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Candide édition abrégée / Voltaire
Titre : Candide édition abrégée Type de document : texte imprimé Auteurs : Voltaire, Auteur Editeur : Paris : Librairie Larousse Année de publication : 1970 Importance : 163 pages Format : 11 x 17 cm Note générale : Ce texte pose un problème philosophique par le truchement de la fiction. Dans cette optique, il s'inscrit dans un débat important du xviiie siècle à propos du fatalisme et de l'existence du Mal. Voltaire est farouchement opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, de son « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Il est d'autant plus véhément que sa maîtresse, pour laquelle il éprouvait beaucoup d'admiration, Émilie du Châtelet (morte dix ans plus tôt, en 1749), était une adepte convaincue de Leibniz3.
Pour lui, si Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être, mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand4. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait à cela une cause nécessaire5. Cette croyance est ce que l'on appelle l'optimisme leibnizien.
Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Il oppose à cet optimisme qu'il juge béat, une vision lucide sur le monde et ses imperfections et il affiche, notamment dans ses lettres philosophiques6 une forte confiance en l'homme, qui est capable d'améliorer sa condition. C'est le sens de la conclusion de Candide : « Il faut cultiver notre jardin »7.Langues : Français (fre) Catégories : Littérature -- philosophie
Philosophie
Philosophie -- 18e siècle
Philosophie -- HistoireMots-clés : france suisse Candide édition abrégée [texte imprimé] / Voltaire, Auteur . - Paris : Librairie Larousse, 1970 . - 163 pages ; 11 x 17 cm.
Ce texte pose un problème philosophique par le truchement de la fiction. Dans cette optique, il s'inscrit dans un débat important du xviiie siècle à propos du fatalisme et de l'existence du Mal. Voltaire est farouchement opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, de son « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Il est d'autant plus véhément que sa maîtresse, pour laquelle il éprouvait beaucoup d'admiration, Émilie du Châtelet (morte dix ans plus tôt, en 1749), était une adepte convaincue de Leibniz3.
Pour lui, si Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être, mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand4. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait à cela une cause nécessaire5. Cette croyance est ce que l'on appelle l'optimisme leibnizien.
Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Il oppose à cet optimisme qu'il juge béat, une vision lucide sur le monde et ses imperfections et il affiche, notamment dans ses lettres philosophiques6 une forte confiance en l'homme, qui est capable d'améliorer sa condition. C'est le sens de la conclusion de Candide : « Il faut cultiver notre jardin »7.
Langues : Français (fre)
Catégories : Littérature -- philosophie
Philosophie
Philosophie -- 18e siècle
Philosophie -- HistoireMots-clés : france suisse Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1043157 LR VOL CAN Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Roman Disponible L'homme précaire et la littérature / André Malraux
Titre : L'homme précaire et la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : André Malraux, Auteur Editeur : Paris : Editions Gallimard Année de publication : 1977 Importance : 1 vol. (330 p.) ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-029555-5 Langues : Français (fre) Catégories : Histoire de la littérature
Littérature -- philosophieL'homme précaire et la littérature [texte imprimé] / André Malraux, Auteur . - Paris : Editions Gallimard, 1977 . - 1 vol. (330 p.).
ISBN : 978-2-07-029555-5
Langues : Français (fre)
Catégories : Histoire de la littérature
Littérature -- philosophieRéservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1040523 2.42 HOM MAL Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible La pensée des contes / François Flahault
Titre : La pensée des contes Type de document : texte imprimé Auteurs : François Flahault, Auteur Editeur : Paris : Éditions Economica Année de publication : 2001 Importance : 1 vol. (275 p.) Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-7178-4305-7 Langues : Français (fre) Catégories : Conte
Littérature -- philosophie
Littérature -- PsychologieRésumé : Un conte me plaît, me reste en mémoire. Pourquoi ? En quel point de moi-même me touche-t-il ?
Cette question est à l'origine de la longue enquête que l'auteur a menée sur des contes qui ont circulé de bouche à oreille d'un bout de l'Europe à l'autre. Du vaste réseau d'affinités qui les relie entre eux, il a vu se dégager peu à peu une logique étonnamment cohérente.
Les contes, à leur manière mettent en forme l'expérience humaine, ils pensent notre condition. Si l'on résiste à la tentation de plaquer sur eux nos propres discours (tentation à laquelle le goût du symbolisme n'a que trop cédé), on finit par y découvrir une philosophie en germe, passionnante dans la mesure où elle nous permet d'entendre un autre son de cloche que celui auquel nous a habitué notre culture écrite : on ne devient pas soi par soi, on s'accomplit dans l'incomplétude. (4e de couv.)La pensée des contes [texte imprimé] / François Flahault, Auteur . - Paris : Éditions Economica, 2001 . - 1 vol. (275 p.) ; 30 cm.
ISBN : 978-2-7178-4305-7
Langues : Français (fre)
Catégories : Conte
Littérature -- philosophie
Littérature -- PsychologieRésumé : Un conte me plaît, me reste en mémoire. Pourquoi ? En quel point de moi-même me touche-t-il ?
Cette question est à l'origine de la longue enquête que l'auteur a menée sur des contes qui ont circulé de bouche à oreille d'un bout de l'Europe à l'autre. Du vaste réseau d'affinités qui les relie entre eux, il a vu se dégager peu à peu une logique étonnamment cohérente.
