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Titre : Tragiques Grecs : Le cCyclope ; Alcetse ; Médée; Hippolyte ; Les Héraclides ; Andromaque ; Hécube ; La folie d'Héraclès ; Les suppliantes ; Ion ; Les Troyennes ; Iphigénie en Tauride ; Electre ; Hélène ; Les Phéniciennes ; Oreste ; Les Bachantes ; Iphigénie à Aulis ; Rhésos Type de document : texte imprimé Auteurs : Euripide, Auteur ; Marie Delcourt, Traducteur Editeur : Bibliothèque de la Pléiade Année de publication : 1962 Importance : 1478 pages Format : poche Note générale : Pour les anciens, Euripide était le plus grand tragique grec. En notre temps reprendra-t-il cette place qu'il avait perdue au XVIIe et au
XIXe siècle? Sans doute. Car les thèmes qu'il aborde, autant que sa façon de les aborder, appartiennent étrangement à notre siècle. Nul, en effet, n'a exprimé avec plus de force l'inquiétude de l'homme devant un univers dont le sens lui échappe. Euripide a su décrire la folie, et ses tragédies peuvent servir d'illustration aux modernes traités de psychologie normale et de pathologie. Racine et Goethe l'ont lu,
senti, aimé, imité.
Marie Delcourt-Curvers joint à chaque pièce de cet ouvrage une notice qui en situe l'argument dans la légende grecque et qui souligne l'originalité de la mise en œuvre. Un sommaire des études euripidéennes termine l'introduction ; des notes critiques en fin de volume justifient le texte adopté.Langues : Français (fre) Mots-clés : classique tragédie Grèce Tragiques Grecs : Le cCyclope ; Alcetse ; Médée; Hippolyte ; Les Héraclides ; Andromaque ; Hécube ; La folie d'Héraclès ; Les suppliantes ; Ion ; Les Troyennes ; Iphigénie en Tauride ; Electre ; Hélène ; Les Phéniciennes ; Oreste ; Les Bachantes ; Iphigénie à Aulis ; Rhésos [texte imprimé] / Euripide, Auteur ; Marie Delcourt, Traducteur . - [S.l.] : Bibliothèque de la Pléiade, 1962 . - 1478 pages ; poche.
Pour les anciens, Euripide était le plus grand tragique grec. En notre temps reprendra-t-il cette place qu'il avait perdue au XVIIe et au
XIXe siècle? Sans doute. Car les thèmes qu'il aborde, autant que sa façon de les aborder, appartiennent étrangement à notre siècle. Nul, en effet, n'a exprimé avec plus de force l'inquiétude de l'homme devant un univers dont le sens lui échappe. Euripide a su décrire la folie, et ses tragédies peuvent servir d'illustration aux modernes traités de psychologie normale et de pathologie. Racine et Goethe l'ont lu,
senti, aimé, imité.
Marie Delcourt-Curvers joint à chaque pièce de cet ouvrage une notice qui en situe l'argument dans la légende grecque et qui souligne l'originalité de la mise en œuvre. Un sommaire des études euripidéennes termine l'introduction ; des notes critiques en fin de volume justifient le texte adopté.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : classique tragédie Grèce Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1041969 LT EUR TRA Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Théâtre de l'Inde ancienne / Bhasa
Titre : Théâtre de l'Inde ancienne : Bhāsa : Les Statues. Śūdraka : Le Petit Chariot de terre cuite. Kālidāsa : Mālavikā et Agnimitra - Urvaśī conquise par la vaillance - Śakuntalā au signe de reconnaissance. Bhāsa : Vāsavadattā vue en songe - Les Vœux de Yaugamdharāyaṇa - Avimāraka. Bhaṭṭanārāyaṇa : Les Tresses renouées. Bhāsa : Les Cuisses brisées. Bhavabhūti : La Fin de la geste de Rāma. Bhāsa : La Geste du jeune Kṛṣṇa. Harṣa : Priyadarśikā. Bhāsa : Le Sacre. Harṣa : Ratnāvalī. Type de document : texte imprimé Auteurs : Bhasa, Auteur ; Kalidasa, Auteur ; Sudraka, Auteur ; Harsa, Auteur ; Bhattanarayana, Auteur Editeur : Bibliothèque de la Pléiade Année de publication : 2006 Importance : 1648 pages Format : 105 x 170 mm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-011435-1 Langues : Français (fre) Mots-clés : Inde Note de contenu : Comme l'opéra occidental, le théâtre de l'Inde ancienne est un spectacle total. Il associe tous les arts de la scène. Présence conjuguée de la danse, de la musique et de la poésie ; alternance de la prose et des vers ; alternance des langues aussi : le sanskrit, réservé aux hommes de haut rang, cohabite avec les prâkrits, langues assignées aux hommes de condition inférieure et aux femmes, reines ou déesses. L'intrigue emprunte à trois sources principales : l'épopée – Mahabharata et Ramayana –, les contes, l'histoire. Ici, ni comédie ni tragédie ; c'est l'émotion esthétique, l'émerveillement, qui prime. Ce théâtre se lit comme un poème. Quant à la règle des trois unités, elle n'a pas cours : l'action, multiple, se situe rarement dans un lieu unique, et certaines pièces se déroulent sur vingt années, ou plus. Quant aux représentations, elles peuvent durer plusieurs jours (et plusieurs nuits).
