Titre : | Ysaye : Le dernier romantique ou le sacre du violon | Type de document : | texte imprimé | Auteurs : | Maxime Benoît-Jeanmin, Auteur | Mention d'édition : | D/1989/3257/1 | Editeur : | Bruxelles : Le Cri édition | Année de publication : | 1989 | Importance : | 1 vol. (292 p.) | Format : | 23 cm | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-87106-021-5 | Note générale : | Grand interprète de Bach et de Beethoven, Eugène Ysaye (1858-1931) créa les œuvres les plus représentatives de son temps, imposant au grand public Franck, Lekeu, d’Indy, Chausson, Fauré, Debussy. Le célèbre quatuor Ysaye, qu’il avait fondé en 1886, occupa une place prépondérante dans la vie musicale bruxelloise et parisienne jusqu’aux premières années de notre siècle. Échappant aux classifications, Ysaye fut une véritable star, lancée dans de gigantesques tournées en Europe — Russie comprise — et en Amérique où, au cours des six premiers mois de 1905, il ne donna pas moins de cent vingt concerts à travers les États de l’Union. Ysaye, qui avait débuté dans les brasseries, joua devant les derniers monarques de l’Europe et porta, comme jadis Liszt à Weimar, le titre nostalgique de maître de chapelle de la cour. À soixante ans, il commença une nouvelle carrière à la tête de l’Orchestre symphonique de Cincinnati. Ses partenaires : Raoul Pugno, Isaac Albéniz, Rachmaninov, Busoni, Eugène d’Albert, les deux Rubinstein — pour ne citer que les plus connus — et, sur le tard, Cortot, Yves Nat et Clara Haskil. Heifetz et Milstein eurent encore la chance de jouer avec lui... Casals l’accompagna à Vienne dans un concert mémorable... Thibaud aimait à recevoir ses conseils. Professeur, Ysaye attira à lui des dizaines d’élèves, dont certains devaient, à leur tour, former des virtuoses comme Menuhin, Stern ou Grumiaux. Compositeur plus qu’estimable, son œuvre est aujourd’hui redécouverte. | Langues : | Français (fre) | Catégories : | Biographies Violon Ysaÿe, Eugène (1858-1931)
| Instruments : | Violon |
Ysaye : Le dernier romantique ou le sacre du violon [texte imprimé] / Maxime Benoît-Jeanmin, Auteur . - D/1989/3257/1 . - Bruxelles : Le Cri édition, 1989 . - 1 vol. (292 p.) ; 23 cm. ISBN : 978-2-87106-021-5 Grand interprète de Bach et de Beethoven, Eugène Ysaye (1858-1931) créa les œuvres les plus représentatives de son temps, imposant au grand public Franck, Lekeu, d’Indy, Chausson, Fauré, Debussy. Le célèbre quatuor Ysaye, qu’il avait fondé en 1886, occupa une place prépondérante dans la vie musicale bruxelloise et parisienne jusqu’aux premières années de notre siècle. Échappant aux classifications, Ysaye fut une véritable star, lancée dans de gigantesques tournées en Europe — Russie comprise — et en Amérique où, au cours des six premiers mois de 1905, il ne donna pas moins de cent vingt concerts à travers les États de l’Union. Ysaye, qui avait débuté dans les brasseries, joua devant les derniers monarques de l’Europe et porta, comme jadis Liszt à Weimar, le titre nostalgique de maître de chapelle de la cour. À soixante ans, il commença une nouvelle carrière à la tête de l’Orchestre symphonique de Cincinnati. Ses partenaires : Raoul Pugno, Isaac Albéniz, Rachmaninov, Busoni, Eugène d’Albert, les deux Rubinstein — pour ne citer que les plus connus — et, sur le tard, Cortot, Yves Nat et Clara Haskil. Heifetz et Milstein eurent encore la chance de jouer avec lui... Casals l’accompagna à Vienne dans un concert mémorable... Thibaud aimait à recevoir ses conseils. Professeur, Ysaye attira à lui des dizaines d’élèves, dont certains devaient, à leur tour, former des virtuoses comme Menuhin, Stern ou Grumiaux. Compositeur plus qu’estimable, son œuvre est aujourd’hui redécouverte. Langues : Français ( fre) | |