Les contes, à leur manière mettent en forme l'expérience humaine, ils pensent notre condition. Si l'on résiste à la tentation de plaquer sur eux nos propres discours (tentation à laquelle le goût du symbolisme n'a que trop cédé), on finit par y découvrir une philosophie en germe, passionnante dans la mesure où elle nous permet d'entendre un autre son de cloche que celui auquel nous a habitué notre culture écrite : on ne devient pas soi par soi, on s'accomplit dans l'incomplétude. (4e de couv.)Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1059008 LC FLA PEN Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Documentaires Disponible Théâtre, Contes, Romans et Nouvelles, Philosophie, Ecrits divers et Fragments retrouvés. / Georges Courteline
Titre : Théâtre, Contes, Romans et Nouvelles, Philosophie, Ecrits divers et Fragments retrouvés. Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Courteline, Auteur ; Georges Courteline, Préfacier, etc. ; Emmanuel Haymann, Présentateur Editeur : Paris : Robert Laffont Année de publication : 1990 Collection : Bouquins Importance : 990 pages Prix : 25€ Note générale : Hargneux, pitoyables, agressifs, jobards ou rusés, les personnages courtelinesques sont entrés depuis longtemps dans le panthéon de notre imaginaire. Les soldats avec leurs pantalons garance, les fonctionnaires avec leurs ronds-de-cuir sortent tout droit de la fin du XIXe siècle ; pourtant il nous semble bien les avoir croisés hier encore, devant une caserne ou dans les bureaux d'une administration.
Soldat puis fonctionnaire, Georges Courteline (1858-1929) observa le petit monde qui l'entourait pour en extraire la moelle comique : le rire n'est-il pas l'arme suprême contre le désespoir ? De sa brève expérience militaire, il tira Les Gaîtés de l'escadron puis Le Train de 8 h 47, récits où les sous-offs avinés et les bleus terrorisés composent une humanité cruelle dont l'humour est la seule rédemption. Avec Messieurs les ronds-de-cuir, l'auteur traça le portrait sans retouche de la galaxie bureaucratique, avec ses manies et ses délires, ses excès et ses léthargies. Très vite, le théâtre accueillit l'univers coloré et réaliste de Courteline et le carnaval bigarré de ses figures immortelles : le bon gros Boubouroche et sa maîtresse trop rouée, les Boulingrin, éternels martyrs de la vie conjugale, La Brige, ce "philosophe défensif" en butte à la justice, monsieur Badin, malade imaginaire de la bureaucratie tentaculaire...
Toute sa vie, Courteline a croisé la plume avec la bêtise humaine, il n'a jamais décoléré contre l'insondable stupidité de ses semblables ; sa verve s'est sans cesse nourrie d'une intarissable rage, celle de la victime écrasée par l'immense machine administrative.
Langues : Français (fre) Catégories : Littérature
Littérature -- philosophie
Littérature 19e siècle
roman
Théâtre
Théâtre -- 19e siècle
Théâtre et romanMots-clés : anthologie comédie critique sociétale satire Théâtre, Contes, Romans et Nouvelles, Philosophie, Ecrits divers et Fragments retrouvés. [texte imprimé] / Georges Courteline, Auteur ; Georges Courteline, Préfacier, etc. ; Emmanuel Haymann, Présentateur . - Robert Laffont, 1990 . - 990 pages. - (Bouquins) .
25€
Hargneux, pitoyables, agressifs, jobards ou rusés, les personnages courtelinesques sont entrés depuis longtemps dans le panthéon de notre imaginaire. Les soldats avec leurs pantalons garance, les fonctionnaires avec leurs ronds-de-cuir sortent tout droit de la fin du XIXe siècle ; pourtant il nous semble bien les avoir croisés hier encore, devant une caserne ou dans les bureaux d'une administration.
Soldat puis fonctionnaire, Georges Courteline (1858-1929) observa le petit monde qui l'entourait pour en extraire la moelle comique : le rire n'est-il pas l'arme suprême contre le désespoir ? De sa brève expérience militaire, il tira Les Gaîtés de l'escadron puis Le Train de 8 h 47, récits où les sous-offs avinés et les bleus terrorisés composent une humanité cruelle dont l'humour est la seule rédemption. Avec Messieurs les ronds-de-cuir, l'auteur traça le portrait sans retouche de la galaxie bureaucratique, avec ses manies et ses délires, ses excès et ses léthargies. Très vite, le théâtre accueillit l'univers coloré et réaliste de Courteline et le carnaval bigarré de ses figures immortelles : le bon gros Boubouroche et sa maîtresse trop rouée, les Boulingrin, éternels martyrs de la vie conjugale, La Brige, ce "philosophe défensif" en butte à la justice, monsieur Badin, malade imaginaire de la bureaucratie tentaculaire...
Toute sa vie, Courteline a croisé la plume avec la bêtise humaine, il n'a jamais décoléré contre l'insondable stupidité de ses semblables ; sa verve s'est sans cesse nourrie d'une intarissable rage, celle de la victime écrasée par l'immense machine administrative.
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Littérature -- philosophie
Littérature 19e siècle
roman
Théâtre
Théâtre -- 19e siècle
Théâtre et romanMots-clés : anthologie comédie critique sociétale satire Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1043347 LT COU THE Livre Bibliothèque ARTS². Théâtre Littérature Théâtre Disponible