Cette étrangeté a enflammé l'Occident. En 1789, William Jones donne la première traduction anglaise d'une pièce indienne, Sakuntala. L'engouement est immédiat. Goethe est envoûté par la jeune héroïne : «Faut-il nommer les fleurs du printemps avec les fruits de l'automne, le charme qui enivre avec l'aliment qui rassasie, le ciel avec la terre ? C'est ton nom que je prononce, ô Sacontala, et ce seul mot dit tout.» C'est le début de la «Renaissance orientale». La vague d'enthousiasme ne retombera pas : de Schlegel à Apollinaire, en passant par Théophile Gauthier, Gustave Flaubert ou Camille Claudel, tous reconnaissent en Sakuntala l'héroïne romantique par excellence. Désormais, la découverte de l'Inde se confond avec celle de son théâtre, c'est-à-dire avec le genre que les Indiens considèrent comme la forme la plus achevée de leur littérature.Théâtre de l'Inde ancienne : Bhāsa : Les Statues. Śūdraka : Le Petit Chariot de terre cuite. Kālidāsa : Mālavikā et Agnimitra - Urvaśī conquise par la vaillance - Śakuntalā au signe de reconnaissance. Bhāsa : Vāsavadattā vue en songe - Les Vœux de Yaugamdharāyaṇa - Avimāraka. Bhaṭṭanārāyaṇa : Les Tresses renouées. Bhāsa : Les Cuisses brisées. Bhavabhūti : La Fin de la geste de Rāma. Bhāsa : La Geste du jeune Kṛṣṇa. Harṣa : Priyadarśikā. Bhāsa : Le Sacre. Harṣa : Ratnāvalī. [texte imprimé] / Bhasa, Auteur ; Kalidasa, Auteur ; Sudraka, Auteur ; Harsa, Auteur ; Bhattanarayana, Auteur . - [S.l.] : Bibliothèque de la Pléiade, 2006 . - 1648 pages ; 105 x 170 mm.
ISBN : 978-2-07-011435-1
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Inde Note de contenu : Comme l'opéra occidental, le théâtre de l'Inde ancienne est un spectacle total. Il associe tous les arts de la scène. Présence conjuguée de la danse, de la musique et de la poésie ; alternance de la prose et des vers ; alternance des langues aussi : le sanskrit, réservé aux hommes de haut rang, cohabite avec les prâkrits, langues assignées aux hommes de condition inférieure et aux femmes, reines ou déesses. L'intrigue emprunte à trois sources principales : l'épopée – Mahabharata et Ramayana –, les contes, l'histoire. Ici, ni comédie ni tragédie ; c'est l'émotion esthétique, l'émerveillement, qui prime. Ce théâtre se lit comme un poème. Quant à la règle des trois unités, elle n'a pas cours : l'action, multiple, se situe rarement dans un lieu unique, et certaines pièces se déroulent sur vingt années, ou plus. Quant aux représentations, elles peuvent durer plusieurs jours (et plusieurs nuits).
