication : 2005 Collection : Repertoire explorer Sous-collection : The flemish music collection num. 504 Importance : 1 partition (165 p.) Format : 23 cm Langues : Néerlandais (dut) Français (fre) Allemand (ger) Anglais (eng) Catégories : Orchestre Résumé : Paul Gilson
(né à Bruxelles, le 15 juin 1865 –mort à Bruxelles, le 3 avril 1942)
La Mer
(1891)
Préface
Paul Gilson a joué un rôle prépondérant dans la vie musicale flamande, non seulement en tant que compositeur mais également en tant que pédagogue, théoricien et critique.
Il a été formé par François-Auguste Gevaert au conservatoire de Bruxelles. En outre, il se mit à étudier en autodidacte les partitions de Richard Wagner et celles du «puissant petit groupe» russe dont il introduit la musique en Europe occidentale avec ses réductions de piano de Shéhérazade et de La Grande Pâque russe du compositeur Nicolai Rimski-Korsakov. Dans les années 1910, Gilson donnait cours à des dizaines de jeunes compositeurs. En 1925, sept de ses disciples fondent le groupe des »Synthétiste» formé de René Bernier, Gaston Brenta, Francis De Bourguignon, Theo Dejoncker, Robert Otlet, Marcel Poot, Maurice Schoemaker en Jules Strens.
Gilson a également publié un nombre de manuels didactiques et écrit des critiques pour La Revue Musicale.
Ses meilleures pièces ont été composées avant l’âge de quarante ans. Il s’agit de l’œuvre pour cordes Mélodies Écossaises (1892), l’oratorio Francesca da Rimini (1892), l’opéra Prinses Zonneschijn (1903), le ballet La Captive (1904) et surtout La Mer, œuvre inspirée par une série de poèmes maritimes de Eddy Levis.
Bien que Gilson considère cet œuvre en quatre parties modestement comme des «esquisses symphoniques», mais on peut dire qu’il s’agit d’un véritable croisement entre la symphonie et le poème symphonique. Le thème cyclique, qui traverse toute l’œuvre, donne à celle-ci son unité et sa structure. Les titres des quatre parties sont: Lever du soleil, Chants et danses de matelots, Crépuscule et La tempête. La première partie montre la mer dans toute sa splendeur sous un soleil éclatant; la seconde partie – celle de la fête – est plus dynamique, avec par moments une nuance déjà mélancolique. Dans la troisième partie, qui peut être considérée comme une sorte d’adagio, le pêcheur dit adieu à sa bien-aimée au moment de gagner le large. Enfin, dans la partie finale, c’est son côté violent et tragique que la mer nous montre.
Gilson aurait voulu que le poème maritime correspondant fut déclamé avant chaque partie, or, cela ne se faisait que rarement. L’ensemble harmonique supplémentaire (composé de bois et de saxophones) fut également supprimé, tout comme le chœur d’hommes ad libitum dans la partie finale.
La Mer nous révèle un orchestrateur prodigieux qui affectionne les cuivres. A certains moments dans cet oeuvre, il est clair que Gilson se sent surtout proche du groupe des Cinq russe et de Richard Strauss.
La Mer fut crée à Bruxelles le 20 mars 1892 par l’orchestre des Concerts Populaires dirigé par Joseph Dupont. Bien que Gilson n’eût alors que vingt-sept ans et qu’il n’en fût qu’aux débuts de sa carrière, La Mer reste, encore aujourd’hui, son œuvre la plus connue.
Jan Dewilde, 2005 (traduction: Annick Mannekens)
Réimpression d’un exemplaire de la Bibliothèque du Conservatoire d’Anvers. Pour la location du matériel : Muziekbibliotheek VRO-VRK, Albertina-bibliotheek, Bruxelles. Cette partition est publiée avec le soutien du Studiecentrum voor Vlaamse Muziek.La Mer : esquisses symphoniques d'après un poème d'Eddy Levis pour grand orchestre [partition musicale imprimée] / Paul Gilson (1865-1942), Compositeur . - Musikproduktion Jürgen Höflich, 2005 . - 1 partition (165 p.) ; 23 cm. - (Repertoire explorer. The flemish music collection; 504) .