Cette étrangeté a enflammé l'Occident. En 1789, William Jones donne la première traduction anglaise d'une pièce indienne, Sakuntala. L'engouement est immédiat. Goethe est envoûté par la jeune héroïne : «Faut-il nommer les fleurs du printemps avec les fruits de l'automne, le charme qui enivre avec l'aliment qui rassasie, le ciel avec la terre ? C'est ton nom que je prononce, ô Sacontala, et ce seul mot dit tout.» C'est le début de la «Renaissance orientale». La vague d'enthousiasme ne retombera pas : de Schlegel à Apollinaire, en passant par Théophile Gauthier, Gustave Flaubert ou Camille Claudel, tous reconnaissent en Sakuntala l'héroïne romantique par excellence. Désormais, la découverte de l'Inde se confond avec celle de son théâtre, c'est-à-dire avec le genre que les Indiens considèrent comme la forme la plus achevée de leur littérature.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1041974 LT BHA THE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Théâtre espagnol du XVIIème siècle / Lope Félix De Vega Carpio
Titre : Théâtre espagnol du XVIIème siècle Titre original : La foire de Madrid ; Peribanez et le commandeur d'océan ; L'eau ferrée de Madrid ; L'adultère pardonnée ; Fuente ovejuna ; Mudarra le bêtard ; La petite niaise ; Le chien du jardinier ; Le paysan dans son coin ; Le meilleur alcade est le roi ; Le mari le plus constant, Oprhée ; Le chevalier d'olmero ; Le châtiment sans vengeance ; l'étoile de Séville ; Les enfances d Cid ; L'esclave du démon ; Régner après la mort ; Les murs ont des oreilles ; L'épreuve des promesses ; La vérité suspecte ; L'antéchrist ; Le tisserand de Ségovie Type de document : texte imprimé Auteurs : Lope Félix De Vega Carpio, Auteur ; Guillén De castro Y Bellvis, Auteur ; Antonio Mira De Amuesca, Auteur ; Luis Vélez De Guevara, Auteur ; Juan Ruiz De Alarcon y Mendoza, Auteur Editeur : Bibliothèque de la Pléiade Année de publication : 1994 Format : Broché ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-011308-8 Note générale : Lope de Vega, Tirso de Molina, Calderón, les trois maîtres du genre, résument aujourd'hui pour nous la Comedia espagnole, un des trois grands théâtres, avec le drame élisabéthain et le théâtre français classique, qu'ont inventés les Temps modernes. Mais ils ne doivent ni masquer toute une cohorte de disciples, ni faire oublier qu'ils ont, avec eux, assuré le succès d'un très ample répertoire : une production de masse, prompte à s'approprier tous les thèmes et, comme on l'a dit justement, à métamorphoser le drame de l'univers en univers du drame. On trouvera ici une sélection inévitablement restreinte, au regard des milliers de pièces que nous a léguées le Siècle d'Or espagnol ; suffisamment ample, cependant, pour donner quelque idée d'un théâtre qui, au-delà des questions qu'il pose à l'historien, n'a jamais perdu le chemin des planches, parce qu'il continue de parler à notre intelligence et à notre cœur. Langues : Français (fre) Mots-clés : Espagne Théâtre espagnol du XVIIème siècle = La foire de Madrid ; Peribanez et le commandeur d'océan ; L'eau ferrée de Madrid ; L'adultère pardonnée ; Fuente ovejuna ; Mudarra le bêtard ; La petite niaise ; Le chien du jardinier ; Le paysan dans son coin ; Le meilleur alcade est le roi ; Le mari le plus constant, Oprhée ; Le chevalier d'olmero ; Le châtiment sans vengeance ; l'étoile de Séville ; Les enfances d Cid ; L'esclave du démon ; Régner après la mort ; Les murs ont des oreilles ; L'épreuve des promesses ; La vérité suspecte ; L'antéchrist ; Le tisserand de Ségovie [texte imprimé] / Lope Félix De Vega Carpio, Auteur ; Guillén De castro Y Bellvis, Auteur ; Antonio Mira De Amuesca, Auteur ; Luis Vélez De Guevara, Auteur ; Juan Ruiz De Alarcon y Mendoza, Auteur . - [S.l.] : Bibliothèque de la Pléiade, 1994 . - ; Broché.
ISBN : 978-2-07-011308-8
Lope de Vega, Tirso de Molina, Calderón, les trois maîtres du genre, résument aujourd'hui pour nous la Comedia espagnole, un des trois grands théâtres, avec le drame élisabéthain et le théâtre français classique, qu'ont inventés les Temps modernes. Mais ils ne doivent ni masquer toute une cohorte de disciples, ni faire oublier qu'ils ont, avec eux, assuré le succès d'un très ample répertoire : une production de masse, prompte à s'approprier tous les thèmes et, comme on l'a dit justement, à métamorphoser le drame de l'univers en univers du drame. On trouvera ici une sélection inévitablement restreinte, au regard des milliers de pièces que nous a léguées le Siècle d'Or espagnol ; suffisamment ample, cependant, pour donner quelque idée d'un théâtre qui, au-delà des questions qu'il pose à l'historien, n'a jamais perdu le chemin des planches, parce qu'il continue de parler à notre intelligence et à notre cœur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Espagne Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042007 LT THE ESP XVII Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Théâtre espagnol du XVIIème siècle Tome II / Tirso De Molina
Titre : Théâtre espagnol du XVIIème siècle Tome II Titre original : Tirso de Molina : Le Timide au palais - Don Gil aux chausses vertes - Le Trompeur de Séville - La Vengeance de Tamar - Par la cave et par le tour - Le Damné par manque d'espoir. Antonio Hurtado de Mendoza : L'Ingénieux Intermède de l'examinateur Messer Palomo. Luis Quiñones de Benavente : Le Barbier - Les Sacristains Cosquillas et Talegote. Pedro Calderón de la Barca : La Dévotion à la Croix - Maison à deux portes, maison difficile à garder - Le Prince constant - Le Festin du roi Balthasar - Aimer par-delà la mort - Le Médecin de son honneur - Les Cheveux d'Absalom - Le Grand Théâtre du monde - La Vie est un songe - Le Magicien prodigieux - L'Alcade de Zalamea - Le Dernier Duel en Espagne - Écho et Narcisse - Intermède du Petit Dragon - Intermède du Défi de Juan Rana. Francisco de Rojas Zorrilla : Hormis le roi, personne. Agustín Moreto y Cavana : Le Beau Don Diego - Intermède de Doña Esquina. Type de document : texte imprimé Auteurs : Tirso De Molina, Auteur ; Antonio Hurtado De Mendoza, Auteur ; Pedro Calderon De La Barca, Auteur ; Luis Quinones De Benavente, Auteur ; Fransisco De Rojas Zorrilla, Auteur ; Augustin Moreto Y Cavana, Auteur Editeur : Bibliothèque de la Pléiade Année de publication : 1998 Importance : 2048 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-011307-1 Prix : 83.50 € Note générale : Lope de Vega, Tirso de Molina, Calderón, les trois maîtres du genre, résument aujourd'hui pour nous la Comedia espagnole, un des trois grands théâtres, avec le drame élisabéthain et le théâtre français classique, qu'ont inventés les Temps modernes. Mais ils ne doivent ni masquer toute une cohorte de disciples, ni faire oublier qu'ils ont, avec eux, assuré le succès d'un très ample répertoire : une production de masse, prompte à s'approprier tous les thèmes et, comme on l'a dit justement, à métamorphoser le drame de l'univers en univers du drame.