Langues : Néerlandais (dut) Français (fre) Allemand (ger) Anglais (eng)
Catégories : Orchestre Résumé : Paul Gilson
(né à Bruxelles, le 15 juin 1865 –mort à Bruxelles, le 3 avril 1942)
La Mer
(1891)
Préface
Paul Gilson a joué un rôle prépondérant dans la vie musicale flamande, non seulement en tant que compositeur mais également en tant que pédagogue, théoricien et critique.
Il a été formé par François-Auguste Gevaert au conservatoire de Bruxelles. En outre, il se mit à étudier en autodidacte les partitions de Richard Wagner et celles du «puissant petit groupe» russe dont il introduit la musique en Europe occidentale avec ses réductions de piano de Shéhérazade et de La Grande Pâque russe du compositeur Nicolai Rimski-Korsakov. Dans les années 1910, Gilson donnait cours à des dizaines de jeunes compositeurs. En 1925, sept de ses disciples fondent le groupe des »Synthétiste» formé de René Bernier, Gaston Brenta, Francis De Bourguignon, Theo Dejoncker, Robert Otlet, Marcel Poot, Maurice Schoemaker en Jules Strens.
Gilson a également publié un nombre de manuels didactiques et écrit des critiques pour La Revue Musicale.
Ses meilleures pièces ont été composées avant l’âge de quarante ans. Il s’agit de l’œuvre pour cordes Mélodies Écossaises (1892), l’oratorio Francesca da Rimini (1892), l’opéra Prinses Zonneschijn (1903), le ballet La Captive (1904) et surtout La Mer, œuvre inspirée par une série de poèmes maritimes de Eddy Levis.
Bien que Gilson considère cet œuvre en quatre parties modestement comme des «esquisses symphoniques», mais on peut dire qu’il s’agit d’un véritable croisement entre la symphonie et le poème symphonique. Le thème cyclique, qui traverse toute l’œuvre, donne à celle-ci son unité et sa structure. Les titres des quatre parties sont: Lever du soleil, Chants et danses de matelots, Crépuscule et La tempête. La première partie montre la mer dans toute sa splendeur sous un soleil éclatant; la seconde partie – celle de la fête – est plus dynamique, avec par moments une nuance déjà mélancolique. Dans la troisième partie, qui peut être considérée comme une sorte d’adagio, le pêcheur dit adieu à sa bien-aimée au moment de gagner le large. Enfin, dans la partie finale, c’est son côté violent et tragique que la mer nous montre.
Gilson aurait voulu que le poème maritime correspondant fut déclamé avant chaque partie, or, cela ne se faisait que rarement. L’ensemble harmonique supplémentaire (composé de bois et de saxophones) fut également supprimé, tout comme le chœur d’hommes ad libitum dans la partie finale.
La Mer nous révèle un orchestrateur prodigieux qui affectionne les cuivres. A certains moments dans cet oeuvre, il est clair que Gilson se sent surtout proche du groupe des Cinq russe et de Richard Strauss.
La Mer fut crée à Bruxelles le 20 mars 1892 par l’orchestre des Concerts Populaires dirigé par Joseph Dupont. Bien que Gilson n’eût alors que vingt-sept ans et qu’il n’en fût qu’aux débuts de sa carrière, La Mer reste, encore aujourd’hui, son œuvre la plus connue.
Jan Dewilde, 2005 (traduction: Annick Mannekens)
Réimpression d’un exemplaire de la Bibliothèque du Conservatoire d’Anvers. Pour la location du matériel : Muziekbibliotheek VRO-VRK, Albertina-bibliotheek, Bruxelles. Cette partition est publiée avec le soutien du Studiecentrum voor Vlaamse Muziek.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1000087 8-X GIL MER Partition musicale Bibliothèque ARTS². Musique Partitions de poche Disponible Poème symphonique pour piano et orchestre (1865) / Peter Benoit
PermalinkFrancesca da Rimini / Paul Gilson
PermalinkLe capitaine Henriot / François Auguste Gevaert
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