On trouvera ici une sélection inévitablement restreinte, au regard des milliers de pièces que nous a léguées le Siècle d'Or espagnol ; suffisamment ample, cependant, pour donner quelque idée d'un théâtre qui, au-delà des questions qu'il pose à l'historien, n'a jamais perdu le chemin des planches, parce qu'il continue de parler à notre intelligence et à notre cœur.Langues : Français (fre) Mots-clés : Espagne Théâtre espagnol du XVIIème siècle Tome II = Tirso de Molina : Le Timide au palais - Don Gil aux chausses vertes - Le Trompeur de Séville - La Vengeance de Tamar - Par la cave et par le tour - Le Damné par manque d'espoir. Antonio Hurtado de Mendoza : L'Ingénieux Intermède de l'examinateur Messer Palomo. Luis Quiñones de Benavente : Le Barbier - Les Sacristains Cosquillas et Talegote. Pedro Calderón de la Barca : La Dévotion à la Croix - Maison à deux portes, maison difficile à garder - Le Prince constant - Le Festin du roi Balthasar - Aimer par-delà la mort - Le Médecin de son honneur - Les Cheveux d'Absalom - Le Grand Théâtre du monde - La Vie est un songe - Le Magicien prodigieux - L'Alcade de Zalamea - Le Dernier Duel en Espagne - Écho et Narcisse - Intermède du Petit Dragon - Intermède du Défi de Juan Rana. Francisco de Rojas Zorrilla : Hormis le roi, personne. Agustín Moreto y Cavana : Le Beau Don Diego - Intermède de Doña Esquina. [texte imprimé] / Tirso De Molina, Auteur ; Antonio Hurtado De Mendoza, Auteur ; Pedro Calderon De La Barca, Auteur ; Luis Quinones De Benavente, Auteur ; Fransisco De Rojas Zorrilla, Auteur ; Augustin Moreto Y Cavana, Auteur . - [S.l.] : Bibliothèque de la Pléiade, 1998 . - 2048 pages.
ISBN : 978-2-07-011307-1 : 83.50 €
Lope de Vega, Tirso de Molina, Calderón, les trois maîtres du genre, résument aujourd'hui pour nous la Comedia espagnole, un des trois grands théâtres, avec le drame élisabéthain et le théâtre français classique, qu'ont inventés les Temps modernes. Mais ils ne doivent ni masquer toute une cohorte de disciples, ni faire oublier qu'ils ont, avec eux, assuré le succès d'un très ample répertoire : une production de masse, prompte à s'approprier tous les thèmes et, comme on l'a dit justement, à métamorphoser le drame de l'univers en univers du drame.
On trouvera ici une sélection inévitablement restreinte, au regard des milliers de pièces que nous a léguées le Siècle d'Or espagnol ; suffisamment ample, cependant, pour donner quelque idée d'un théâtre qui, au-delà des questions qu'il pose à l'historien, n'a jamais perdu le chemin des planches, parce qu'il continue de parler à notre intelligence et à notre cœur.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Espagne Théâtre complet, tome II, Les Burgraves, Torquemada, Lucrèce Borgia, Marie Tudor, Angelo tyran de Padoue, La Esmeralda, Théâtre en liberté, Mille francs de récompense, l'Intervention / Victor Hugo
Titre : Théâtre complet, tome II, Les Burgraves, Torquemada, Lucrèce Borgia, Marie Tudor, Angelo tyran de Padoue, La Esmeralda, Théâtre en liberté, Mille francs de récompense, l'Intervention Type de document : texte imprimé Auteurs : Victor Hugo, Auteur Editeur : Bibliothèque de la Pléiade Année de publication : 1964 Importance : 1936 pages Présentation : rel. Peau Format : 105 x 170 mm Prix : 64 euros Note générale : «Si on le prend à l'origine qu'est-ce, en vrai, que le romantisme sinon la manifestation d'un état de crise dont le siège se trouve toujours dans le fond même de notre esprit ?Oui, cet esprit est ainsi fait qu'il supporte avec peine le malaise de vivre sans cesse sous la coupe de la raison. Car il se sait plein de ressources qu'il tient pour autrement fécondes : l'or qu'il puise dans son instinct, autrement dit dans ce monde vraiment abyssal qu'est l'inconscient. Quand l'asphyxie produite par cet état de choses est devenue intolérable, on peut dire que le romantisme a vu enfin venir son heure. Il n'attend plus pour exploser que l'étincelle que la moindre occasion fait naître. Par sa révolte, le romantisme signifie au monde rationnel son intention de défendre jusqu'à l'exhaustion ce qu'il tient pour le suc de la personne humaine : savoir la musique intérieure que nous donne le sens du sacré. [...]
Il se trouve que Victor Hugo s'est fait, en France, l'incarnation de cette force irrépressible que représente le romantisme. Inspirateur d'un coup de force dont l'objectif était de doter le théâtre d'un genre qui fût, au plus haut point, digne de la Révolution : voilà son titre de gloire véritable. De toutes les œuvres que cette époque vit éclore, il n'en subsiste presque aucune dont on garde le vivant souvenir. Sauf celles, il faut le reconnaître, dont il est l'auteur. Cette survivance, il va sans dire que Hugo la doit beaucoup moins à ses vertus de dramaturge qu'à son seul génie oratoire. Il n'y a donc pas lieu de séparer ses drames de son œuvre poétique. Le meilleur de son théâtre n'est autre chose qu'un magasin de morceaux de bravoure dont le lyrisme fait tous les frais. Sorti du livre, le théâtre de Hugo est donc contraint d'y rentrer. On ne saurait mieux se soumettre à sa destinée.»
Roland Purnal.Langues : Français (fre) Mots-clés : France Théâtre complet, tome II, Les Burgraves, Torquemada, Lucrèce Borgia, Marie Tudor, Angelo tyran de Padoue, La Esmeralda, Théâtre en liberté, Mille francs de récompense, l'Intervention [texte imprimé] / Victor Hugo, Auteur . - [S.l.] : Bibliothèque de la Pléiade, 1964 . - 1936 pages : rel. Peau ; 105 x 170 mm.
64 euros
«Si on le prend à l'origine qu'est-ce, en vrai, que le romantisme sinon la manifestation d'un état de crise dont le siège se trouve toujours dans le fond même de notre esprit ?Oui, cet esprit est ainsi fait qu'il supporte avec peine le malaise de vivre sans cesse sous la coupe de la raison. Car il se sait plein de ressources qu'il tient pour autrement fécondes : l'or qu'il puise dans son instinct, autrement dit dans ce monde vraiment abyssal qu'est l'inconscient. Quand l'asphyxie produite par cet état de choses est devenue intolérable, on peut dire que le romantisme a vu enfin venir son heure. Il n'attend plus pour exploser que l'étincelle que la moindre occasion fait naître. Par sa révolte, le romantisme signifie au monde rationnel son intention de défendre jusqu'à l'exhaustion ce qu'il tient pour le suc de la personne humaine : savoir la musique intérieure que nous donne le sens du sacré. [...]
Il se trouve que Victor Hugo s'est fait, en France, l'incarnation de cette force irrépressible que représente le romantisme. Inspirateur d'un coup de force dont l'objectif était de doter le théâtre d'un genre qui fût, au plus haut point, digne de la Révolution : voilà son titre de gloire véritable. De toutes les œuvres que cette époque vit éclore, il n'en subsiste presque aucune dont on garde le vivant souvenir. Sauf celles, il faut le reconnaître, dont il est l'auteur. Cette survivance, il va sans dire que Hugo la doit beaucoup moins à ses vertus de dramaturge qu'à son seul génie oratoire. Il n'y a donc pas lieu de séparer ses drames de son œuvre poétique. Le meilleur de son théâtre n'est autre chose qu'un magasin de morceaux de bravoure dont le lyrisme fait tous les frais. Sorti du livre, le théâtre de Hugo est donc contraint d'y rentrer. On ne saurait mieux se soumettre à sa destinée.»
Roland Purnal.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : France Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1042154 LT HUG THE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible Théâtre Tome II, L'Annonce faite à Marie (1re version et version pour la scène), L'Otage, Protée (1re et 2e versions), Le Pain dur, Le Père humilié, La Nuit de Noël 1914, L'Ours et la Lune, L'Homme et son désir, La Femme et son ombre (1re et 2e versions), Le Soulier de satin (version intégrale et version pour la scène), Sous le rempart d'Athènes, Le Livre de Christophe Colomb, La Parabole du festin, La Sagesse ou La Parabole du Festin, Jeanne d'Arc au bûcher, L'Histoire de Tobie et de Sara, La Lune à la recherche d'elle-même / Paul Claudel
PermalinkThéâtre Tome I : L'Endormie - Fragment d'un drame - Tête d'or (1re et 2e versions) - La Ville (1re et 2e versions) - La Jeune fille Violaine (1re et 2e versions) - L'Échange (1re et 2e versions) - Le Repos du septième jour - Partage de midi (1re version et version pour la scène). Traductions d'Eschyle : Agamemnon - Les Choéphores - Les Euménides / Paul Claudel
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